Par une matinée ensoleillée, sur la grande place de la Capitale, la vie paisible des citoyens prend son cours, sur le marché Impériale nombreux commerçants se hâtent de proposer leurs marchandises aux passants, quelques enfants jouent près de la fontaine de la place et une ambiance joyeuse était présente.
Soudain de grands cris d’oiseau, à la fois forts mais harmonieux, semblaient annoncer un message. Dans le ciel bleu de la capitale volait une magnifique créature au plumage or-ecarlate, Andarior, le phoenix du Gardien, était de retour et il n’était pas seul ; d’un vol majestueux et d’une grande vivacité, la créature semblait exprimer sa joie d’être de retour dans l’Empire et semblait également clamer dans toute la capitale le retour de son maître à Beleriand.
En effet , quelques secondes après le « chant » d’Andariror raisonnant de part et d’autre de la capitale, se firent entendre très distinctement des bruits de galops, un cavalier à la silhouette lumineuse masqué d’une cape arriva dans la place de la Capitale sur un cheval à la blanche crinière. Le doute n’était pas permis, il ne pouvait s’agir que du Gardien ; observant pendant un certain temps la place et ce qui l’entourait, il descendit enfin de sa monture, on remarquait cependant que sa main droite restait constamment voilée sous sa cape. À la venue du page chargé de porter les affaires du Gardien jusqu'à ces appartements et de celui devant ramener le cheval à l’écurie, un large sourire s’afficha sur le visage de ces derniers.
Page :
Bienvenue à vous Gardien et bon retour par mis les votre, les scribes de la Bibliothèque Impériale commençaient à s’inquiéter de votre absence de la Capitale et je serais ravi de leurs annonçait l’heureuse nouvelle de votre retour.
* Prend les quelques affaires du Gardien *
Gardien :
Bonjour a vous…sachez que votre allégresse est partagée, cette absence fut effectivement longue et trouble et certains lieux de la Capitale pour lesquels j’avais un intérêt particulier ont grandement occupé mon esprit…mais aucune tache n’est simple à accomplir quand il s’agit de la Guerre Des Armes * s’adressant au second page * ce cheval a fort besoin de se désaltérer, le voyage fut d’un grand défi pour lui physiquement.
Page écuyer : Bien Messire ! * s’éloigne vers l’écurie *
Beaucoup de changement avaient eut lieu, ne serait ce que dans l’architecture de la capitale, certain bâtiment avaient changé, d’autres étaient apparus et le regard du Gardien semblait s’être fixé sur de grands bâtiments à la magnifique architecture, s’érigeant plus haut que les autres dans la Capitale.
* Reprend *
Gardien :
De plus certains changements de circonstances ont rendu ma présence en d’autres contrée indispensable…mais je vois que les grands changements n’ont pas affecté uniquement ma mission.
*très souriant*
Page : Oui, vous avez raison Gardien, ce que vous semblez fixé avec tant d’insistance sont les Ordres impériaux bâtis très récemment, ce sont en quelques sortes des ministères de différente catégories et je suis ravi de vous confirmer que vous êtes gérant de l’un de ces ordres, ce que vous saviez sûrement déjà… ils abritent dorénavant les nombreux secrets de la Capitale…ou plutôt devrais je dire de Beleriand.
Gardien :
Beleriand…c’est un nom qui restera sûrement dans nombreuses légendes…mais pour l’heure avant de devoir dévoiler l’un des mystères liés à Beleriand, il me faut recouvrer quelque forces de ce long voyage pendant qu’Andariror profite à nouveaux pleinement des forets Impériales.
Page :
Très bien Sir Gardien, veuillez me suivre.
Tout en suivant le page, ce dernier ainsi que certain citoyens de l’Empire eurent leur attention attirée par cette lueur étrange que semblait dissimuler le maître des écrits sous sa cape qu’il réajusta davantage a la vue de tant de curiosité, comme pour dissimuler un objet…