Appartement de Lunha

Lunha rapporta deux tasses et servit de la limonade, et manqua de renverser une tasse quand il parla de Lexius.

Moi et bien.....ça pourrait aller mieux a vrai dire...

Lunha cacha sa patte gauche qui commençait elle aussi comme celle de Sélénos et de Hélian.

Faenor !!!! Arrete de taper ton frère !!!

Lunha se precipita et l'emmena au coin.

Voila ma vie cher frère...Pleines de rebondissements....Et toi comment vas tu...depuis le temps

*tend le verre*

Alors qu’il était très tard dans la Capitale, Misakith venait de revenir du Royaume de Roland IV. Au vu de l’incroyable barrage, il avait du prendre un chemin qui rallongé d’une bonne journée son voyage. Toutefois il se permit une petite folie, allez voir sa douce pendant son sommeil.
A son entrée dans la Capitale, il salua les deux gardes qui s’occupaient de la patrouille nocturne, il se dirigea avant tout dans son appartement où, il y a déposa ses affaires. A pas de loup, il quitta son appartement se rendre à celui de Lunha.
Il tapa alors doucement à sa porte et sifflant entre ses dents.

-« Ma tendre, désolé de l’heure. Néanmoins, permets moi d’entrée en cette heure somnolente au sein de ton nid pour t’embrasser. »

Peut être n’aurait elle pas envie de ce jeu nocturne, toutefois il fallait tenter le coup. Dans une impatience folle, il attendit que sa douce vienne lui ouvrir.

Lunha alors endormie dans les bras de morphée fut reveiller, par des petits coups successifs. Elle alla tout d'abord voir dans la chambre de ces fils pour voir si le bruit ne venait pas de la. Mais non les petits monstres dormaient paisiblement....Finuviel son furet, lui tira un pan de sa robe de chambre et montra la porte d'entrée. Elle s'y dirigea, et ouvrit la porte.

Misakith ! Tu as vu l'heure ?

Sans aucun mot elle le tira a l'interieur, et l'embrassa tendrement.

Misakith et Lunha s’embrassèrent tendrement Un sentiment de bonheur parcourut le marchand. Celui-ci ne pouvait voir autant qu’il l’aurait voulu à cause de ses affaires sa chère amante. Néanmoins il resterait quelques jours à la Capitale pour se reposer, s’occuper de l’Ordre du Trésor et profiter de sa magnifique louve. Lorsqu’ils eurent fini de s’embrasser, Misakith l’enlaça.

-« Pardonne moi, ma tendre. Mon retour fut plus long que prévu et je ne pouvais attendre le chant du coq pour te voir. Je sentais l’impatience m’envahir petit à petit, alors que je rentrais à l’Empire, ma course n’a jamais été aussi rapide de Trigorn à l’Empire. Néanmoins, la distance ne fut pas tout à fait la même. Mais qu’importe, maintenant me voici, et je te serre contre mon cœur, que puis je demander de plus à Donblas, que la justice même de voir son amour. Je reformule mon vœu de pardon, par mon absence. »

Il la regarda dans les yeux et lui caressa tendrement la joue avec le dos de sa main. Le reflet de la lune sur son visage, lui donnait un charme mystérieux. Comme on dit, la lune est complice de toutes les passions de la nuit.

Après ce deuxième long baiser, Misakith se sentait de nouveau le plus heureux des hommes près de sa charmante louve.

-« Ce n’est rien, ce collier est un présent pour toi, Lunha. Je suis sur que tu dois être ravissante avec ce bijou sur toi. Et qui sait peut être la louve la plus coquette de l’Empire. Bien qu’il n’y en est pas tellement je te l’accorde. »

Le Marchand sourit après ce trait d’humour, et il la garda contre lui. Qu’importe la fatigue quand le bonheur est avec sois, on oublie presque tout.


-« Ta tenue de bal est ravissante, tu sais ? »

Misakith sourit à cette invitation, c’était la première depuis leur déclaration que Lunha lui laissait entrevoir une telle intimité de sa personne.

-« J’accepte volontiers cette invitation dans votre chambre à coucher. Un endroit encore inexploré par ma personne. Pourtant j’ai voyagé dans le Royaume tout entier, je crois que je ne vais pas trouver un endroit que je me sentirai aussi qu’avec toi. Je vous suis avec joie, ma guide. Que nous voguions ensemble avec fluidité. »

Il suivit son amante, jusqu’à son lit. Il découvrit une part d’elle, en ce lieu. Un endroit qu’elle avait décoré où elle habitait. Cela réfléchit à merveille sa personnalité. Un habitat et sa décoration peuvent être considéré comme un haut lieu d’intimité aussi. On y découvre beaucoup de chose sur sa compagne.

Quelques discussions montaient dans les étages, frappaient aux portes et s'en allaient dans un trés poli et trés heureux "ou revouar".
Ca se rapprochait, riant de tout se que ça avait déjà pu récupérer...

On frappa à la porte de l'appartement.