Sliterin avait salué le général d'un hochement de tête, comme si il n'était pas en service. Il prit ensuite la parole.
Bonjour Général, je vous ai fait dérranger pour une simple chose mais qui néssecite malgrés cela une autorisation de votre part. Enfaite j'amierais prendre quelque jours de vacances afin de prendre des nouvelle de ma chère soeur. Je sais que la guerre fait rage, mais cela devrait se calmer du coté de la capital suite à la destruction du camp ennemi qui se trouvait dans nos forets. Mais le lieutenent Wedge devrait surement vous donner d'aventage d'explication a ce sujet.
Il marqua une courte pause puis remit en cause l'idée principale que le demi-shamaah avait établit.
Bref, je voulais savoir si vous étiez d'accord.