La Caserne

Située en plein centre du quartier militaire, soldats et autres hommes d'armes y sont le plus souvent. C'est un lieu d'une activité debordante par lequel passent tous les departs en mission, les plaintes des vieillards, les gemissements des poissonière.

Les millitaires sont à votre écoute... Ou du moins font semblant !

Le lieutenant Wedge sortait tout juste du bureau du vieux Prêtre. L'air serrein, il n'avait rien à redire sur sa nouvelle mission : il jouait gaiement avec un parchemin scellé à remettre au Général.

Arrivé à la caserne, il cria à quelque pauvre bougre d'aller le chercher.

Alliage, après avoir été avertis par un soldat qu'on le cherchait, rejoignit le lieutenant.

- Bonjour lieutenant... Quelles nouvelles apportez vous?

Le lieutenant tandis la missive sans ajouter mot et en saluant respectueusement son superieur.

Général,
Comme vous le savez mieux que quiconque, nos prisons ne cessent de recevoir bon nombres de brigants en ces temps de troubles.
Aussi ai-je réalisé que nous n'avions jamais songé à établir réellement quelques consignes. Aussi voici ce que je vous propose; si jamais vous aviez une autre version à m'apporter, je vous serai grés de m'en faire part.

>Dans le cas d'un delit mineur, qu'il s'agisse d'un vol d'une valeur inferieur à dix pièces d'or ou d'une bagarre sans armes, le sujet se verra enfermé pour un jour et enregistré dans nos rapports. Il recevra un avertissement de classe 1.

>Dans le cas d'une infraction, qu'elle soit vol ou menace armée, le sujet sera enfermé pour deux jour ou jusqu'à ce que l'on paie sa liberation à la somme de 3 pièces d'or et se verra confisqué ses effets. Il recevra un avertissement de classe 1.

>Pour toute atteinte à l'integrité physique d'autrui avec violence marquée armée ou non, le sujet sera enfermé pour une durée de cinq, jours, ses effets seront confisqués. Il paiera une somme de 100 pièces d'or. Il recevra un avertissement de classe 2.

>Pour meurtre, la personne quelle quel soit, autant s'il s'agit d'un Imperial que d'un gobelin sera exécutée sans jugement dans la semaine.

>Pour toute personne entretenant relation avec nos ennemis, elle sera enfermée pendant 3 jours et sera suivie pour obtenir plus d'informations. Elle recevra un avertissement de classe 3.

Les avertissements ont chacun une valeur. Pour une personne prise à nouveau sur un fait ayant obtenu un avertissement de classe 1, elle se verra enfermée jusqu'à versement de 60 pièces. Pour une classe 2, le sujet sera interdit de port d'arme jsuqu'à novuelle autorisation, au moins sur les terres imperiales. Pour un avertissement de classe 3, le sujet sera jugé immédiatement avec une cours choisie par le plus haut gradé en présence.

Amicalement Sylphisius.

Il répondit au dos de la missive, faute de parchemin à portée de main.

Cher Sylphisius,

Je ne vois rien à redire à ces règles, quoi que je pense que les meurtres doivent avoir au moins un jugement sommaire afin de s'assurer de ne pas executer quelconque innocent, ce qui pourrait être dommage.
Aussi une règle pour les visite pourrait être instaurée, si jamais le prisonnier venait à venir au contact de personnes... La conversation devrait sûrement être surveillée, et l'invité du prisonnier se devrait bien evidemment de rester à l'écart de la cellule.
C'est à peu près tout ce que j'ai à redire.

Bien à vous, Alliage.

Le lieutenant leva le doigt :

"J'ai oublié Messire, mais je n'ai pu m'empecher de lire votre message... Le vioque a ajouté que vous feriez c'que vous voulez pour la prison vu qu'il y jamais les pieds..."

Il secoua le parchemin.

"Je ramène cela..."

Invité

Sauveur entra dans la caserne avec le visage et un peu sale mais avec un large sourire...

Enfin jai terminé ces cheveaux m'pnt donné du fil a retordre

Sauveur pris une grande 4repiration et cria:

Bon!!!! Qui veut un bel étalon noir pur race..un des plus rapides de vasperay...un peu dur a controler mais...

Sauveur regardais la salle en attendant une réponse

Wronks et Gibs entrèrent en trombe dans la caserne a la recherche du général Alliage. Lorsqu'il l'aperçure Wronks accouru vers lui suivit de Gibs auquel l'alccol semblait avoir fait defaut.

Ser'gent Wronks au rapport mon général !!

Lieut.. HIPS ! enant hips ! Gibs huhu !!

Mon général j'ai un message pour vous, une paysanne me l'as remis . Elle tient ce message d'un homme encapé et louche !

Joignant le geste a la parole il lui tendit la lettre.

Pour le général des armées de l'Empire

Nous nous sommes affrontés la semaine dernière sur l'île Hunt, près du feu. Vous etes un valeureux guerrier, et nos joutes m'ont donné le sang à la bouche. Je souhaiterais vous rencontrez de nouveau pour ferrailler. J'ai le devoir de tuer tout ceux qui s'oppose à Démonio, vous en faites parti ... Mais je ne me fais pas de soucis, je sais, je sens que nous nous rencontrerons de nouveau ....

Elrohir, vorte fidèle ennemi

Il lut de son air toujours aussi peu vif et intensément morose la lettre, puis la plia soigneusement et la rangea avec quelques parchemins dans sa cape.

-Merci soldats, vous pouvez disposer.

Son regard se dirigea vers le ciel, quelques pensées lui traversant l'esprit.

'Alors comme ça il en redemande de nouveau... J'ai besoin d'entrainement, c'est une occasion interessante... '

Il remit sa cape en place et s'avança, allant chercher Noirian pour une petite chevauchée vers Vesperae...

(Avec un peu de retard...)

Suite à la fin du siège de Bélériand, les troupes à Trigorn envoyées par le Général à la capitale s'installèrent pour se reposer de la bataille. Alliage alla quand à lui aux grandes places où une agitation semblait envahir la citée.

Sliterin arriva a toute jambes a la caserne. Sous la demande de Sylphisius il fallait envoyer une escouade dans la foret placer sous les ordres de l'un des deux lieutenents, Biggs ou Wedge.

Lieutenent Biggs! Lieutenent Wedge!

Il s'efforcait de les appeler mais n'allait pas partir immédiatement à la tête d'une escouade, bien que la gestion d'un groupe d'homme ne lui pose aucun problème suite à son experience passé en tant que général d'un groupe d'hommes de son ancien guilde.

'J'espère que l'un d'eux est présent'

En attendant de savoir si quelqu'un allait répondre il se servit d'une lame qui se trouvait dans les parages étant donné que la sienne fut sauvagement détruite par un coup porté trop fort de la part d'un orc.

'Il faudra que je demande à Godrin de m'en refaire une.'

Ce fût un soldat qui en entendant les cris de Sliterin alerta le lieutenant Wedge. Celui-ci ne mit que quelques instants à apparaître au bas des escaliers de la caserne.

"Bonjour Messire..."

Wedge n'avait aucun souvenir du nom de son interlocuteur.

"Que puis je faire pour vous ?"

Sliterin se retourna lorsque le lieutenent se mit à lui parler et fit le salut de l'armée par respect.

Lieutenent Wedge, je me nomme Sliterin, je suis l'un des soldats chargé de la protection de la ville. Je suis venu vous voir car notre grand prètre Sylphisius me l'a demandé. Il veux que l'on envoie une escouade dans la foret, on a tout deux le pressentiment qu'il y a un camp ennemi dans nos terres. L'indice majeur de nos soupçons est qu'une meute d'orc s'y trouvait hier soir, agressant sauvagement deux impérieaux qui ont quitté la ville, raison de sureté.

Il avala sa salive avant d'avoir une réponse de son interlocuteur.

Si la nouvelle deplut à Wedge, il ne le montra pas. D'un simple inclinenement de la tête il montra qu'il comprenait et leva la main de manière à ce qu'un soldat s'approche.

"Preparez deux regiments de cavalerie et depechez deux eclaireurs !"

Il se tourna vers Sliterin.

"Vous devriez vous preparer. Nous nous retrouverons à l'entrée de la forêt."

Bien lieutenent!

Sliterin aquisa d'un hochement de tête et partit immédiatement en direction de l'entrée de le foret où Wedge lui avait donné rendez-vous. Il ne mit pas trop de temps à se préparer et a rejoindre le point de ralliement.

En fin de soirée, un jeune domestique porta une missive à la caserne qu'il remit entre les mains d'un soldat en precisant que le Général Alliage en était le destinataire.

Messire Alliage,

Suite à quelques disparitions lors de précédentes traversées commerciales, j’ai pensé qu’il serait bon de vous suggérer d’assigner quelques soldats à la surveillance des convois. Si la quelques cavaliers ne venaient pas à vous manquer, peut-être pourraient ils surveiller le prochain convoi en direction du Temple.
Je puis vous affirmer que le soldat Django se porte volontaire à cette éventualité.

Amicalement, Sylphisius.

Trouvant la lettre Alliage se saisit d'une plume et écrivit la réponse:

Très cher Grand Prêtre,
Une troupe de milicien est actuellement en mission de protéger les convois dans leurs voyages à travers Vesperae, leur nombre est de 80 hommes. [url](https://newempire.forumsrpg.com/Beleriand-Partie-RP-c4/Les-Grande-Places-f94/La-Caserne-f106/-p14703.htm#14703)[/url]
Si de récentes disparitions ont eut lieues, je pense qu'elle est dûe à la récente reprise de convois à travert tout Vesperae, divisant inégalement les troupes (La réouverture des convois Min'Raza a divisée encore un peu le nombre de miliciens imperiaux par convois.)
De nouvelles troupes seront ajoutées à ces miliciens si la situation ne s'améliore pas après la légère réorganisation des escortes commerciales. ( Se serait une bonne mission d'initiation pour les nouvelles troupes en entrainement actuellement, je pense notament à celle du sous-lieutenant Sliterin.)

Bien à vous, Alliage.

Il renvoya le messager chez son destinataire tant que celui ci était encore là.

Invité

La caserne impériale était incroyablement animée. Ici et là, des dizaines de soldats passaient, lourdement équipés, formant malgré leur organisation une invraisemblable marée humaine. Des chefs criaient leurs ordres pendant que leurs troupes se hâtaient d'obéir, laissant parfois s'échapper quelques jurons bien sentis s'ajoutant au vacarme ambiant. Certains, au contraire, profitaient d'un moment de détente pour se relaxer ou vérifier leurs armes. A l'écart, des individus plus jeunes, sensiblement des nouvelles recrues, s'entraînaient sous l'oeil attentif de quelques vétérans.

Au milieu de tout cette agitation, Slayn se sentit perdu. Levant la tête vers le ciel clair et ensoleillé, il prit une grande bouffée d'air et reporta son attention devant lui, bien déterminé à se frayer un chemin jusqu'à celles-ci, le poing fermement refermé sur le parchemin marqué du sceau du général qu'il tenait. Usant de son agilité naturelle pour parvenir jusqu'aux recrues, il s'approcha d'un de ceux qui les surveillaient pour lui demander où se trouvait Sire Django.

Comme celui-ci fut incapable de lui répondre, le jeune elfe se résolut à s'installer dans un coin en attendant qu'il arrive. Il l'avait déjà attendu à l'Auberge des Fées mais n'ayant vu aucune trace de lui, Slayn s'était rendu à la caserne ainsi que lui avait conseillé Messire Alliage. Soudain, un soldat s'assit à ses côtés, aussi oublia-t-il momentanément la raison de sa venue pour essayer de glaner quelques informations utiles.

Quelques heures plus tard, ne voyant pas apparaître Sire Django, le jeune elfe quitta la caserne, repartant vers le Royaume et sa cité marchande, Trigorn.

(Je ne savais pas si je devais créer un nouveau sujet ou poster là donc désolé si je me suis trompé :/)

Misakith pénétra dans la Caserne et observa les gardes qui s'y trouvaient. Il s'avança vers l'un d'eux et lui adressa la parole.

-«Je souhaiterai voir l'Officier Django.»

Le garde inclina la tête.

«L'Officier est pour le moment dans le Palais, mais il devrait pas tarder à revenir. Si vous voulez bien l'attendre.»

Misakith acquiesça et prit place.

A la sortie de la salle du trone un garde vint chercher l'officier et lui expliqua que le trésorier l'attendait. L'officier remercia l'homme d'un ton neutre, les evênements de la journée l'avaient épuisé mais il devait continuer, c'était son travail et il s'en était toujours acquitté avec zèle et cette affaire, aussi importante qu'elle soit ne dérogerait pas à la règle. Django arriva dans le couloir central de la caserne ou il vit Misakith assis, accompagné d'un garde. L'officier s'avança vers eux, congédia poliement le garde, salua le trésorier et lui demanda

-Vous me cherchiez Sire Misakith?

Misakith pivota vers Django et l'observa un moment. Il inclina alors la tête et émit un léger sourire.

-«Bonsoir Django.. j'aimerais voir la garde personelle de Vyn Neal.. Il y a quelque chose qui m'intrigue.. Vous avez fini de les interroger? Avez vous trouvé des indices?»

Django écouta attentivement Misakith puis lui répondit d'un air visiblement très ennuyé

-Je suis sincèrement désolé Trésorier mais j'aimerais que vous m'expliquiez en premier ce qui vous trouble...et que l'entretien que vous aurez avec sa garde privée soit surveillé par quelqu'un, que ce soit moi ou l'un de mes hommes de confiance. Loin de moi l'idée de vous suspecter mais j'ai fait deux énormes erreurs en un temps record et je ne tiens pas à en faire une troisieme. A part ça la garde de l'ambassadeur à effectivement été interrogée mais l'interrogatoire n'a rien révelé et désormais ils servent aux besoins de l'enquête. A part ça...vu que je ne m'interesse pas vraiment à notre politique, il m'était venu une hypothèse un peu folle et je voulais savoir si cette affaire de voie marchande avec un comté voisin avait été reglée, vous savez celle ou vous m'avez demandé de former un soldat.

L'officier regarda le trésorier avec une gène non dissimulée. Il avait une confiance aveugle envers Misakith mais sa mission voulait qu'il ne fasse aucune différence entre les habitants, désormais n'importe qui dans la rue pouvait être le ravisseur de Vyn Neal et il fallait agir en conséquence.

Misakith fixa Django et il espéra que l'Officier survaillait toujours les hommes car il serait dramatique qu'ils puissent s'enfuir avant que le Trésorier ait pu les voir.

-«Soit vous serez présent..Maintenant allons y. Du reste, je ne peux pas vous apporter de réponses précises pour le moment. Mais peut être par la suite, nous en saurons davantage.»

Django hocha calmement la tête, si Misakith ne voulait rien lui dévoiler, libre à lui de le faire. Du moment qu'il était surveillé ça ne changerait pas grand chose. L'officier attrapa un page qui passait par la et lui lança

-Réunissez-moi tout les soldats de la garde rapprochée de Vyn Neal et demandez a quelques miliciens de prendre leur place le temps de leur absence. Vous direz au soldats de se rendre dans la salle des aigles, elle doit être déserte à cette heure-ci.

Le page s'en alla en courant, Django le regarda s'éloigner puis se tourna vers Misakith

-Je vous propose d'y aller maintenant, elle n'est pas si loin d'ici et les soldats ne devraient pas tarder.

L'officier plaça ses mains dans ses poches et s'avança à pas lents vers la salle des aigles

Le Trésorier acquiesça lentement la tête et suivit Django en silence. L'Officier semblait quelque peu vexé de ne pas être dans la confidence mais Misakith pensait que Django trouverait cela bizarre de réunir des gardes sur le sujet de sang de chèvre. Il se devait aussi de réfléchir comment expliquer le fait qu'il allait humer chaque garde pour déceler le sang odorant de la pauvre bête qui avait du être sacrifié pour l'occasion.

-«Nous y sommes bientôt...?»

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