<<Reccueil des textes rp>>

Futur tracé

Vhaidra 10/09 à 23:54

Dans une taverne, un chat est un jour venu me voir
Alors que j’étais accompagné, il est venu me parler
Serait ce le destin qui voulait avec lui me regarder boire
Ensemble nous avons de la vie et nos communs discuter

Durant cette soirée mon compagnon semblait l’intriguer
Et celui-ci ne manqua pas de rendre par son regard gêné
Ils s’affrontaient l’un et l’autre alors j’étais avec eux
Mon ami partit, dans une crise le chat s’écroula sous mes yeux

Je le sortis de cet endroit bruyant pour à la bibliothèque aller
Alors il s’est dévoilé, c’est un adversaire qui ne veut pas me tuer
Je ne peux le voir ainsi maintenant lui et moi sommes désormais amis
Un jour tout deux, nous nous reverrons sans être pour autant ennemi

Il est encore là seulement pour combien de temps
Quelques moi m’a-t-il dit, cela sera-t-il assez cependant
La détresse l’anime petit à petit, il sent l’étranger en lui
Que faut il faire pour l’aider à combattre celui qui l’a choisi

Vhaidra, Soldat Impérial.

* Lettre à Tomasu *

fastpouki 12/09 à 19:46

L'Empereur monta au sommet de la tour qui surplombait la capitale impériale . Un aigle attendait tranquillement scrutant l'horizon de ces yeux . L'empereur lui glissa une lettre entre ses serres et le regarda décollé

Cher Tomasu , être de folie comme l'on te surnome ...

Je te remercie de m'avoir envoyer ce livre qui fut pour moi jadis , une grosse interrogation sur son contenu .J'en ferai soit sur bon usage .

Je suis navré de te répondre si tard mais mon voyage dans le monde au dela des frontières de ce royaume a pris plus de temp que prévu .

Ce que j'ai vu la bas m'a permis de comprendre ton but . Et je pense que nous possédons finalement tout deux le meme but . Tu n'es pas si fou .

Même si cela est peu probable , sache que les portes impériales ne seront pas fermées à ton égard .

Je sais que nous nous reverrons bientot .

Fastpouki , Empereur

Le Renouveau de l'Ordre

sokar23 18/09 à 15:37

Un passé révolu un avenir plein de promesse, voilà ce que se dit Sokar après avoir tourné le dos à son ancien Ordre. Ce qu’il avait construit durant si longtemps venait de sombrer dans l’oublie. La bataille de Gathol fut le début de la chute de son prestige puis petit à petit tout autour de lui ne devint que faiblesse, seul ses précieux cavaliers demeuraient fort.
Seulement un jour, il perdit le pouvoir qu’il exerçait sur eux.
Swilioz disparut ne laissant aucune trace, juste un vide total, Anubis continua sa quête de pouvoir allant de tuerie en tuerie et CalamityJane mourut ne voulant pas affronter la réalité de sa personne et Tomasu s’exila dans l’île des cinq sages.
Ne sachant que faire, le Seigneur Démoniaque fuit le monde des vivants après avoir dissipé les esprits des cavaliers de ce monde. Suite à cela Anubis fut rappelé aux enfers et on ne le revit plus. Des êtres ayant marqués l’Ordre de l’Apocalypse comme Gabriell ou encore NightDevil, restèrent non loin de l’ancienne ordre démoniaque et de ces moments qu’ils eurent passés avec ces personnes.
Le retour aux sources pour Sokar lui rappela son passé et lui redonna du cœur dans son ouvrage. Il ne souhaitait pas que tout ce qu’il fut et fit soit perdu dans de lointain souvenir de gloire passé. Quoi qu’il adviendra maintenant, Sokar réapparaîtra dans un futur plus proche que l’on ne le croit.
Le temps passa à la surface de Vesperae, avec le temps on finit même par presque oublier ce passé. Mais c’est alors que Sokar revînt un jour où le temps était sombre et orageux, une atmosphère digne de ses ambitions. Il arriva près de Gathol déterminé dans une nouvelle croyance. Démonio et ses flammes de l’enfer lui paraissait moins intéressant que par le passé. Vanilius guide et maître des tourments de l’âme, Vanilius lui seul pourra lui permettre d’apporter souffrance et angoisse sur les terres du Roi RolandIV.
Seulement Sokar ne revînt pas seul, il était accompagné d’une jeune fille nommée « Kagura ».
Malgré qu’elle soit encore jeune, elle était une prophète de Vanilius et contrôlait une partie du pouvoir de l’être qu’elle adorait. Son visage était calme et paisible néanmoins cela n’était qu’une facette.
Le démon et la prophétesse allaient fonder ensemble TerraMori soit « Terre des morts ».
Et ainsi amener la souffrance contre leurs ennemis par l’appelle des sentiments et des morts.
Revenu dans les fondations de leur dernière Ordre, Sokar revit Misakith puis peu après Anubis. Sa démone lui avait manqué et son amour pour elle était toujours aussi intense, et la démone elle aussi paraissait ravie.
Anubis quant à lui avait changé, il pensait le revoir libre et subir son courroux, mais l’ancien Cavalier de la Peste avait lui aussi fait la rencontre de Vanilius. Sokar expliqua alors à ses alliés ses plans et le rôle de la jeune fille que l’accompagnait.
L’Ordre de TerraMori sera fondé sur l’adoration en ce dieu.
Peu après Tomasu revint sur le continent sorti de son exil et appris le retour de Sokar. Il alla le retrouver et décida encore une fois de le rejoindre. Non pas pour une adoration quelconque envers un dieux mais par respect ou bien alors par fascination.
Un peu plus tard, NightDevil et Gabriell revinrent vers Sokar ayant entendu la même que Tomasu peu avant..
L’Ordre de l’Apocalypse était peut être terminé mais maintenant, malgré que tous aient un coté démoniaque, ils se sont rapprochés et lutteront ensemble pour un avenir qui leur ressemble.
Le passé est maintenant révolu, des pertes qui ont eu leurs importances firent faiblirent l’Ordre de l’Apocalypse, comme des disparitions et des morts, mais ces personnes là n’ont pas disparu pour rien. Leur chemin vers la mort sera digne de leur personne.
Cependant un cycle des saisons est passé et pour la renaissance de ce cercle TerraMori sera pire que son prédécesseur. Avec le temps, certaines choses s’améliorent et d’autre ennemi de nos pensées et de notre foi seront combattus et vaincus.

écrit par KAGURA

Un nouvel avenir.

Anubis2 18/09 à 15:40

Mon retour du désert marqua la fin de l’emprise du cavalier de la peste sur mon corps, j’allais retrouver ma « liberté », mais à quel prix ?

Nous avions perdu à Gathol diminué par une lutte sur deux fronts. Sokar ne savait quoi faire, mes frères partirent on ne sais ou et ma sœur mourut ; il ne restait qu’une seule solution me libérer de l’emprise du cavalier. Il ne m’entendait pas comme cela. La manœuvre du seigneur démoniaque réussit, je fus libéré, ma liberté dura que peu de temps, ma fin arriva, l’esprit du cavalier avait pris une trop grande place, peut être car je ne l’avais pas rejeté ; soif de pouvoir. Sa venue était la bien venue. Je me retrouvai en enfer au côté de Vanilius, ce dieu façonna mon esprit pour qu’il lui ressemble et ainsi, réussir à me servir d’un de ses pouvoirs.
Pendant un long moment je restai dans les enfers aidant mon nouveau dieu dans ça quête, ce travail me plaisait assez. Ma formation étant presque achevée, j’en ressortais plus puissant…
Je revins en nouveau démon, libre de mon âme et vainqueur du cavalier de la peste sur le monde dans des contrées assez éloignées du royaume de RolandIV avec le don que Vanilius me donna.

Vanilius me donna un pouvoir mais quel pouvoir… Celui de faire apparaître des ombres, elles représentaient les âmes noircies par les tourments d’une errance éternelle.

Je commençai par la prise d’un petit village à l’aide de quelques ombres ; les gens semblaient plus terrifié par mon apparence que par mon pouvoir, je ne savais encore pourquoi.
La nouvelle se répandit, une « ombre » était apparue. Quelques-uns uns partaient terrifier, d’autres racontaient que c’était des histoires ; mais quand je frappais à leurs portes je devenais bien réel. Mon chemin se fit, parcourant les contrées, recherchant sans relâche le cœur de la populace de Vesperae.

Un matin l’ombre arriva dans les terres royales, traversant les forêts et les plaines en évitant les villes. Enfin Gathol ville perdue dans le passé, mais démoniaque à jamais. Je vis Sokar, et lui me reconnu qu’après plusieurs paroles échangées avec lui et ainsi il m’expliqua les évènements après ma mort. L’Ordre de l’Apocalypse n’existait plus, voulant renouer avec la gloire il créa un nouvel ordre ; il ne fallut pas me poser deux fois la question, j’adhérais à ce mouvement démoniaque immédiatement.

Riche de mes nouveaux pouvoirs, les humains périront ; si se n’est en se déchirant, nous le ferons

La mort n'est q'un début

Tomasu 18/09 à 16:56

Pendant mon exil sur l'ile des cinq sages j'appris d'énormes choses, sur la nécromantie, le chaos et la folie. Je tuais des ennemis ayant été la veille mes amis de taverne, des ivrognes sans intéret, leur prennant à chacun leur âme.
Puis je me mis à esquiver ces combats préférant les duels magiques, les faibles d'abord qui en mourrant libéraient la force de leur ame et me donnaient à moi celle d'en tuer de plus puissant. La vie se fit ainsi pendant une semaine, puis, sans savoir comment, je me trouvai en face d'un grand magicien, un spécialiste de l'illusion. Il ne fit pas exeption et fini ensanlanté sur le sol.
Après ce duel un vieil homme vint me voir et m'offrit avant de me mourrir dans les bras un étrange caillou orné d'un pentagramme. Je pris cette pierre et parti dormir à l'auberge. Dans la nuit j'entendis quelqu'un entrer dans ma chambre et s'approcher de ma cape. Je le vit entrouvant les yeux fouiller dedans...puis il tomba sur le sol, se tennant le ventre. La torture commenca alors et sous les coups de mes formules le faisant à chaque fois souffrir un peu plus il m'appris que cette pierre renfermait en pouvoir extremement puissant, un pouvoir qui pouvait à lui seul raser une armée entière, je compris que sous la douleur il délirait et arretai la torture. Il m'expliqua alors au calme que cette pierre était convoité par un vieux sage maléfique qui en l'utilisant voulaient faire apparaitre une armée pour lui seul. Cette pierre contenait un pouvoir chaotique et mal utilisée elle pouvait rendre tout êrte agressif envers tout le monde, lui étai payé pour la rammener à son maitre pour que ce dernier puisse rendre quelques habitants d'un village agressifs et ainsi obtenir de l'or pour ces recherches en alchimie.
Après avoir tué cet homme et volé son âme je pris la pierre dans la main la posant sur ma paume.
Là, ainsi posée, elle commenca à fondre comme du miel, s'enfoncant je ne sais comment dans mon corps, la douleur était atroce, je croyais perdre mon bras puis tout mon corps et puis le vide se fit...
Je fut réveillé par deux guerriers de moeurs pas tres récommendables, et derrière eux un homme encapuchonné tenant dans sa main mon épée, celle de cavalier de l'apocalypse.
Je me levai doucement marmonant une formule, quand l'homme mystérieux vit tomber du sang de mes mains il comprit, mais il était trop tard pour ses mercenaires...je les pris à la gorge et sans qu'ils n'ai le temps de faire le moindre geste ils se retrouvèrent en train de gémir sur le sol. En regardant un dans les yeux je sentis un frisson me traversé, puis l'âme que j'avais enoyer pour le hanter revenir en moi ; il prit sa hache et tranchat net la nuque de son confrère avant d'être abatu par son maitre.
Mon chapeau de fou sur la tête je fixai alors cet être étrange. Il me tendit mon épée et quand je la repris tenta de me poignardé, il lui en couta une main qui s'écrasa sur le sol.
Il retira alors la capuche qui lui cachait le visage et je vis apparaitre un masque rouge décoré de rayures noires. Son crane chauve luisait et l'avant de ses bras étaient tatoués de formules étranges.
De ses mains jaillir des éclairs qui embrasèrent la pièce, nous fumes obligé de sortir en restant sur nos gardes.
Dehors je devinait l'heure à la position du soleil, il devait être environ cinq heures de l'apres midi.
Il me jetta des éclairs dans le dos et me fit tomber sur le sable brulant, je me relevai et vis dans ses mains deux boules de couleur blanche et noire, deux sphères qu'il me lanca, je les recues dans le ventre et sans comprendre comment je ne sentis rien, Le Cavalier De L'Apocalypse prennait le dessus sur moi, je sorti mon épée de son fourreau et la prit dans ma main gauche, de la droite sortir des éclairs de couleur rouge, ils frappèrent mon ennemi de plein fouet et sans savoir ce qu'ils étaient vraiment je compris que cette pierre était à l'origine de tout cela. Puis, je pris mon arme à deux mains, autour de la lame tournoyaient ces élairs rouges et avant que mon ennemi n'eu le temps de reprendre ses esprits il fut transpercé de ma lame.
Je me réveillait quelques heures plus tard sur le sable frais de la nuit, les membres en sang comme si j'avais été tué, je vis mon épée tachée de sang, le mien, je ne compris pas tout de suite, puis en me retournant je vis le cadavre de l'homme au masque rouge.
Je compris plus tard que le cavalier qui me hantait avait utilisé ses dernières forces pour vaincre ce sorcier et, en apprenant la mort de Calamityjane, que le cavalier de la guerre était entré dans mon corps lors de ce combat.
Après avoir longuement réfléchi à ce qu'allait être ma vie apres la mort des cavaliers je parti vers le port laissant derrière moi ce cadavre masqué, un masque qui restera sur son visage pour encore longtemps...

Le mal ce sont les défauts que les hommes ne veulent admetre, le bien c'est les hommes tels qu'ils se voient, le chaos et la folie c'est ce qui les unis, la folie de vouloir toujours trouver moin bien que soi et le chaos du monde qu'elle engendre.

Tomasu, être de folie

Longtemps j'ai vécu.....

Gabriell 18/09 à 19:33

Ayant comme seul compagnions ma solitude. Ne pouvant faire confiance a personne. Et pourtant toute cette vie me ronge un peut plus a chaque jour, tout comme ce poignard. Je sens que seul je ne peut plus rien faire, je doit trouver un endroit ou ont m'acceptera. Le bien n'est plus une option, trop de haine dans leurs regard et trop de rage dans leurs coeur. Je ne suis plus le bienvenu labas.

La Terramori elle ma aceuilli les bras ouvert....

Peut être ici je trouverai la "famille" que je cherche tant. Mais une chose est sur, je ne suis plus seul.

Gabriell
Ange déchu

Duel entre "frères"

TeCh'k 19/09 à 19:20

*placarde une affiche sur les murs de Sarosa*

Coac, coac, voyageurs de tout horizon,
Ce 24 Brasis Kistisbé à 21 heures
Aura lieu un duel entre TeCh'k, et LlCoolDave.
Je vous invite à venir voir ce massacre,
Contre celui qui frappe de jeunes innocents.

Que justice soit rendue.

( Petit event' rp, donc samedi 24 , à 21 heures, aura lieu un duel de 10 manches entre lui et moi. Le lieu de rendez-vous se fera à Coacville, et les duels dans les environs :p )

Cauchemar?

Lisèn 21/09 à 10:19

Il était tard, mes anges dormaient profondément depuis déjà quelques heures, et je tournais dans mon lit, tournais et me retournais... Tant de choses à penser, tant de choses rongeant mon esprit et ma mémoire...

Je sentais la fièvre me prendre, ma respiration était haletante, dans ma tete se succedaient des images, aussi anciennes que récentes, il y a tellement de sang...
Lordtorture et ses ricanements, Venin et sa voix qui glace le sang, mon enfant pleurant dans des bras putréfiés. Je sombrais peu à peu dans un sommeil agité, J'étais pieds et poings liés, je ne pouvais que regarder l'horreur qui m'entourait...

Fozzy dans sa souffrance intérieure me regardait de cet air si mélancolique qu'il avait toujours eu, il s'éteint sous mes yeux et je n'ai rien pu faire...

Des flammes et la chaleur, des cris de douleur, des rires sadiques... Oh Oasis où es-tu? Oh Oasis mon amie qu'est-tu réellement devenue? Combien de larmes sèches as-tu versées?

Oh Démons combien de rires ai-je pu entendre... Mais quelles souffrances vous rongent donc tant pour prendre plaisir à la douleur?

Puis le silence... Une image seule, un poignard, un bruit sourd d'un corps tombant sur le sol, et ma satisfaction... Je savais quelle douleur engendrait ce plaisir, je connaissait en vérité la réponse à ma question...

Nous sommes tous similaires, nous nous entretuons et je suis là, pieds et poings liés, et je dois regarder...
Regarder une petite fille que j'aime de tout mon coeur souffrir de ces visions d'horreur au point de vouloir se laisser mourrir elle-meme...
Regarder mon bébé, hurler, entouré de cet épais brouillard noir... Qu'avait-il demandé alors? Un droit à la vie? Nous n'avons donc point ce droit...

il y a de cela si longtemps...

Et je me sens si coupable... cette culpabilité qui me donne ces sueurs froides et qui font que mon sommeil ne peut etre qu'agité...

Mon enfant hurle et sa soeur pleure.
Pieds et poings liés je hurle à mon tour, la souffrance de ma chair, comment la supporter?
Prenez-moi et laissez les innocents...

Je me réveille, en nage, mes petits sont venus me trouver, ils m'ont entendue crier...

Malgré les larmes et l'horreur sans doute encore présente dans mon regard, je les prends dans mes bras... A quatre ans, on ne prend pas de place...
Dormez en mon sein mes anges, nous trois et notre amour, nous resterons indestructibles... Je vous aime.

Ma vie pour le monde et l'avenir

Elfe de l'Ombre 21/09 à 13:27

Déchirant les pages poussiéreuses du très vieux livre de ma triste et misérable vie, espérant un jour trouver le calme et l’apaisement de mon âme, que je n’ai jamais connu dans toute ma vie. Oubliant les pages arrachées, oubliant les personnages, les phrases, les mots, qui m’ont fait naître dans ce monde où une vie est le plus précieuse de tous les cadeaux. Les habitants de cette boule d’eau et de terre, vive pour la guerre, vive pour se défendre des ennemis de plus en plus redoutable. Ces ennemis qui ont même oublié les alliances entre êtres maléfiques, s’attaquant aux autres sans faire attention, sans s’occuper des conséquences à venir, là est la perte du mal, la perte entière des races maléfique qui contribuent, même si le camp adverse refuse de le croire, à l’équilibre du monde.
Il viendra un jour où les dieux devront faire un choix entre le bien et le mal, qui serra le gagnant de ces batailles divines ? Quoi qu’il en soit, si un des deux camps gagne un jour, l’équilibre entier serra détruit. Les alliances seront défaites, pour faire place à d’autres batailles, pour un morceau de terre, pour une histoire qui s’est passé dans les temps anciens.
Voilà pourquoi les races repliés derrière le mur de la neutralité, seront un jour les futurs maîtres du monde, détruisant les grands peuples, les grandes races, qui à force de batailles auront perdu des forces et seront des cibles à éliminer pour permettre aux races qui sont resté caché des années et même des siècles, à gouverner le monde, pour faire place aussi à d’autres guerres.
Le plus grand peuple du monde, les hommes, devraient réagir dès maintenant, mais ils sont bien occupés à détruire les autres races.

Même si les hommes font quelque chose, le monde sombrera dans le chaos, qu’ils le veuillent ou non…

Chapitre 11 : Ame perdu ...

tyr1oine3 21/09 à 13:34

Chapitre 11 : Ame perdu ...

Ma vie à complêtement changée ... Je ne suis plus le même ... Mon âme tout entière ne me reconnait plus ... De sombres idées habitent mon esprit. J'ai rejoins les DarkLord , aprés une longue explication ... Je suis aussi noire qu'eux ... Bientôt je passerais l'épreuve de la skull , qui me convertira définitivement en démon ... Seulement une peur nouvelle m'habite ... Me souviendrais-je un jour de ce qui s'est passé avant ? Des gens que j'ai aimés , et qui malgrés le temps restent toujours mes amis .. ? Silk ... Hanasei ... Omega slipknot , mon frere ... Mais gravity ... Je ne suis pas tout à fait le démon que l'on attend de moi ... Mais j'ai déjà failli le tuer ... Gravity ... Mon ami ... Je n'éprouve donc plus aucun sentiment ? Suis-je voué à devenir un démon ... ? Je ne sais plus ... Oublierais-je alors Hanasei ... ? La demi demone qui m'a troublée ? Je dois le faire ... Tant pis ce qu'il en adviendra ... Le temps passa ... De nombreux combats dans le pub de sarosa ... Des royalistes , des imperiaux , Rukainn ... Zoy m'a demandé de l'éliminer ... J'ai risqué ma vie pour entrer dans ce chateau ... Le chateau de l'armée royale , l'armée que j'ai trahie ... Pour passer un message à Silk ... Il m'a laissé partir , mais demandé d'éliminer Rukainn ... Ce n'est plus mon affaire à présent ... Itsumi ... Les bruits courent qu'elle veut me terasser ... Car c'est de ma faute qu'elle est allé en prison ... Oserait elle s'attaquer à l'un des leurs maintenant ... ? Je n'en doute pas un instant ... Ma vie changera tres prochainement ... Je ne sais plus ou j'en suis ... Est ce que je mérite de vivre ... ?
Non ... Je suis voué à devenir à tout jamais ... Un démon ...

Si seule.

Rhéva 22/09 à 12:48

Je ne sais pas depuis combien de temps j'étais là... Je ne sais pas jusqu'à quel point ils avaient réussi à me souiller.

Je me souviens de cette soirée, je rentrais à la capitale le coeur léger... Et ils m'ont reprise. Ils m'ont trouvée.

J'avais appris à ne plus les craindre, je me croyais protégée pour toujours... Mais ils m'ont reprise.

Ils m'ont emmenée dans cette si grande ville, si grande... M'ont enfermée dans ce lieu, il y avait ce lit...

J'ai vite compris quelle allait etre ma punition pour les avoir fuis.
Et il y a des jours, des heures que tous ces gros hommes pleins de vices venaient trouver la chair fraiche de mon corps...
Je connaissais ces choses, je l'avais vécu si longtemps, j'aurais du y etre habituée...
Mais s'habitue-t-on réellement à ces respirations rauques dans le cou? à ces mains prenant possession peu à peu d'un corps, et ce que je le veuille ou non.

J'avais essayer de me battre, de refuser, mais je ne suis pas assez forte face à "eux". Mourrir ou servir leur crasse? mourrir ou servir leur pourriture, leur animosité, leur bestialité...

J'ai pleuré, j'ai crié. J'ai souffert sous leur coups... J'avais oublié combien ils pouvaient frapper fort...
Je vomissais mes trippes, le dégout m'envahit un peu plus chaque jour...

J'aurais sans doute pu m'en accomoder, comme avant... mais après avoir connue une autre vie, et d'autre gens, le dégout n'a pu que me prendre à la gorge...

Et dans cette chambre fermée, je puis simplement essayer de préserver mon coeur, en croyant qu'il vont me retrouver, qu'ils vont venir me chercher, et qu'ils me nettoieront de cette pourriture intérieure...
Chaque fois qu'ils ouvrent cette porte, j'espère le voir entrer... mais ce n'est jamais lui, jamais sa douce voix et son doux regard dans lequel on peut se sentir femme... seulement une voix répugnante et des yeux dans lesquels je me vois comme un appétissant morceau de viande...

Venez me chercher...

Oasis

La Nouille 22/09 à 18:19

Du ciel s’éteint ma peau. La lune fait son apparition, effaçant le sempiternel soleil., achevant le cycle monocorde de la vie, annonçant la fin de la journée.
Une nouvelle lueur naît de cette obscurité. Celle des flammes, celle de la danse et celle du bruit.
Un nouvel espoir qui naît, une fièvre volage qui envahit le désert aride.
La nuit s’efface, les feux dansent, le mélodie entraîne les plus jeunes et les plus vieux dans une danse fantastique.
Et tout bouge, et tout roule, et tout chante.
Les cœurs s’allument, ce soir c’est la fin de la saison. Ce soir on enterre nos peurs et nos cultures.
On oublie le reste du monde, seul compte à présent ces jeunes et ces anciens, tous mêlés dans une même joie.
Seul compte notre amour, et malheur à celui qui aime le chagrin. Car en pareil circonstance, même le plus taciturne des loup devient aussi joyeux qu’un papillon.

Dans la nuit crépitent les flammes, la lune montre son croissant, et les étoiles offrent un spectacle splendide.
Qui peut leur résister ? Ces point lumineux, seuls guides dans le néant. Observateurs silencieux de toute la haine et de tout l’amour du monde.

La musique enivre les cœurs insouciants. Ce soir c’est la fête. Encore et toujours, il faut montrer la joie.
Mais est-ce que le fou est devenu roi ? Avons-nous perdu pour autant la tristesse des âmes perdues, solitaires.
Dans le coin un grand père regarde les dunes, insoumis, à genoux devant l’oubli, priant pour que jamais on ne le perde. Son fils est parti avant lui, il doit fleurir son tombeau. La nature aurait du engendrer l’inverse. Mais au loin, dans cette obscurité, dans cette espèce humaine, il y’a la misère qui se traîne. La haine, la menace. Des milliers de maux qui sont près, d’un rebond de leur conscience, à venir terrasser nos vies, comme il l’ont déjà fait, et comme il continueront encore.
Qu’Est-ce que je pourrais lui dire moi ?
Au fond qu’Est-ce que l’on espère ? Revoir fleurir les tombeaux ?
On aura beau crier ce silence de plomb, cacher nos peines de cette musique libre. On aura beau croire en lui, je n’effacerais jamais sa peine. Et ses yeux dans la nuit se perdent. Il pleure.

Et le fou ne deviendra jamais roi…
Parce qu’ainsi est faite la nature, voir partir avant les plus jeunes, les plus purs et les insouciants.
Le sage lui, vieux et malade, n’ira jamais se battre pour des idées qui désormais le désespèrent.
Sommes nous condamnés à voir partir les anges en premier ?

J’ai vu le roi. J’ai vu le sang et puis les larmes. J’ai entendu des milliers de discours. Des mielleux, des tendres, des durs. J’ai connu des temps de paix, des temps de guerres.

Je n’avais encore jamais vu un ancien pleurer…

Un homme en cape noire ...

tyr1oine3 23/09 à 19:23

Un homme en cape noire arriva devant les portes du chateau , puis sans pénétrer à l'intérieur s'adresse à un des gardes...

"Tenez ... Ceci est une lettre pour l'armée royale ... Donnez là à n'importe quel membre ... De la part de tyr1oine"
*Lui tend la lettre puis s'en va*

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Disparu
Tomas 23/09 à 20:44

Le soir arrive, annoncé par la lente descente du Soleil et une brise fraîche qui me fait frissonner. Je resserre ma cape noire autour de mes épaules et met ma capuche. Alors que je marche dans la forêt au sud du château, j'aperçois encore quelques guerriers qui tuent les derniers monstres. Aucun problème qui requiert mon aide, aucun trouble qui requiert mon statut de soldat. Puis-je esperer à une soirée tranquille? Pour une fois, dans cette semaine, une soirée calme, rien qu'à moi?

J'arrive à Sarosa. Des dizaines de gens vaquent tranquillement à leurs occupations, comme toujours dans cette petite ville très animée. Je me dirige vers le pub. Une foule de personnes se dressent devant. Du premier coup d'œil, je n'y vois rien d'anormal et continue d'avancer. Puis j'aperçois plus distinctement les personnes, et reconnaît Messire Gravity, entourés de démons. Je dois m'en aller, partir loin des problèmes! Mais je ne recule pas. Non, j'avance même! Fichue conscience.

J'arrive aux côtés de Messire Gravity en enlevant ma cape, et dévoile mon blason. Je le salue et me retourne vers les démons. Ils sont trois, et, à ma grande horreur, je reconnais Tyr1oine. Tyr1oine, un des meilleurs soldat royal, un allié, un ami! Un ami qui pointe maintenant son arme vers Gravity. Je me ressaisis et sors mon épée courbe de mon fourreau. J'attaque en même temps que Gravity et me jette sur un des démons. Le combat est dur pour moi, étant déjà blessé, mais je tiens bon. Quelques instants après, j'aperçois mon ami Kandjar. Trois contre trois, c'aurait pû être équilibré. Je me bats avec toutes mes forces, et le démon en face semble en pâtir. J'aperçois derrière lui Kandjar qui tient en respect Tyr1oine, totalement épuisé. J'éprouve du regret, mais ne laisse pas mes pensées aller plus loin, le démon attaque déjà. La victoire semble si proche, Tyr1oine est à terre, mon adversaire est épuisé, et je n'aperçois plus le troisième, ni Gravity. La victoire, oui, elle est à la portée de ma main. Elle est juste devant moi et je la saisis.

Puis je ne comprend plus rien. C'est maintenant Kandjar qui est à terre, recouvert de sang. Pour ma part, j'ai une dague dans les côtes, je souffre atrocement. Nous sommes maintenant deux contre trois, le troisième démon est revenu, avec Tyr1oine, paraissant remis, mais toujours aucune trace de Gravity. C'est maintenant la défaite que je perçois. Je suis à terre, deux épées posées sur mon cou. Soudain, je me mets à penser que je n'ai jamais songé à la Mort. Est-ce vraiment si terrible? Un sentiment de délivrance emplit mon esprit, remplacé soudainement par une terreur abjecte. Suis-je en train de délirer? Sûrement.
Je reviens à moi, du moins me semble t'il. J'ai cru entendre la voix de nôtre Chef, le Haut Conseiller Zoy. Non, je suis sûrement encore en train de délirer. Mais pourtant je l'entends, de plus en plus distinctement. L'épée posée sur mon cou m'empêche de regarder. Son porteur, le démon que j'avais combattu, regarde derrière moi. Saisissant l'occasion, je lui donne un grand coup de pied dans la jambe et me relève difficilement. Je me retourne et aperçois Zoy...tenu en otage par Tyr1oine, qui a posé une dague sur son cou. Il est allé jusque là! Après les années passées ensemble, voilà ce qu'il nous fait? La rage m'envahit et je cours vers lui. Mais je me rappelle, à temps, que l'autre démon est derrière moi. De justesse, je l'esquive d'un bond sur le côté. Je pare ses coups faiblement, trop épuisé pour faire mieux. Je sais que Tyr1oine emmène notre Chef, et je ne peux rien faire. Rien. Je suis totalement impuissant. Abattu, je me bats avec mes dernières forces contre mon adversaire. Zoy a été emmené, Kandjar est à terre, inconscient, et Gravity n'est plus là. Je suis seul. Je pare avec l'énergie du désespoir. Le démon en face de moi semble parfaitement en forme, comment est-ce possible? Avec une attaque vicieuse, il me fait tomber à terre en m'écorchant le torse. Je vois tout au ralenti, ses yeux rouges qui me fixent avec une lueur de victoire, ses mains noires tenant son épée, ensanglantée, qui arrive sur ma gorge. Elle est là, tout près, je sens presque l'acier...

Rien. Je suppose tout d'abord que je suis mort. Puis j'oublie mes réflexions. Je ne sens plus rien. Je ne vois plus rien. Ténèbres aussi noirs que l'enfer, où lumière blanche éclatante? Je ne sais pas. Je ne ressens plus rien. J'ai même du mal à penser.

Un murmure, une voix. Je l'entend, je la sens, je la vois, je la ressens. La Mort? Peut-être.

L'épreuve de la skull

tyr1oine3 24/09 à 15:37

Aprés une petite visite de Sarosa , je décida de retourner au chateau des darklord... Là , une surprise m'attendait .... Un colosse d'une taille terrifiante se dressa devant moi , puis me dis que le seigeneur savian voulait me voir... Sans en connaître la raison je me dirigea dans son bureau d'une démarche préssée , puis entra ... Savian m'attendait , assit , à côté se trouvait un objet recouvert d'un draps ... Alors il me dit que le moment était venu ... Il enleva le draps , et je découvris alors la Skull ! C'était une tête de mort en crystal , qui selon certains dires darklord , changeait quiconque en démon ... Si je la touchait , et qu'elle brillait d'un rouge éclatant , alors je serais un démon à jamais ... Adieu race de demi demon ... Alors je m'approcha , puis hésitant , toucha la tête de mort. Soudain , dès que je la toucha , un nuage noire remplit la pièce d'une sombrité exaltente , puis un bruit sourd survint. Je tomba au sol ... Inconscient ... Pendant mon inconscience des canines et des griffes poussèrent ... Lorsque je revint alors à moi , j'avais complêtement changé ... Je n'étais plus un demi demon ... J'avais l'apparance d'un démon ... Enfin ... Une nouvelle rage sanguinaire venait de faire surface , cette même rage qui était conservée depuis toujours , fut exploitée de la force de la skull , et me transforma en le démon que j'aurais toujours du être ... J'eu du mal a retrouver mes souvenirs ... Mais une chose était sur ... Je n'avais plus aucun sentiment envers mes anciens "amis" , plus aucune pitiée ... J'étais prêt à tuer au moment même... Je suis devenu une créature dépourvue de pitié ... Evidemment cette transformation me fit acquir certains pouvoirs , et je devins deux fois plus fort qu'auparavent ... Un nouveau démon est né ... Le terrible ancien démon tyr1oine ...

Nombre de messages : 28 Date d'inscription : 20/07/2005

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Cela faisait quelques temps que Rhéva avait quitté la Capitale de l’Empire. Une éternité pour moi. La vision de son visage me hante chaque jour. Je me remémore les derniers instants passés en sa compagnie. Je sens sa présence chaleureuse, son sourire gêné. Je sens sa fragilité apparente et sa robustesse intérieure. Comment pourrai je oublier ces délicieux instants, cette joie intense, le temps d’un songe, le temps d’un baiser déposé sur son cœur.

Comme je le craignais, tous les soupçons du Grand conseiller Amadeus et de l’Empereur Fastpouki semblaient se confirmer. On avait enlevé Rhéva, on avait capturé la beauté, enfermé l’amour. Fastpouki et Amadeus m’avait chargé de la ramener parmi les siens, de la rendre à sa famille, l’Empire. Je m’étais aussitôt attelé à la tâche. J’ai d’abord enquêté à la Capitale. Ecumant les tavernes, cherchant des informations auprès de toutes la vermine que je pouvais trouver. Mes soupçons se tournaient bien entendu vers ses anciens employeurs. Je connaissais le passé de Rhéva, je savais ce que ces hommes la forçaient à faire. Je n’en discutais jamais très longuement avec elle préférant me tourner vers l’avenir. L’avenir sans elle m’était insupportable.

Un soir comme tant d’autres, je retournais enquêter dans les bas fonds de la cité. Je m’arrêtais à une taverne sordide. Passais le pas de la porte et allais m’affaler à l’arrière de la salle. J’observais le ramassis de misérables qui remplissaient leurs vies à grand coup de choppe et d’histoires nauséabondes sur leurs derniers exploits. Voleurs, tueurs à gages, violeurs. Tous ces gens me rappelaient mon ancienne vie. Alors que je m’apprêtais à partir je sentis un mouvement dans mon dos. Une main vint se poser sur mon épaule. Je levais la tête en gardant mon calme et vis un vieillard édenté me faire un sourire effrayant. Il s’assit en face de moi et dit d’une voix mielleuse.

- Parait qu’tu cherches une fille ?

Je lui répondis d’un signe de la tête.

- Des in formations j’en ai mais toi de l’or en as-tu ?

Je lui jetai une bourse qu’il s’empressa d’ouvrir des ses doigts crochus.

- Bien, bien. La femme que tu cherches est une ancienne catin. Enfin ancienne j’en doute désormais. Je connais les hommes qui l’ont capturé. J’ai moi-même travaillé pour eux autrefois.

Il s’arrêta, de parler pour commander une bière naine qu’il paya avec son or fraîchement acquis.

- Je les ai croisé le jour où ils ont du capturer la catin. J’étais étonné de les voir dans le coin. D’après ce que je sais ils ont ouvert récemment un nouveau bordel à Abelheim. Où tous les riches et nobles des alentours viennent s’approvisionner en viande fraîche. C’est le plus grand bordel de la région à ce qu’on dit.

Il porta sa bière à sa bouche et la reposa devant lui. Je me levais sans un mot et lui jetai une autre bourse. Je lui tendis la main. Il se leva avec difficulté et me la serra. Il se rassit avec son rictus accroché au visage. J’espérais qu’il mourrait avec ce sourire pathétique aux lèvres, quand il aurait finit sa précieuse bière que je venais d’empoisonner. Je sortais rapidement et me rendais aux écuries impériales. Un page sella mon cheval et je m’enfonçais dans la nuit, bouillonnant de rage. Ils allaient payer, il ne nuirait plus jamais à quiconque.

Après deux semaines de voyage sans gros encombres j’arrivais à Abelheim. Je pris une chambre dans une confortable auberge. Le pécule que m’avait confié Amadeus pour mener ma mission à bien me donnait une grande liberté d’action. Après quelques jours d’enquête où j’inondais d’or toutes les tavernes de la cité, j’eu tôt fait de me voir proposer des plaisirs que ma bourse devait aider à satisfaire. Je me fis accompagner dans un manoir au centre de la ville. Le luxe était un faible mot pour décrire la demeure. On m’apprit que les filles et les femmes étaient retenues dans des dédales souterrains. J’imaginais le contraste avec la splendeur des salons privés que l’on me faisait visiter. Prétextant une fatigue passagère je promettais de revenir le lendemain et prit congé. Je rentrais à mon auberge préparer mon plan d’action. Mon amour devait être là, si proche, je sentais ma rage monter. Je préparai mon paquetage : gourdin, dagues, poisons. J’enfilai ma cape des ombres et sortit par la fenêtre quand la nuit fut tombée.

J’arrivais derrière le manoir et repérais les rondes de gardes. Quand un des gardien fut seul prêt du mur de derrière je sortais de l’ombre et fondais sur lui tel un prédateur. Ma dague vint lui trancher la gorge d’un coup sec et avant qu’il ne tombe à terre je le saisissais par les bras et cachais son corps. Je franchissais sans difficulté le mur d’enceinte et me retrouvais dans les jardins. Deux minutes plus tard j’étais à l’intérieur.

J’avançais sans un bruit déterminé et froid. Je semais la mort sur mon passage. Ils étaient mes proies et tombais comme des mouches, sans savoir pourquoi, sans savoir qui les décimaient les uns après les autres.

Arrivé à une grande pièce j’entendis deux hommes s’entretenir au sujet des femmes retenues contre leurs gré. A leurs paroles ils devaient être les maîtres des lieux. Ma rage montait, brusquement je passais des ombres à la lumière. Je restais immobile un instant pour voir la terreur dans leurs yeux rougis par l’alcool. Je lançais une dague qui vint se loger dans l’œil du premier homme qui s’écroulera lourdement. Tel un félin je sautais au dessus de la table qui me séparais du deuxième mort en sursis. Il fit volte face pour fuir mais il était trop tard. Je lui saisis la tête et lui brisai le cou en faisant tourner sa tête violement.

Apres avoir ramassé leurs clés je descendais dans les dédales souterrains. J’ouvrais les cellules où croupissaient des femmes et des gamines. Une femme légèrement plus âgée que les autres m’indiqua une cellule où une jeune fille avait été amenée il y a quelques mois. Mon cœur se serra dans ma poitrine. La description correspondait à mon amour. Je tendis les clés à la femme et lui dit que le chemin de la sortie était dégagé. Elle pleura et me serra dans ses bras pour me remercier. Elle fit demi tour et s’empressa de libérer les dernières prisonnières afin de quitter les lieux. Je marchai en direction de la cellule que l’on m’avait indiquée. Je m’arrêtais devant la porte. Mon cœur battait si fort que je croyais qu’il allait exploser. Je crochetais l’huis sans mal et ouvrit doucement la porte.

Une larme coula sur ma joue à la vue de Rhéva. Elle était étendue sur une paillasse et leva la tête. Sa mine était sombre. Elle m’observa un instant comme pour juger si son imagination ne lui jouait pas des tours. Je tendis la main vers elle. Elle éclata en sanglot et vint se blottir contre moi. Je la pressai délicatement contre mon cœur et pleurait avec elle à chaudes larmes. Je lui redressais la tête et lui adressais un sourire bienveillant.

- C’est finit. On ne te fera plus de mal. Plus jamais. Je te ramène chez toi, chez nous.

J’enlevais ma cape et lui mis sur les épaules. Sans un mot nous sortîmes discrètement du manoir. Blotti l’un contre l’autre. Une fois à l’auberge je rassemblai mes affaires et louais une calèche pour Rhéva. Nous rentions enfin à la Capitale de l’Empire. Ma beauté était là, l’amour était libre. Je me jurais de mourir plutôt que l’on touche encore un de ses cheveux.

un retour

sokar23 24/09 à 23:40

Sokar se dirigea au galop vers Gathol. La nuit ne faisait que tomber, le démon et sa monture ne faisaient que de sortir de la forêt.

La route qui mène à la ville morte porte encore les traces de la grande bataille, des armes, des squelettes, des boucliers, des casques, jonchent partiellement le sol. Le spectacle n’est pas très beau à voir, des souvenirs reviennent, des bons comme des mauvais.
Sokar passe avec Eclair de Feu, il se rappelle, de cette bataille, de ce moment de désolation mais il se rappelle aussi du courage qu’ont eu les hommes qui ont combattu les armées venant de Vesperae.

Ils s’arrêtèrent aux « portes » de la ville. Sokar descendit du cheval, il regarda longuement cette plaine, puis il se retourna vers les ruines. Sokar espère regrouper les peuples qui contribuent à faire régner le chaos et la terreur. Le démon a déjà essayé une première fois, l’initiative avait pratiquement réussit mais cette fois il envisage de mieux faire, pour que ce monde ne soit plus régit par le bonheur mais par la peur.
Le seigneur démoniaque se mis à genoux à l’entrée de la ville, il pris de la terre dans une main et Jato dans l’autre. Il leva la main plaine de terre vers le ciel, les grains tombèrent un par un.

Je ferai en sorte que la nouvelle Guilde, TerraMori, soit plus connue que L’Ordre de l’Apocalypse. Grâce aux hommes qui se dévouent chaque jour, nous deviendrons les êtres les plus craint de se monde.

Le démon regarda le vers le ciel, et récita une phrase dédiée à Vanilius dans un langage démoniaque, puis il se releva. Il monta de nouveau sur son cheval et repartit au galop en direction de la forêt

prêt pour la mission..?(+ lettre pour Elmina)

Fozzy 26/09 à 13:40

J'étais surment prêt pour cette mission.. A Trigorn j'achetais une nouvelle épée car mon ancienne étais rouillée. Je me posais encore la question "pourquoi y suis-je aller ?"... Pourtant je ne peut pas oublié mon passé et j'avais le sentiment que eux seuls m'auraient pardonnés... et ils m'ont presque pardonné. Ce sont surment les seuls qui peuvent me faire redevenir celui que j'étais avant. Pourtant j'étais tellement gener quand ils m'observaient.... dans ce corps.. J'avais tellement honte... Enfin, bientôt je retrouverais un corps de loup grâce à eux. ...oui... Démonio avait réussi à m'avoir une nouvelle fois... Seulement j'en étais conscient pour une fois.
Mais puis-je encore haïr les hommes ? Alors que finalement j'ai appris à en aimé et que certains m'ont aimés... Je ne sais pas. Tout dans ma tête est troublé mais je sais ce que je dois accomplir. Après cette mission, quand j'aurais retrouver mon corps je partirais voir Myra pour me faire pardonné. Et même si elle me pardonne, Le Loup Des Enfers sera de retour. Je n'est maintenant plus d'autre choix.

Me voici à Sarosa ? Les gens me regardent étrangement... non ils ne me reconnaissent pas, cela est impossible. Seulement je me cache bien dans ma cape noir.. S'ils s'avaient..... s'ils s'avaient que Fozzy se promène sans le vouloir dans un corps d'humain, ils rigoleraient bien tous..... maintenant ma seule chance de retrouvé mon corps s'est de réussir cette mission.

J'enlève la capuche, le visage d'un homme inconnu apparaît. Je me dirige vers la Bibliothèque puis entre à l'interrieur. Je prend une feuille et une plume puis écrit une lettre en esperant que mon plan fonctionne

Bonjour Madame Elmina,

Vous ne m'avez surment jamais vue et je ne vous connais que de reputation, qui est d'ailleur trés bonne! J'aimerais vous rencontrez pour plusieurs raisons.
Tout d'abord, j'écris un livre sur de nombreux aventuriers alors peut être que vous seriez interessé à m'en dire plus sur vos aventures et à repondre à certaines de mes questions. Biensur si vous le voulez, votre nom ne sera pas afficher sur le livre, tout cela restera inconnu mais seul vous et vos amis saurons que c'est vous qui avez vécue ses merveilleuses aventures.

Si vous n'avez pas confiance et on peut le comprendre, une personne comme vous dois être trés méfiante, vous pouvez toujours venir accompagné cela ne me dérange pas.

J'ai cru entendre que les livres vous interesse particulièrement. Alors qu'un livre raconte de vos aventures, cela ne devrais pas vous posez beaucoup de problème.

Je suis de passage dans la région, je voyage beaucoup pour rencontrer les aventuriers pour finir mon livre alors si cela vous interesse nous pourrions nous rencontrer à l'auberge de Sarosa puis vous pourriez me raconter vos aventure ensuite dans un endroit plus calme comme la Bibliothèque.

Au revoir,

J'éspère que cela va marcher que j'arriverais à lui prendre des informations. En esperant que personne ne me reconnaissent, je n'aimerais pas a devoir déjà utilisé ma nouvelle épée.

Etats d'âme dans le cloître du Temple

Poeri 27/09 à 14:56

L’été s’étire et finit peu à peu, languissant. Les premières pluies n’ont pas réduit les températures, mais soulagé la végétation qui a retrouvé ses couleurs. Le lustre des feuilles et des fruits nous a été rendu. Sous la treille du cloître, assis sur un banc de pierre taillée, je lève les yeux vers la vigne qui court au dessus. Les pampres gorgés de soleil et de sucre sont prêts à être ramassés…
Dans un sourire je pense aux vignobles d’Argelas dont le vin blanc est une pure merveille.

‘Il va falloir que je n’oublie pas d’en faire livrer au Temple. Non, j’irai moi-même le choisir, cela me donnera l’occasion de visiter les chaix. Puis ainsi je pourrai inviter mes amis à nouv…’
Ma gorge se noue à la formulation de cette pensée.
‘Mes amis…’

Je secoue ma tête afin de chasser ce vide qui se crée peu à peu et croît en moi. Une multitude de visages défilent devant mes yeux. Nyamo, Lisèn, Ratus, Aegis, Meleth, Amos, Luras, Fozzy, Itsumi, et tant d’autres, souriants, grimaçants, sereins ou rongés par une douleur ou folie intérieure, les voilà tous devant moi. Nomades, Esperanziens, Impériaux, Justiciers, Démons, et Templiers aussi. L’émotion me submerge. Certains ont disparu. D’autres sont hors de ma portée, je ne sais rien, ni ne peux rien pour eux. Les autres sont morts. Les derniers sont encore ici, et je chéris leur présence.
L’histoire et le temps sont deux monstres cruels. Ce sont deux meules qui nous prennent entre leurs mâchoires et nous réduisent en poussière. Rien ne nous est épargné.

Je me souviens de mon arrivée au Temple. Des premières affaires auxquelles je m’intéressais ou auxquelles j’étais impliqué.
Je me rends compte alors que les vides provoqués par l’absence de ces « frères » qu’étaient Chico et Alcyon ne se sont jamais guéris. Que je ne trouverai sans doute pas la force pour en formuler la douleur que cela provoque en moi.

L’apparition du groupe dit des « Petits Voleurs de Sarosa » : Angelo, Leny, Edhel, Redcheeks. De leur critique ouverte du trône et de l’Empire. Des mandats d’arrêt, des emprisonnements, de leur éparpillement.
La lente décadence de l’Empire, qui de sauveur se transformait en puissance occupante et en régime militaire. De la guerre contre les gobelins qu’il avait gagnée. Je me souviens du Général, de l’Empereur. De ma coopération avec eux, puis de la découverte de leurs exactions et l’antagonisme qui s’ensuivit avec le Temple.

L’assassinat de l’Impératrice. Cette femme qui avait sauvé le Royaume de la peste blobique. Qui avait mis fin à ce cortège incessant de charrettes portant cadavres à travers les rues de toutes nos villes. Du désarroi et de l’incrédulité provoqués par sa mort.
De l’arrivée des premiers Nomades sur notre continent. Venus du désert, ils avaient offert refuge et protection à d’anciens Impériaux. De leur lutte contre les démons et toute forme d’asservissement des hommes, qui pour eux devaient être tous libres. C’est à leur contact que cette furie purificatrice m’abandonnait. Je n’avais jamais été un fanatique, mais j’étais l’Inquisiteur. Perdu dans ma charge j’en avais oublié la compassion.
Penser à tout est trop difficile. Trop de passé, trop de sentiments complexes et profonds envers ces gens qui ne me connaissaient pas et m’ont accepté comme ami. Je sais seulement qu’ils ont survécu. Mais que reste t’il d’eux…Mon cœur se serre à cette idée.

Vite autre chose, ne plus penser à cela, pas à ce qui fait souffrir !
Esperanza… De cette île je n’ai jamais eu autre chose que les rapports de l’Inquisition. De ses habitants, Ten, Ticaj, Lehahel, Orodreth, je n’ai jamais croisé le chemin. Je les connais pourtant de part leurs actions, leur renommée. Le rêve d’Esperanza semble s’être peu à peu enfoncé dans les brumes qui entouraient l’île, et avoir été ôté aux humains.
Je ne tiens pas à replonger mon regard vers le sang, la douleur et la souffrance. La Royal Vengeance, Fozzy, Itsumi… Gabriell qui réussit à violer le Temple, Sokar toujours guettant, toujours menaçant. Lord Torture et son maître Venin.

Non pas de place pour eux dans mes souvenirs…
Pas aujourd’hui…
Et pourtant le visage de louve d’Itsumi à la fontaine de Laucian vient s’imposer à mon esprit. De la muette entente que nous connûmes cette nuit là, elle et moi, tous deux loups, tous deux victimes et bourreaux, nous comprenant enfin.
Fozzy dont la vie fut un chemin pavé du sang de ses victimes, de l’horreur des vies qu’il prenait. Lui qui fut tué quand il ne le méritait plus… Qui fut trahit par ses anciens alliés, amis, protecteurs. Entre tous son destin est sans doute le plus sombre, le plus terrible et le plus désespéré.
Le regard absent, je sens mon corps s’engourdir peu à peu. Trop de pensées tournent dans mon esprit. Un frisson plus fort que les précédents me tire à la réalité, me laissant comme échoué sur une plage après une noyade.

Je lève à nouveau les yeux vers cette grappe de raisin. Cette petite chose, ces quelques grains blonds, fruits du soleil et de l’été, ces globes de sucre liquide. Cela a réussit à me plonger aussi profondément en moi-même, à me tourmenter, à me faire revivre ma vie.
Je suis trop vieux désormais. Non pas vieux, usé. L’Inquisition m’a rongé, m’a dévoré comme un feu consume les bûches dont il se sert pour exister. Que reste t’il du jeune homme qui entra au Temple plein de vertus et d’espoir. Plein d’orgueil et de superbe aussi. Pas grand-chose…
Peut être est il temps pour moi de laisser ma charge entre les mains d’une personne plus neuve, plus jeune, plus endurante…
Les années ont fait de moi un homme de paperasse et plus celui de terrain que je fus. Peut être cela serait il mieux pour tous que je me concentre sur un office plus adéquat…

‘Tout cela pour quelques gorgées de vin blanc…’
C’est avec lenteur que je me levais et tendais ma main vers ces grains de raisin qui m’avaient engloutis si profondément en moi-même. Peut être leur douceur en cette fin d’été m’apporterait elle quelque réconfort…
Ce fut la douleur vive qui me fit véritablement revenir à moi. Je lâchais la grappe dans un geste brusque puis portais mon doigt à ma bouche.
‘La douceur t’es refusée Inquisiteur’ me dis je en suçotant la piqûre qu’une guêpe venait de m’infliger.
Alors à pas lents, j’entrais dans le Temple et remontais la nef centrale. Aariba m’accorderai la paix. Mon âme endolorie avait besoin de prière.

Perdu...

Lysius des Nomades 27/09 à 16:03

Un bruit frais, une humidité dans l’air, un murmure aérien.
De la pluie. Je ne connaissais pas ce phénomène. Le Naib en avait parlé autour du feu la nuit, et quelquefois des contes à la veillée laissaient nos esprits s’envoler et imaginer de l’eau tombant du ciel. Oui, de la pluie… J’avais aimé la pluie et toutes ces choses si étonnantes qui existent sur le continent ! Surtout le vert, celui de l’herbe, celui des forêts, celui des jardins…

Quel beau voyage…
Et me voici de retour…
Le sable, le ciel infini, la chaleur. Tel est mon monde, tel est le lieu où j’ai grandi, où je vis, où je mourrai sans doute. Je tourne doucement mon visage afin que mon nez et ma gorge soient hors du sable et que je puisse respirer une goulée d’air. Mes yeux sont secs et pleins de sable. Je tousse et entre mes cils collés je vois des éclaboussures rouges gluantes. Du sang…

Je suis plus mal en point que je ne croyais… une autre quinte de toux agrandit la tache rouge devant mon visage. La tête me tourne, le soleil semble darder ses rayons juste sur moi. Le monde devient flou et tout semble flotter dans un nuage de chaleur à nouveau.
Je dois me lever… Ou au moins ramper à l’ombre… Le sable glisse entre mes doigts sans force.
Je revois les tentes, les enfants à peine plus jeunes que moi, à courir entre les tentes en riant, les femmes, belles avec leurs sourires immaculés sur leurs visages sombres, les hommes fiers et doux, armés et pourtant toujours attentionnés avec les autres.
Je ne reverrais jamais l’Oasis.
Non je vais lutter encore et toujours, ils seront fiers de moi, je ne me rendrais jamais, pas même à la mort… pas encore… pas déjà…
Une autre quinte de toux me laisse sans force avec un goût amer de sang caillé dans la gorge.

C’est étonnant, je ne sens aucune douleur et pourtant je saigne…Sur cette pensée le monde se vrille autour de moi, un gouffre se crée sous mon corps, je glisse. Je glisse de plus en plus vite, de plus en plus profond… Tout devient noir.

Il ne reste que ce goût de sang dans ma gorge.
Suis-je mort ?
Suis-je vivant ?
Je ne sais plus…
Mais je sais que je suis un Nomade, et que par delà la mort je le resterai !
Oh… Venez me sauver…
Venez… me… chercher…
Venez… me…
Venez…

Dans le sable.

La Nouille 27/09 à 18:40

Les sentinelles quadrilles le secteur de l'oasis. Les elfes noirs sont encore redoutés, et il ne s'agit de ne pas se laisser surprendre par une nouvelle attaque.

Heydreth est un jeune fedaykin. 17 ans maintenant qu'il arpente la vie du désert, son corps et sa musculature l'on voués à cette profession.
Son cimeterre à la ceinture et sa longe toge qui l'enveloppe jusque sur le crâne il glisse ventre sur le sable brûlant.
La chaleur est intense, et le soleil dispèrse ses rayons par delà tout l'horizon.
Il s'arrête au sommet de la dune et scrute autours de lui. Pas l'ombre d'une oreille pointue. Rien ne bouge que l'ombre lente des dunes.
Il est arrivé au bout de son parcours, il peu rentrer à présent. Tout est calme.

Mais voilà Heydreth est un jeune homme, et curieux par nature. Il n'est qu'un jeune guerrier et désire prouver sa valeur auprès de ses ainés.
On lui à toujours appris à faire toujours un peu plus. Et Heydreth veut faire bien plus.
Il avance en se courbant sur le sable. Sa tunique le camouflant dans cette couleur jaune pâle et cette étendue de poussière.

Il avance toujours, sa gourde en bandouilière, presque pleine. On lui à appris depuis son plus jeune âge à limiter ses besoins en eau.
Il regarde toujours, scrutant l'horizon à la recherche d'un exeptionnel evénement qui fera de lui l'homme du jour.

Il avance et il tombe. Il a buté sur quelque chose. Quelque chose de dur. Vite il se lève et dégaine son sabre.
Mais devant lui il n'y a rien.
Alors il se met à fouiller le sable, peut être un trésor de guerre oublié.
Mais des cheveux rapidement apparaissent, alors il se met à creuser plus vite, plus fort, il sue.
Il dégage enfin le visage, c'est un homme, et il respire encore faiblement.
Alors avant de dégager tout son corps, il lui rince la bouche du sable qu'il à l'interieur.
Il faut faire vite, il présente des signes de déshydratation.
Alors il le sort du sable, il le fait boire et le portant sur ses épaules, avec courage, il le ramène à l'oasis...

HRP : j'espère que c'est ce que tu souhaitais voir arriver ! Tu es toujours le bienvenu à l'oasis, nomade. Viens sur le forum si tu veux, on t'y attends !

Vivre

Darkemperor 27/09 à 20:52

Tu as beau vivre et jouir de la vue, ta vie n'est qu'une mort, toi qui en gaspilles la plus grande part dans le sommeil et dors tout éveillé, toi que hantent les songes, toi qui subis le tourment de mille maux sans parvenir jamais à en démêler la cause, et qui flottes et titubes, dans l'ivresse des erreurs qui t'égarent."

La mort de dante*the*elfe ...

tyr1oine3 28/09 à 14:19

Dante faisait comme toujours sa ronde de nuit a sarosa ... Il savait pertinement que les démons se faisaient de plus en plus nombreux , surtout dans le pub ...
Il entra dans celui ci , puis observa la salle ... La salle était remplie comme a son habitude , et il se trouvait la un homme en cape ... Dante souppira puis s'approcha de lui ...

Dante : "Identité je vous prie .."

L"homme se retourna puis dit d'un air désagréable :

Homme : "Je ne vois pas en quoi cela vous regarde ..."

Dante aggacé , enleva la cape de l"homme , puis dans un geste horrifié , il lacha la cape ...
Devant lui se dressait tyr1oine , l'ancien demi demon de l'armée royale , un des membre de l'etat major , un homme de confiance , convertis par les démons ...

Tyr1oine :" Convaincu ... ?"

Alors il se leva puis sortit son épée ...
Dante n'eu le temps de rien ... Il se souvenu que tyr1oine sauta deriere lui d'une vitesse fulgurante , et une douleur horrible dans son dos ...
Dans un cri de douleur , il tomba su sol , et se tint le dos ... Du sang s'échappait de ses doigts ...
Il s'ecroula a terre , et d'une vision floue , vit tyr1oine au dessus de lui , levant son épée ... Puis le choc ... Plus rien .. Une marre de sang autour de dante ... Il était mort ...

lettre à l'empire

Tomasu 28/09 à 18:25

Empereur, comme je vous l'avais deja annoncé il y a peu je vous demande donc l'asile aujourd'hui et souhaite servir le bien.
Si je me join à l'empire c'est que vous êtes le seul en qui j'ai confiance.

Tomasu, mage du chaos

Autorisation de passage

fastpouki 28/09 à 18:38

Tomasu .

Cette lettre te permettra d'accéder à la capitale impériale . Les gardes seront prévenues de ta venue . Le Grand Conseiller Amadeus et moi t'attendons .

Fastpouki , Empereur