Après avoir quitté la taverne à Trigorn tard dans la soirée, n’ayant aucun bien ou affaire mise à part mes feuilles de poésie que j’avais pris soin d’emporter, je commençais ma marche vers la capitale de l’Empire.
La dernière fois que j’avais vu cette ville, c’était lors de mon départ avant le massacre.
D’un coté, j’avais un sentiment de tristesse dans le fait de la revoir mais d’un autre de l’espoir luisait en moi, cela faisait longtemps que je n’avais pas ressenti cette émotion.
L’alcool de Bombur de si bonne qualité lui apporta gaîté durant tout le chemin.
Il arrive enfin à la capitale, et la retrouva, en apparence peu changé seulement quand il y entra tout était autre. La vie se reflétait et non la violence.
Les drapeaux de l’empire flottaient en tout liberté.
Je m’approche alors du bureau de recrutement.
Alors que je sois entré, les gardes me dévisagèrent. Cela devait sûrement les surprendre que je n’aie aucun baluchon ou valise.
Je me présente puis l’on m’indique une salle. Un peu nerveux j’y rentre puis le soldat m’annonce que je dois attendre un petit moment.
Après qu’il eut quitté la sale, je m’assis puis je ressortis mon dernier poème en recherche d’inspiration.