Appartement de Misakith

Misakith se renseigna en dehors du bureau de recrutement pour savoir où se trouvait les appartements que les Impériaux possédaient. Quelqu’un de très aimable et qui ne lui réclama pas un sous lui indiqua cela.
Le Marchand arriva alors devant sa chambre où il trouva le paquet contenant ses insignes comme le Recruteur l’en avait informé. Il tourna la poignée de la porte qui se dressait devant lui et il entra.
Bien que le lieu se voulait neutre, il était déjà agréablement fourni.
Un lit qui semblait des plus confortables se trouvait au fond de la pièce vers la droite. Il était accompagné, un peu plus à gauche, d’un bureau où le Marchand s’imaginait déjà compter les recettes qu’il aurait faites. Une grande armoire, pouvant contenir un nombre conséquent de vêtement se trouvait à sa gauche.
Non loin de celle-ci un coffre fermé par un cadenas semblait être là pour conserver les affaires les plus privées ou bien son propre argent.
Une petite table agrémentée de trois chaises se trouvait au centre de la pièce.
Pour finir une porte semblait amener vers une salle d’eau personnelle. Que pouvait on rêver de plus ?
Misakith eut le sourire aux lèvres, il déposa sa bourse sur le bureau puis il s’assit sur l’accessoire du sommeil. Il fut tenté de dormir mais il se fascina pour la décoration.
Deux tableaux se situaient dans la pièce. Un à gauche de l’entrée semblait montrer les alentours de l’Empire, c’était une campagne calme et reposante, l’autre était encore mais dans un axe différent, la Capitale de l’Empire.
Un tapis rouge et or se trouvait sous la table et un vase garni de fleurs se trouvait sur celle-ci. Un certain nombre d’ouvrage se trouvait sur le bureau parlant de l’Empire et de son passé. Misakith s’était beaucoup informé et connaît parfaitement l’histoire de l’Empire néanmoins il prendrait tout de même plaisir à lire cela.
Le Marchand se décida à sortir pour commencer à reprendre son commerce mais il voulut jeter une dernière fois un coup d’œil à ce bureau qui l’intriguait.
Il ouvrit un tiroir et s’aperçut qu’il y avait des feuilles de parchemin, en encrier, une plume et une fiole d’encre. Lorsqu’il reviendrait de sa sortie, il pourrait directement reprendre ses anciens comptes, les classer puis commencer les nouveaux. Il prit la bourse sur le bureau, la mit dans sa poche puis accrocha ses insignes.
Il quitta la pièce après en avoir fermé la porte et s’en alla avec une sorte de sourire avide.

Misakith revînt le soir dans son appartement assez content de lui. Cependant il était tard, l’hiver était rude, rentré à pied dans la neige épuisant, ainsi il n’était pas triste de retrouver la chaleur de l’endroit.
Après être entré, il repousse légèrement la porte et il sortit les cinq faussent pierres précieuses qu’un homme lui avait donné, ainsi que les deux milles pièces d’or d’un autre qui avait acheté un collier. Ce collier venait de Abelheim et le marchand avait mis un long moment avant de pouvoir l’obtenir pour un prix abordable. Les gens se méfiaient beaucoup, toutefois il réussit à gagner quelque peu leur confiance. Le bijou était tout en argent et une pierre précieuse rouge qui n’était rien d’autre qu’un rubis scintillait lorsque qu’on l’approchait de la lumière.
Il regarda les fausses pierres et le marchand pensa les découper pour les vendre à un bijoutier en le mettant en garde de la qualité du produit. Ce genre de pierre était tout de même recherché car de plus en plus de personnes préféraient acheter quelque chose de moins cher et de ressemblant, ce que pouvait ce comprendre. Seul les nobles insistaient sur la qualité et il n’était pas déplaisant de leur vendre le produit au prix fort. Il rangea tout cela dans le coffre et verrouilla le cadenas. Il s’assit à son bureau, sortit alors de vieux relevés de recettes qu’il classa et rangea par date et entre chaque année les bilans qu’il avait fait.
Il repensa à ce qu’il avait vu dans cette taverne, bien qu’il avait fait de bonnes affaires. Un homme qui lui avait donné ses cinq pierres faussement précieuses, un acheteur qui avait finalement prix le collier au prix demandé, des gens se lançant de la magie mais qui disparurent, un homme flottant. Seul, les clients qu’il était allé voir et Sieg’ un Vampire de l’Empire qu’il avait rencontré dans la Taverne de Sarosa semblait normaux. A croire que bonne affaire et folie s’entremêlent avec aisance et bizarrerie.
Misakith ayant fini de classer sortit une feuille et le nécessaire pour écrire et commença à faire les comptes de ce début de mois.

Une journée venait de s’écouler et Misakith rentrait à la Capitale épuisé. Le temps était toujours aussi frais et les chutes de neige qui s’arrêtaient et reprenaient dans un mouvement presque habituel maintenant n’arrangeaient rien.
Cependant le Marchand venait d’écouler le dernier bijou qu’il avait en sa possession. De plus la personne qui l’avait acheté, était le Conseiller Rukainn. Celui-ci lui avait donné cinq cent pièces d’or de plus, ce qui allait considérablement avancer son départ pour Abelheim. Il devait aller acheter dans cette grande ville de nouvelles marchandises et le voyage n’était guère donné.
Enfin, il devrait tout de même attendre d’effectuer un inventaire et d’avoir écoulé ses fausses pierres précieuses. Il s’assit à son bureau puis il fit ses comptes de la journée. Ces deux derniers jours avaient été pour lui, très fructueux. Il rangea ensuite sa bourse dans le coffre qui était devenu l’endroit le plus sur pour elle, puis il se coucha.
Misakith repensa alors à l’homme qu’il avait vu, il se nommait Lord Cold. Au début, la Marchand fut intrigué par l’épée que l’homme avait jetée car il voulait la récupérer.
Cependant cette étrange personne qui semblait être un spectre l’arrêta et il lui souffla quelque paroles assez déstabilisantes et il lui compta sa triste histoire.
Pour finir, Lord Cold lui dit que personne ne pouvait rien pour lui et que sa vraie personnalité s’était dans lui, divisée en trois. Il le quitta sur un étrange salut. Misakith partit alors pour la Capitale.
Il resta un long moment allongé, en écoutant les bruits nocturnes. Cet homme était un inconnu mais son histoire l’avait en quelque sorte émue. Il demeura tout de même sur le fait qu’il n’avait pu prendre l’arme et qu’il venait de louper une affaire car elle se serait très bien revendue. Sur ce, le marchand s’endormit.

Misakith rentra assez tôt ce soir là dans ses appartements. En effet, il avait parlé un long moment avec une personne qui se disait « Canis ». Pour le Marchand s’était un pauvre homme victime d’un loup, mais il ne préférer pas vexer l’animal.
L’Impérial se présenta et lui avoua qu’il savait un moyen de le faire redevenir sous sa forme originelle. Le loup fut très intrigué et paya sans aucun remord l’information. C’est ainsi que Misakith hérita de dix diamants qui semblaient bel et bien réel. Sans doute devait il privilégier maintenant la recherche d’un forgeron et d’un joaillier. Si tous continuaient ainsi, s’il comptait sur cette chance insolente qui le suivait depuis quelques jours, il pourrait vendre des bijoux qu’il aurait produits. Sans doute une promenade dans la capitale de l’Empire allait s’imposer néanmoins certes il n’était pas si tard mais ce n’était plus l’heure de se balader seul.
Le Marchand prit place comme à son habitude devant son bureau après avoir au préalable ranger ses gains de la journée dans ce coffre qui le faisait sourire.
Il fit ses comptes avec patience et concentration pendant un long moment puis après il décida d’aller prendre repos. Demain s’il était assez motivé, serait une grande journée. Quelle joie de pouvoir parfois contrôler son avenir.
Une fois allongé sur ce plaisir du soir, il repensa à sa soirée dans la Taverne. L’homme qui lui avait donné une dague et conseillé de cacher son insigne. Il avait dit qu’ils se reverraient..
Etrange personnage. Il avait aussi croisé Messire Sieg’ et le Conseiller Rukainn.
Enfin ce fut les seules bonnes rencontres de la soirée, car les autres personnes présentent était mis à part les alliés de l’Empire, assez nerveux et impoli. Surtout une jeune dame au comptoir qui ne manqua pas de l’envoyer sur les roses sans le connaître.
A croire que les Soldats de l’Empire doivent avoir un lourd travail.
Si les citoyens les gênent en plus dans leur métier qui est d’apporter la justice sur Vesperae, comment font ils pour tenir et rester aussi droit ?
Toutefois, cela ne le concerne peu.Il ne n’est pas un Soldat mais cependant il continuera à faire de son mieux pour agir comme un Impérial digne de ce nom tout en persistant à s’enrichir.

Misakith entra dans sa chambre avec une certaine joie. Il observa son appartement et il se dirigea vers son coffre. Il y a déposa le bénéfice obtenu durant son commerce avec l’Armée Royale. Après cela il referme le coffre.
Le Marchand déposa sa cape sur son lit. Il était quelque peu épuisé mais la nouvelle qui lui avait annoncé Amadeus l’avait comblé. Il était maintenant trésorier de l’Empire. Que pouvait il rêver de plus. Il était reconnu pour ses talents et son métier. Tout en s’allongeant, il continuait à réfléchir sur la situation. Son voyage l’avait certes épuisé, mais il repensa qu’il devait poursuivre ses comptes. Il puisa ses dernières forces pour se relever et s’asseoir à son bureau. Il fit le plus sérieusement possible ses relevés. Il songeait en même temps des possibilités qui s’ouvraient à lui. Cependant il n’oubliait pas la mission que Dame Neyréa lui avait confié, et il avait d’ailleurs des nouvelles pour l’elfe. De plus il fallait qu’il informe l’Empire au sujet de l’Impérial Tohr et de son comportement douteux mais cela attendrait le lendemain. Misakith conclue ses dossiers qu’il rangea soigneusement et il retourna sur son lit.
Il s’assit et il ôta ses chaussures. N’ayant force d’aller plus loin et s’allongez de nouveau et il s’endormit rapidement. Le début d’une nouvelle vie pour lui s’annonçait plaisante.

Misakith l'avait sans doute oublié, mais il venait de comettre une grave erreur. Aussi, Lunha ne repondit pas a sa question, elle se contentait d'avoir une larme qui coula sur sa joue, et se decala de son aimé.

A quoi bon se retrouver, et que je reste ici... Si tu penses que cela ne se fera jamais, qu'il en sera autrement...

Un air de fureur animait ses yeux. Lunha était en colère, et se degagea de l'etreinte de Misakith.

De faux espoirs ? Mais ai je donc été si cruelle

Voyant l'air abasourdi de Misakith, Lunha prononca ses paroles dents serrés.

Aurais tu oublié que je lis dans les pensées ?
Penses tu que je reviens vers toi pour repartir après ? A moins qu'il ne s'agisse pas de moi... Dans ce cas là tu me caches donc quelque chose...

Amele lui sourit: Oh merci bien !

Puis elle regarda autour d'elle, elle voyait tous ces bagages, ces affaires qui se deballaient peu a peu . Gené Amele la regarda.

Amele: Euh peut etre que je vous derange ?

Amele s'assit: Non merci sa ira, je mange peu mais merci quand même

Elle lui sourit

Amele: Et bien... alors je vois que vous vous installez chez Misakitch, sa a l'air d'aller mieu n'est ce pas ? Comment va t'il ?

(Misakitch xD mdr)

Oui en effet, enfin je sais que je reste ici mais pour combien de temps ? A vrai dire je pense rester définitivement, car oui nous avons mis les choses au clairs. Nous devons remettre les choses a plat et tout recommencer. Mais pour cela il faudrait qu'il soit un peu moins occupé par son travail... Cela reste toujours le problème majeur hélas. Mais avec une situation et un métier comme le sien, n'est ce pas normal ?

Lunha s'asseya un poussa un soupir interminable, traduisant son angoisse et sa peur.

J'aimerais que l'on prenne quelques vacances à nous, j'aimerais qu'il se consacre un peu plus à moi, pour ne pas dire totalement à moi si cela est possible.

Amele compris son angoisse: Oui je comprend cela est pareil pour moi en je devrais dire etait car je sais que quand quelque chose ne va pas Sliterin quitte tout pour moi mais cela est dut a note passé et il ne faut pas l'oublier... Dites moi, vous voulez des vacances qui vous en empeche d'en prendre, cela est possible, il suffit de trouver quelqu'un pour aider celui ci et pourquoi pas lui trouver un remplacant pendant quelques temps voir un coéquipier ? Qu'est ce qui vous empeche de faire cela ?

( oui Misaktch mdr c'est plus fashion non je rigole je rigole !!!! )