<<Reccueil des textes rp>>

Désobéissance

Elfe de l'Ombre 14/07 à 20:18


Drag se posa non loin des remparts ou des drows observaient.
Gelmir mit pied à terre, un chiffon à la main qu’il bloquait contre son visage.
Les portes s’ouvrirent pour laisser passer le maître des bêtes qui se dirigea vers une hutte.

Pendant qu’il marchait les drows étaient inquiets, l’arc de Narthe n’était plus avec lui…
Des chuchotements se firent entendre alors partout et Gelmir entra dans la cabane.
Il hurlait et des coups résonnaient dans la cabane ainsi que des éclairs bleus s’échappaient.

-Qu’est ce qu’il se passe ?

Orany venait de faire son apparition et avançait en direction de la hutte du maître des bêtes.
Cependant les loups d’étoiles lui barraient la route ainsi que le grand Garafâr dont le nom faisait même trembler les drows.

-Laissez moi passer ! Dit elle en levant son bras vers le ciel.

Mais les bêtes ne s’écartèrent pas, elle du employer la magie pour enlever la foule devant elle.
Gelmir sortit avec un bandage sur les yeux, remerciant d’un signe de main une belle jeune elfe sylvestre au regard sombre.

-Qu’as-tu donc ? Questionna Orany.

Le drow se mit à rire et l’entendant avant de s’arrêter et de lui dire.

-Vous avez des choses à apprendre grand prêtresse sur les autres races, je ne doute cependant, pas que vous soyez une bonne meneuse pour les elfes noirs mais il faut que vous sachiez que l’arc de Narthe doit rester ici, et il n’a jamais quitté les cavernes…J’ai créé quatre copies de l’arc, dans le même bois venu de la forêt de Gathol.
Je n’ai pas obéit à vos ordres et je vais de ce pas dans nos prisons…

Il commença à marcher mais la grande prêtresse l’interpella.

-Tu n’as pas à me donner des conseils et tu dois m’obéir au doigt et à l’œil !

-N’oubliez pas prêtresse…Vous dirigez la société des elfes noirs mais vous ne pouvez pas toucher à ce qui est de la guerre et des alliances…vous êtres la protectrice de l’arc divin et moi j’en suis le gardien et l’utilisateur. Vous devez mourir pour l’arc, et non moi…Il en était ainsi le jour où vous avez voulu entrer comme grande prêtresse et meneuse…

Il continua de marcher laissant Orany seule au milieu des elfes noirs qui retournèrent à leur occupation…

-Tu resteras une semaine dans les cachots ! Avec ton fils ! Hurla-t-elle à Elfe de l’Ombre qui venait de s’engouffrer dans le tunnel un sourire aux lèvres…

-J'ai gagné... Murmura-t-il

journal au 14 falonas

nerull 14/07 à 20:42

Journal de Nerull, le Drane 14 Falonas.


Me voilà à l’infirmerie, et je suis pas près d’en sortir… une telle quantité d’eau bénite, cela ne pardonne pas. Même quand on y résiste. Comment ai-je put en arriver là ? Et pourquoi ce soldat m’a t’il parlé de Sabin avant de me déposer devant le manoir ?

Je revois encore la scène. J’étais dans la taverne, à discuter avec Karn et une liche, qui désirait rentrer chez nous. Il y avait peu de clients, à par un autre couple, au comptoir. A un moment, je me rendis compte que l’un des membre du couple étai en fait un drow. Et qu’en face, sa victime était humaine. Celle –ci se rendit apparemment compte de la nature de son interlocuteur car elle sortit une dague. En compagnie de la liche, nous nous mîmes en charge de la tuer, mais Karn ne se joint pas à nous, il avait fort à faire. Alors que la liche se mit à faire couler le sang de la pauvre humaine, un elfe entra, et se mit en tête de nous arrêter, soutenu en cela par une voleuse. L’inévitable arriva, et un combat s’engagea. L’elfe fut rapidement réduit à l’état de corps sanguinolent, mais la voleuse nous causa plus de mal. Elle courait partout, profitant du moindre répit qu’e l’on lui donnait pour nous lancer des dagues corrosives. Elle alla même jusqu'à me verser une fiole entière de son produit sur le bras, ce qui me l’abîma au plus haut point.. Néanmoins, elle était en mauvaise posture, et nous étions sur le point de la tuer.

C’est alors que divers personnes arrivèrent, toute venant prêter main forte aux humains. Le premier, un soldat royal, amena l’elfe et la femme à l’abris, pendant que deux soldats se mettaient en tête de nous détruire. La voleuse en profitât pour s’éclipser, suivie du drow. Arriva un autre démon en renfort, pendant que dans le même temps l’elfe et le soldat du roi se revenaient, après avoir mis en sécurité la jeune femme. Je me chargeais de l’elfe, qui ne me résistât, pas longtemps, ses blessures étant trop grave. Je lui enfonçait dans le ventre une dague empoisonnée que m’avait lancée la voleuse auparavant. Il s’effondra immédiatement, mais ses compagnons trouvèrent le temps de le faire évacuer, m’empêchant ainsi de l’achever. Mon adversaire suivant était d’une toute autre trempe. Il lui fallu peu de temps pour se retrouver derrière moi, son sabre contre ma gorge. Il sortit alors, de sa main libre, une fiole de sa poche. D’instinct, je savais que c’était de l’eau bénite. Je lui enfonçait donc ma dague dans la jambe, mais pas assez vite. Il eut le temps de me déverser sa fiole sur le visage. Quelle douleur ! Je n’avais jamais eu aussi mal de toute mon existence, même avant ma mort.

J’avais perdu ce combat, mais, profitant d’un sort lancé par la liche, je m’enfuis de la taverne, tel un homme mourant. Je ne fis pas dix pas que déjà l’elfe et la voleuse, que je croyais partis au loin, étaient sur moi. C’est alors qu’un garde royal arriva. Il était grand, vêtu de noir, et ses yeux étaient d’un noir de jais. Il devait être important car l’elfe s’écarta à son approche. Je l’avais vu se battre dans la taverne, et était même allé jusqu'à lui porter un coup. Minime, mais je l’avais frappé. Ce dernier se mit alors à me traîner derrière lui, jusqu'à l’entrée du manoir. Pourquoi ici ? S’il désirait me faire vire, il n’aurait pu faire mieux. Je refusais de devoir la vie à un humain, et essayait de le frapper. Mais j’étais sans forces. Je m’écroulais au sol, et ne parvint pas à me relever. C’est alors qu’il me dit : « je ne te tuerais pas, Sabin ne me le pardonnerais jamais ». Il s’en alla alors, me laissant dans l’herbe devant le manoir.

C’est alors que Karn revint au manoir. Il me vit, et prit soin alors de me porter dans l’infirmerie, où je suis encore pour un temps certain. Deux jours m’ont dit les infirmières. Pendant ce temps, je dois à tout prix en apprendre un peu plus sur cet homme. Et sur Sabin. Pour le moment, je dois me reposer, ensuite, je contacterais le vampire. Il saura m’aider.

Une nouvelle vie.

Galfi 15/07 à 04:21


Le camp des Paladins était plongé dans un sommeil profond, seul Galfi ne dormait pas. Il repensait sans cesses a ses derniers jours, plus ou moins interessant. Il ne regrettait pas sa curiosité. Se transformer en humain après avoir bu quelques potions, qui l'aurait cru ? Cette femme lui avait promis de faire tout son possible pour lui rendre son apparence féline. Cependant, il avait fini par refuser. Ce monde commençait à lui tenir à coeur, surtout les Paladins. Rukkia, Gyani, Cebrail, FinKin... Ses compagnons, ses partenaires étaient là. S'habituer à la vie humaine est parfois très dur. Surtout lorsque l'on fréquente les tavernes comme celle de Trigorn, où le sang coule à flots chaques jours. Sa vie de chat lui manquait, certes, se lever quand bon lui semble, aller partout, fouiner... Une vie de chat ! La soirée qu'il venait de passer était certainement la plus belle de toute sa vie, Rukkia lui en avait promis des tonnes d'autres. Curieux de savoir ce qu'il s'est passé ? Laissez-lui vous compter sa soirée.

Galfi marchait dans les rues de Trigorn en direction de la taverne, dans l'espoir de trouver Rukkia. Il était impatient de savoir si son remède était terminé, il avait pourtant déjà quelques hésitations. Par chance, elle était la ! Mais pas seul, Cebrail, le grand dirigeant du groupe était présent, en train de se battre avec une créature ailées. Sa réaction fut courte, habituel à celle d'un chat.

- Ouais ! Du poulet ! Allez Cebrail ! Allez Cebrail !

Quelqu'un posa une main sur son épaule pour l'empêcher de s'avancer plus, c'était Gyani, le Diplomate des Paladins.

- Galfi... Ne t'approche pas... Ce n'est pas un jeu...

Galfi observait le combat, comme lui avait en quelque sorte demandé Gyani. Cebrail semblait faiblir a chaque secondes, son adversaire prenait l'avantage à vue d'oeil. D'un air sournois, il repoussa violemment le vieillard et d'un geste rapide donna un coup d'épée vers la jambe de Rukkia. Dans un petit hurlement, elle recula, une petite entaille creusée dans son tibia. Galfi dégaina alors son épée et s'interposa, l'empêchant de continuer d'avantage, Cebrail put alors atteindre l'une de ses ailes et l'éloigner lorsqu'un nouveau Paladin fit son apparition: Haëril. Il venu en aide à Cebrail et repoussèrent très rapidement la créature qui fut obliger de fuir. Galfi avait pendant ce temps déchirer un bout de sa tunique et en avait fait un bandage autour du tibia de Rukkia. Haëril se présenta rapidement, Cebrail fut obliger de partir, une affaire importante surement. Haëril entra dans la taverne, les trois autres étaient restés dans les rues de Trigorn, cherchant à tuer le temps. Rukkia eu rapidement une idée

- Et si nous allions manger ?!

Gyani se reveilla rapidement, son estomac gargouillait.

- Bonne idée... Et où ?

Galfi pensait déjà à déguster son plat favorie, du poisson, si bien qu'il ne plus se retenir

- On a cas manger du poisson !!! Je peux en pêcher !!!

Le groupe acquiesa à l'idée de leur compagnon, ils se mirent en route pour Lyhnn. Sa rivière grondait de divers poissons, la pêche n'y était pas très difficile. De plus, leur campement ne se trouvait pas très loin, si bien qu'ils oublièrent leur chevaux à Trigorn. En route, un Shaamah les avait rejoint, ayant été invité par Rukkia, elle voulut aussi inviter un Drow, celui-ci refusa, ce n'était pas très étonnant. Une fois arrivé sur place, Gyani répartit rapidement les tâches de chacuns.

- On va manger du poisson cuit au feu de camp. Galfi et moi allons pêcher quelques poissons. Le Chat...

- Shaamah !

Gyani le dévisagea un moment, puis reprit

- Le Shaamah... Toi tu vas chercher des lapins... Autant faire un repas complet...

- Yi vais !

- Dame Rukkia, chargez-vous de ramener à boire et des choppes. Allez, tous au travail !

Le regard du Shaamah s'arrêta sur la nasse d'un pêcheur, il tenta de s'en approcher mais Gyani l'en empêcha.

- Le chat... On ne vole pas...

- Le poisson est à celui qui le trouve !

- Le pêcheur la trouver avant toi...

- Faux ! C'est l'eau qui a trouvé le poisson avant !

Gyani soupira...

- Bon bah... on ne vole pas et puis c'est tout ! Maintenant file chasser le lapin !

Le Shaamah s'en alla rapidement, une autre idée avait surement germée dans sa tête, aussi bien qu'il oublia les lapins. Galfi était déjà dans l'eau, il avait déjà attraper deux poissons. Gyani entra lentement dans l'eau, accrochant un fil de pêche à son pied, ainsi qu'un ver comme appat. Il se relaxa au bord de l'eau, observant la nuit étoilée. Les minutes passèrent, Rukkia était revenue bredouille, Galfi lui avait donner ses quatres prises lorsque qu'un tapis vivant avançait sur le sol, en direction de la nasse d'un autre pêcheur. Le groupe ne mit pas très longtemps à reconnaître le Shaamah

- Ori !!! On ne vole pas !!!

Gyani envoya rapidement un cailloux sur la tête d'Ori, le sonnant légèrement, Rukkia l'emmena plus loin. A présent, il fallait recolter le bois, de quoi faire un bon feu de camp. Galfi, aidé d'Ori rassemblèrent le plus de bois possible, Rukkia avait sur elle une poudre créée par elle même, le feu de camp était prêt. Gyani égorgeait les poissons, les vidant de leur sang, devant les regards horrifiés de Galfi et de Rukkia. Pendant ce temps, Ori était a nouveau repartit, il était revenu quelques minutes plus tard avec un tonneau de boire.

- J'ai trouvé ça... Ca se mange ?

- Non, ça se boit. C'est de la bière. Ca pu et sa rend con.

Ori repartit à nouveau, cette fois-ci en quête de lait. Il revenu à nouveau, les poissons étaient presques prêts, il posa un nouveau tonneau, cette fois-ci rempli de lait non loin derrière Rukkia.

- Bon... qui va cherches des choppes pour boire la bière ?

Rukkia se proposa, très vite elle revenu avec les choppes, elle s'asseya, rapidement retenu par Galfi

- Attention ! Le lait derrière toi !

Elle déplaça le tonneau et se remit en place, cette fois-ci, tout était prêt.

- Servez-vous... Il y en a pour tout le monde...

Rukkia ne prit pas son poisson, elle avait perdu l'appétit, Gyani mangeait calmement, alors que Galfi et Ori avaient en un laps de temps déjà terminés. Il était déjà à leur deuxieme poisson. Galfi fixait le feu, c'est à ce moment la qu'il prit consience de la joie que pouvait apporter ce monde humain. Il avait mit sa part de travail pour finalement être récompensé d'un bon repas, sans avoir dépensé le moindre sous, entouré de ses compagnons, rien de mieux pour une soirée idéal.

- Rukkia... J'aimerai te parler... Plus loin...

- Euh... D'accord...

Ils s'éloignèrent plus loin dans le village, Galfi lui expliqua le pourquoi de cette isolation

- J'aimerai savoir... l'antidote est bientôt fini...?

- Oui oui ! Désolée du retard ! Il sera bientôt prêt !

- Ben... Comment dire... J'aimerai rester humain... Je commence à me plaire dans votre monde...

- Oh... D'accord. Je m'arrête la alors !

Elle lui souria, Galfi fut surpris de sa réaction, il pensait certainement qu'elle allait mal le prendre, elle avait déjà du passer des heures et des heures sur cet antidote. Il ne pu contenir sa joie et il l'enlaça, suivit d'un leger baiser amical sur la joue. Ils retournèrent vers Gyani et Ori, pour leur annoncer la nouvelle, si bien que Gyani lui proposa de l'aider à devenir un vrai homme. Il posa lentement sa tête sur son oreillet, puis il s'endormit pour un nouveau jour.

Le fléau des Anges

Draakan 15/07 à 11:42


Qui a dit que les anges et archanges étaient immunisés contre les maladies ?
C’est peu être vrai a l’exception d’une seule…

On la nomme « Fléau des Anges » pour le fait qu’il se propage seulement chez les êtres angéliques, qui peu mettre fin a leurs éternité s’il en est touché… Elle se fait rare, mais guète tout le monde dans l’ombre attendant de s’insinuer dans le corps de ces êtes des cieux…
L’attraper est pas bien dur… Être touché par un être maléfique possédant des pouvoir démesuré afin de lui infliger ça par magie.. N’avoir plus de la foi en ses maîtres peu en être aussi a l’origine, comme châtiment divin… Par la noirceur du cœur, pour ceux qui sont devenus fanatiques de la magie noire qui les entraîne souvent a devenir déchus afin d’en échapper… Ou tout bonnement par un malheureux hasard qui s’abat sur cette créature angélique…

Les symptômes sont violents… Maux de tête violent, troubles de la mémoire quelques fois, violentes douleurs qui arrivent n’importe quand, n’importe où… Les anges en réchappent peu, détruisant leurs âme bien souvent et les archanges peuvent en r’échapper plus facilement ou il y a bien 50% de rester vif, mais aussi 50% d’y rester pour toujours…
Cette « Malédiction angélique » comme certains l’appellent ne se soigne pas réellement… Mais la personne a plus de chance de survie si on s’occupe de lui.. S’il est seul, son destin est voir certain…

L’origine de ce « fléau » est a la naissance de la première ange… Une femme qui s’est dévouée toute sa vie aux autres morte tragiquement en voulant aider un innocent… Les dieux reconnurent sa bonté infime et lui accordèrent une 2eme chance pour qu’elle continue… Elle s’appelait « Angélique », d’où le nom de cette race. Démonio l’entendait pas de cette oreille, il n’acceptait pas qu’une femme puisse être élevée au rang de protectrice divine alors il créa une maladie qui s’abat seulement sur les anges, ceux qui ont été acceptés comme protecteur grâce a leurs bonté sans fin.. Les fils et filles que cette femme eut avec un homme nommé « Archéon », un humain furent appelés Archange qui furent aussi touchés par cette « malédiction »… Cette dame est désormais disparue certains disent qu’elle est morte par le fléau.. Rien n’est sûr.

La mort n’est pas inévitable, même pour les immortels…

Un armement meurtrier

Lungfëa 15/07 à 17:26


Abandon de l'armure lourde.
L'épée longue aux couleurs rouges sang reste rengainée et accrochée à sa ceinture.Meurtrière un jour,meurtrière toujours.Il n'a pas l'intention de s'en séparer maintenant.
Les gantelets d'acier lui ont tant servi.Il ne peut s'en débarasser...
Son long manteau noir,son écharpe écarlate.

Mais ce n'est pas ces babioles qui comptent.

Un sourire inquiétant,terrifiant même.Une rangée de dents aiguisées,prêtes à mordre,déchiqueter,arracher.
Deux ailes noires passant inapercues une fois bien repliées sur elles même.
Une volonté inébranlable,un esprit instable et incontrôlable.
Des caractéristiques physiques excellentes.
Une langue fourchue qui n'hésite pas à mentir,insulter,ou avoir un ton mielleux.




Pourquoi les dieux ont-ils permis qu'une telle horreur voit le jour?

Peut être que c'est un défi à l'humanité.Voir si un humain est capable de l'éliminer.

Lungfëa.

Il se fiche éperdumment des dieux.
Ne se soucie même pas de sa santé.
Ne se préoccupe pas de ses frères de race.

Lungfëa s'approche à petits pas.

De dos,le voyageur itinérant ne voit rien.

L'épée coupe l'air.

Une tâche rouge sur l'herbe.

Transaction avec le renard

Orix 15/07 à 20:37


Aujourd'hui,le 15 Falonas, à la fin de l' après midi.Je me rendis au pub de la ville portière de Trigorn, je davais y rencontrer le renard qui voulait mon poison...Celui qui m'avais demandé tant de peine pour être créer.Si il viens reclamer qu'il n'as pas fonctionner ça voudrat dire que c'est lui qui ne sait pas s' en servir.J'entre au pub et je rencontre Elanesse en train d'attendre, assis à une table, seul...

Orix:Tiens,renard,te voilà içi...

Elanesse:Oui,Mort-vivant,je suis içi et j'attend ce que je t'avais demandé.

Orix:Je l'ai içi.Prends-le.

Je tendis le flacon contenant le poison au renard, il le prit le considéra et le remit directement sous sa cape.Après cette transaction, peut être que tout le continent prendrait ne nouvelle figure...

Une bataille de gagné.

Rodo-do 16/07 à 01:03


Cela faisait exactement 1 semaine et quelque jour que j'était partit de Bélériand, mon retour allait surement provoqué de la haine envers les autres soldats et Impériaux. Je l'est avait lachement abondonné amenant avec moi les troupes qui m'avait été confié.
Bien sr je ne leur avait pas demandé de venir, cependant il prefèrent me suivre.

Je n'avais a présent qu'un seul objectif, c'était de retrouver l'assassin du medecin Impérial, Silver*Ange. Je me devait de retrouver cette elfe noir, l'elfe de la Royal*Vengeance, appelés Dranig.

Toutes mes recherches me conduisirent a un seul endroit, Couacville, la ville des hommes grenouille. L'ancien repaire du mage noir, a présent la liche Hogrim.
Les soldats commencèrents a chercher le repaire, se faisant pour le moin pas remaqruer cependant non loin de là, vers la foret menant a Couacville, un groupe d'homme armés avait fait leur campement.

Tentant de les distinguers, je voyait des démons armées d'hache, d'halebarde, épée a deux main, arc composite et tout autre d'arme pouvant tuer si ces dernier savaient les maitrisers.

Grigil: Que faisons-nous, Caporal ?
Rodo-do: Restez içi...Lors de notre visite a Trigorn nous avions rencontrés ce paladin, Cebrail je crois....
Uther: Il est vrai...ces hommes, bien que non nombreux, poudrait nous aider!
Rodo-do: nous somme tout juste une dizaine...il devait être 8 tout au plus...cela fait 18 homme contre un campement...

N'attendant aucune réaction, j'ordonnit rapidement Silveris d'aller retrouvé le Paladin, il devait pour le moment être a Sarosa, donc non loin de notre position actuel.
Pour le moment nous étions posté a la lisière de la forêts menant a Sarosa.

Une bataille de gagné. (2)

Cebrail 16/07 à 01:14


Cebrail était installé dans une maison, non loin de l'auberge de Sarosa. Il avait décidés de recruter de plus en plus de personne, la menace des démons se faisant de plus en plus grande et surtout depuis la perte de quelqu'un de ses paladins face au attaque de la gargouille de pierre Barbade, et du jeune Karasien Djenan.
Pour le moment il avait rencontrés plusieur soldat doué dans les charges et au corps a corp.

Il s'installit a coté de sa fenêtre regardant le crépuscule tout en tirant dans sa pipe. Son combats contre Lunfëa ne lui avait pas été bénéfique, c'étant fait battre rapidement.
Il savait que la vieillesse le ratrapperait rapidement, étant agés d'une cinquantaine d'année, il ne devait plus se faire d'illusion.
Mais les mots du nouveau paladin, Haëril, lui trotait dans la tête, et se demandait si ceci était faisable, retrouver sa jeunesse d'antan.

Il n'avait pas encore finis de pensé, lorsqu'on frappa a sa porte, il se leva et marcha rapidement afin de voir qui était la personne qui venait le déranger à cette heure ci-tardive.

Silveris: Nous avons besoin de vous!

Ne donnant aucune réponse, Cebrail s'affubla rapidement de ses protections de combats, et pris son Katana. Il abertit les autres soldats, puis commencèrent a galopaient en direction du campement enemis.
Leur premier combats depuis longtemp, et surtout aux cotés d'un allié, le caporal de l'Empire.
Cependant le Général des Paladins, redoutait leur défaite, ayant vu ce qu'avait fait le massacre du blocus d'Argelas.
Mais Donblas devait rendre justice, et la justice était a présent d'envoyer ses démons au cotés de Vanillius.

Aprés un long chemin, ils commencèrent à ralentir, s'approchant de plus en plus de leur alliés, et pour le même cas de leur enemis

La bataille d'un jeune Karasien.

Djenan 16/07 à 01:26


Tout était sombre, seul la lumière du feux de camps pouvait se voir. Chaque démons, si je pouvait appeler ça des démons, vaquaient a leur occupation.
Tous lourdement armée, ils n'avaient pas le même phisique, la même race, mais combattaient et restaient ensemble pour un seul but, détruire une certaine alliance du bien.
Bref une chose qui ne me préoccupait guère, mais tant qu'il me nourrissait et me payait, peu importait le travail.

J'avais d'abord rencontrés cette homme, un soit-disant ancien mage,devenu liche a présent, qui dégageait une aura assez terrifiante, une sensation qui vous glaçait le sang de la tête au pied. Quelle était son nom ? Il se faisait appélés tout simplement Hogrim, un menbre de la guild démoniaque Darklord.
Il était accompagné par un ancien de la Royal*Vengeance, Dranig, un elfe au yeux de feux.
Tout aussi terrfiant l'un que l'autre, Ardes l'avait surtout déconseillé de m'approchait trop de la liche.

Je regardit chaque soldats, squellette armée de cimeterre, d'arc, et de lance, a vrai dire il n'y avait quasiment que des squelletes et des cavaliers de la mort. Leur nombres n'étant pas vraiment énormes, ils pouvaient tout de même faire beaucoup de dégats.

'Djenan, tu ferais mieux de voir Dranig.'
"Pourquoi donc ? N'est-il pas aussi dangereux que Hogrim ?"
'Si, cependant je sens qu'il a quelque chose qui poudrais nous interesser...'

Je m'avança rapidement vers la tente de l'elfe noir, et entrit sans ménagement sous l'étonnement de ce dernier.
Me demandant ce que je voulais, je lui répondit rapidement si il avait quelque chose a nous dire, que sa soit sur mes racines ou sur un futur travail.
Contrairement a ce que pensait Ardes, il n'avait pas de grande information, mis a partqu'il aurait rencontrés lors de son voyage de Naep a Trigorn, un couple de bédouin dans un regroupement de saltimbanque.
Ne préfèrent pas m'attarder, je revint sur mes pas, et regardait le crépitement des flammes.

La marche des morts..

Dranig. 16/07 à 01:54


Que c'était-il donc passé ce moment la ? Face a Hogrim, j'avais perdu tout espoir, et je ne ressentait plus vraiment rien. C'est comme si tout sentiment m'avait été enlevés lors de notre rencontre dans la pyramide.
Tout avait été oubliés, alors que je devraids le traquer et le tuer, je ne ressentait q'un immense respect pour cette homme, un simple homme qui était humain devenus a présent une liche, et une créature adpetes de magie noire.

A présent je n'était q'un simple pantin dans son échiquier mortuaire, je m'en rendais compte seulement je ne pouvait plus rien y faire. C'est comme si j'avais perdu le controle de on âme et de mon corp, pour lui être dévoués jusqu'a la mort.
J'était a présent dans un campement minable, avec des squelettes affublés d'armes de combats et d'un jeune Karasien que m'avait confié Hogrim.

Je sortit de ma tente, et regardait chaque personnes, l'endroit était trop calme, puis tournant la tête vers la forêt des ombres apparurent. Plissant les yeux je reconnis la carrure de soldat, prêts au combats.
Royaliste ? Templier ? Impériaux ? ou simple humain qui voulait nous faire partir de leur soit-disante terre.
Peu m'importait l'enemis, je combattrais, les combattrais jusqu'au dernier m'assurant que leur sang coulerait de ma lame.

- Preparez vous! Las-bas se tient des vulgaire chiots de Donblas! Exterminez les jusqu'au dernier! Faite honneur a Démonoi, en envoyant ces cloporte prés de Vanillius!

Un "Oui" général se fit entendre, puis dans la nuit la marche des morts commença, nous étions qu'une vingtaine, mais nous étions prés a mourire.

Dans le combats, l'odeur se fit sentir....

Rodo-do 18/07 à 14:21


Galopement bruyant dans les plaines...
Tintement des armes...Fracas des Bouclier...Du sang coulant a chaque coup porté. Tout se passe rapidement, face a la charge des morts-vivants, le premier reflexe a été de crier, crier le nom du dieux de la Justice, crier de rage et de courage.
Le combat commençait, tranchant chaque enemis a ma porté, tentant de me frayer un chemin parmis les squelettes armés.
Le premier but été de retrouvé Dranig, la seul raison qui me poussait a combattre, a tuer tout ces chiens de l'enfer.

Le sang se faisait sentir, le sang humains, je voyais mes amis tombés un a un, pour nous retrouver au total de 10 face a une vingtaine de démons.
Cebrail tenait toujour debout, combattant contre deux enemis a la fois, Uther frappait a coup de masse chaque ennemis qui tentait de le planté, Arthas visait avec une grande habilité, décochant des flèches a plusieur reprise. Tout ces efforts pour rien, car nous avions l'impression qu'il en revenait de plus en plus...
Lorsque je me trouvit face a une personne, faite de chaire et d'os, habillé de vetement nomades, du sang coulant de sa lame, et a ses pieds se tenait deux cadavres, Silveris Baorl, fantasin de l'Empire et Ferdinand Leroux, chevalier venant aussi de l'Empire.
Il me regardait de ses yeux bleu noir, ayant une lueur sadique dans ses yeux, un sourire a vous faire glacés le sang, il s'avança lentement vers moi, et d'un rapide geste il envoya un coup en diagonal, fit tourner le manche de sa lame dans ses mains, et enchainna rapidement en estoc.
Ayant bloqué la premiere attaque, la deuxieme néaumoins passa, je sentit la froideur de sa lame entrés dans mon épaule, puis vacilla en arrière pour tomber sur l'herbe rougis par le sang des hommes morts au champ de bataille.

Cebrail surgit rapidement, me trainant au sol, il me déposa prés d'un arbre et repartis rapidement au combats.

Les murs de la prison.

Hanasei 16/07 à 01:44


Les murs de la prison Darklord. Cele faisait bientot 4 jours qu'il m'entouraient, dans un silence de mort, je restais là à attendre. Mais à attendre quoi...?
Peut être qu'on me libère, peut être qu'on vienne me parler, me nourrir.
Seul, le démon aux yeux violets était là, chaque jours il veillait à ce que les prisonniers subissent les sorts qui leur était destiné.
Le murmure du vent traversait les geôles alors que la nuit éclairait de sa lueur pâle les prisons de Nagatnör.
Je n'étais pas bien utile au plan de l'elfe démoniaque. Elle ne m'avait pas expliqué en détail les raisons qui l'avaient poussée à me capturer, mais j'en savais assez pour le deviner par moi même.

Le dileme du bien et du mal lancé sur l'elfe avait été décidé par Ratus. Afin de lui faire comprendre que le jeune Elfe ne voulait pas le rejoindre, elle me captura.
Idée saugrenue a vrai dire. Je ne suis rien entre leur mains si ce n'est qu'un pion. L'ombre qui m'entoure fait place à mon angoisse. Ces lieux, l'enfermement, je ne peux pas... non je ne veux pas. Personne ne viendra me libérer, personne ne sait où je suis...Seulement 4 jours et 4 nuits, et déjà ce sentiment. Ces souvenirs qui me hantent, que je cherche à cacher. Cette prisons dont je ne pu m'échapper. Repliée sur moi même j'attend.
Peut être quelqu'un se soucie de moi. Les nomades pensent que je suis partie sur le continent pour faire des achats; Mais 5 jours suffisent-ils à acheter un tonneau de boisson pourpre ?
Et Tyroine ? Est ce qu'il me cherche ? Peut être est-il préoccupé par son affrontement contre les démons. Je voudrais au moins un instant pouvoir penser qu'il m'oublie, que je ne sois pas un fardeau pour lui. Mais le seul visage que je voudrais voir derrière ces barreaux, c'est le sien. Son regard clair, son sourire, celui qui me redonne courage, celui qui me dit de continuer.

Non, je ne dois pas rester ici, je ne dois plus me laisser manipuler.
Je me relève lentement. Tourmentée par mes pensées, je n'ai pas remarqué que le démon aux yeux violets me fixait depuis déjà un moment. Il semblait m'avoir adressé la parole. Il tourna la clé de la porte de ma cellule, me saisit fermement au bras; puis me mena longuement vers les plaine de Vesperae. Sans plus d'explications je ne réagissais pas. Je n'avais pas réalisé à quel point ces journées d'enfermement m'avaient affaiblie. Restée assise perdue dans mes pensées, sans prêter attention aux mouvements m'entourant.

Face à moi se trouvait cette Elfe, celle qui m'avait capturée. Elle même était captive, captive des templiers. La douleur m'élancait au bras alors que le démon me tirait vers les gardes de l'Elfe. Croisant son regard, je me sentis emportée par une main amicale. Elren.
Il me mena au temple. A peine j'eu le temps de le remercier que je me retrouvais dans une chambre. Remuée de toute part je me laissais portée par le mouvement. Mais le temple...Je ne voulais pas rester ici trop longtemps. F'lon, Tyroine, et même Elren se trouvaient dans le temple. Je ne voulais pas les inquiéter de mon sort. Je voulais juste rentrer chez moi...le sommeil et la fatigue me saisirent lentement alors que la nuit tombait sur Vesperae. A mon réveil je reprendrais ma route pour l'Oasis.

Les murs de la prison.

Hanasei 16/07 à 01:44


Les murs de la prison Darklord. Cele faisait bientot 4 jours qu'il m'entouraient, dans un silence de mort, je restais là à attendre. Mais à attendre quoi...?
Peut être qu'on me libère, peut être qu'on vienne me parler, me nourrir.
Seul, le démon aux yeux violets était là, chaque jours il veillait à ce que les prisonniers subissent les sorts qui leur était destiné.
Le murmure du vent traversait les geôles alors que la nuit éclairait de sa lueur pâle les prisons de Nagatnör.
Je n'étais pas bien utile au plan de l'elfe démoniaque. Elle ne m'avait pas expliqué en détail les raisons qui l'avaient poussée à me capturer, mais j'en savais assez pour le deviner par moi même.

Le dileme du bien et du mal lancé sur l'elfe avait été décidé par Ratus. Afin de lui faire comprendre que le jeune Elfe ne voulait pas le rejoindre, elle me captura.
Idée saugrenue a vrai dire. Je ne suis rien entre leur mains si ce n'est qu'un pion. L'ombre qui m'entoure fait place à mon angoisse. Ces lieux, l'enfermement, je ne peux pas... non je ne veux pas. Personne ne viendra me libérer, personne ne sait où je suis...Seulement 4 jours et 4 nuits, et déjà ce sentiment. Ces souvenirs qui me hantent, que je cherche à cacher. Cette prisons dont je ne pu m'échapper. Repliée sur moi même j'attend.
Peut être quelqu'un se soucie de moi. Les nomades pensent que je suis partie sur le continent pour faire des achats; Mais 5 jours suffisent-ils à acheter un tonneau de boisson pourpre ?
Et Tyroine ? Est ce qu'il me cherche ? Peut être est-il préoccupé par son affrontement contre les démons. Je voudrais au moins un instant pouvoir penser qu'il m'oublie, que je ne sois pas un fardeau pour lui. Mais le seul visage que je voudrais voir derrière ces barreaux, c'est le sien. Son regard clair, son sourire, celui qui me redonne courage, celui qui me dit de continuer.

Non, je ne dois pas rester ici, je ne dois plus me laisser manipuler.
Je me relève lentement. Tourmentée par mes pensées, je n'ai pas remarqué que le démon aux yeux violets me fixait depuis déjà un moment. Il semblait m'avoir adressé la parole. Il tourna la clé de la porte de ma cellule, me saisit fermement au bras; puis me mena longuement vers les plaine de Vesperae. Sans plus d'explications je ne réagissais pas. Je n'avais pas réalisé à quel point ces journées d'enfermement m'avaient affaiblie. Restée assise perdue dans mes pensées, sans prêter attention aux mouvements m'entourant.

Face à moi se trouvait cette Elfe, celle qui m'avait capturée. Elle même était captive, captive des templiers. La douleur m'élancait au bras alors que le démon me tirait vers les gardes de l'Elfe. Croisant son regard, je me sentis emportée par une main amicale. Elren.
Il me mena au temple. A peine j'eu le temps de le remercier que je me retrouvais dans une chambre. Remuée de toute part je me laissais portée par le mouvement. Mais le temple...Je ne voulais pas rester ici trop longtemps. F'lon, Tyroine, et même Elren se trouvaient dans le temple. Je ne voulais pas les inquiéter de mon sort. Je voulais juste rentrer chez moi...le sommeil et la fatigue me saisirent lentement alors que la nuit tombait sur Vesperae. A mon réveil je reprendrais ma route pour l'Oasis.

Lettres sur la table de chevet.

Elhid 16/07 à 16:26


Lettres sur la table de chevet.


Enfance.



Dès les premiers instants de ma naissance, je pouvais la voir. Elle est mon premier souvenir, la première silhouette qui s’est gravée dans mon esprit.
Je ne l’avais jamais vu de près, simple forme obscure à l’angle de ma vision. Je savais pourtant qu’elle n’était jamais loin. J’ai grandi comme tout un chacun, avec cette femme qui semblait être toujours auprès de moi. Quand je faisais mes premiers pas, elle m’aidait à me relever, me murmurait des paroles apaisantes que je ne comprenais pas et dont le sens m’échappe encore. Quand j’en parlais, on ne me croyait pas. Certains me regardaient avec un sourire doux et niais, d’autres faisaient semblant de me croire et se contentaient d’hocher la tête bêtement, comme pour répondre aux caprices d’un enfant en bas âge.
Pourtant, j’étais certain de ne pas mentir, de ne pas rêver de cette femme. Non, non, elle était bel et bien là, à chaque instant, dans les coins sombres, les ruelles étroites, sur le toit d’une maison à observer simplement cet enfant que j’étais. Parfois, quand j’y repense, je trouve ça bizarre que dès le début j’ai pu savoir qu’elle était une femme, alors que jusqu’au jour précis que je vais vous narrer, je ne l’avais jamais vraiment contemplée de près. Mais ça, je vous l’ai déjà dit…

Je devais être âgé de quelques printemps. Huit, tout au plus. La journée était belle et n’attendait que nous afin d’en profiter. Mes parents avaient décidé de sortir la charrette afin d’aller faire un tour dans la verte campagne. Tout excité par cette aventure, mon corps tout entier n’attendait que l’instant du départ. Je me souviens que je sautillais comme un beau diable sur le seuil de la porte, attendant que mes parents se décident à sortir main dans la main.
Dès qu’ils furent au dehors et que la porte fut fermée, je me ruai littéralement vers la charrette et d’un bond, je m’installai à l’arrière. Calmement, mon père et ma mère vinrent s’asseoir aussi et les chevaux commencèrent à trottiner.

Le paysage défilait, je sentais l’air me caresser le visage, je regardais les routes et sentiers être engloutis sous les sabots des chevaux. Assis à l’arrière, sur ce petit bout de bois, j’étais au paradis, le sourire aux lèvres et la joie au cœur. Tout paraissait si beau, si grandiose et idyllique…Rien ne pouvait entacher cette journée parfaite.
Je me souviens d’une grande prairie, d’un ciel bleu comme jamais, du soleil haut dans les cieux, de la fraîcheur tiède de cette saison, du gazouillement paisible des oiseaux dans les nids, de l’herbe fléchissant doucement sous la brise, de l’arbre se balançant rêveusement au dessus de nous pendant que nous savourions ce repas de midi.
Une fois rassasié, le ventre distendu et criant grâce j’entrepris de me dégourdir les jambes, marchant le long des sentiers oubliés, m’éloignant un peu plus de l’endroit où mes parents se trouvaient. L’horizon se perdait au loin, de sorte qu’il était impossible de savoir à quelle distance se trouvait tel ou tel monticule : tout semblait si grand, si infini et éternel. Il n’est pas de vision du monde plus belle que celle que l’on a lorsque l’enfance nous berce d’ignorance et de rêverie où l’impossible n’a pas de limite.

Ce jour là, elle réapparut. Ce ne serait pas la dernière fois. Je la ressentais, plus que je ne la voyais. C’était un peu comme lorsque l’on dort à côté de quelqu’un. Dans la pénombre, on ne peut le voir mais pourtant, sa présence est perceptible. C’était ce même sentiment, cette même sensation physique qui s’emparait de moi quand elle n’était pas très loin, à me regarder de ses yeux inconnus, de son regard qui me brûlait la nuque et me donnait l’impression d’être nu.
Je déglutis lentement, un peu paniqué – je l’étais toujours quand je la savais toute proche-.
Déjà huit années qu’elle m’espionnait et je ne savais toujours pas qui elle était…cette peur de l’inconnu, ce sentiment d’impuissance me donnait la nausée. Pourtant, dans cette vaste prairie je devais, je pouvais la voir ! Tout était à découvert, rien ni personne n’aurait pu s’y cacher !
J’ai cherché, mes suis retourné, encore, encore et encore. En vain.
Elle était là, invisible senteur féminine, douce chaleur inquiétante, elle était là mais je ne voyais pas.

Ce fut la voix de mon père que j’entendis en premier. Je l’entendais m’appeler, prononcer des mots que j’aurai du comprendre si seulement mon esprit n’avais pas été si accaparé par cette étrange sensation qui me nouait l’estomac. Ce n’était qu’un mélange de son, du charabia humain que mon cerveau ne parvenait plus à décoder. J’avais froid malgré les faibles derniers rayons de soleil de cette fin de journée, j’avais envie de pleurer, de crier, de bouger un muscle, de gémir au moins…mais rien, pas même un son ne voulait sortir de moi. Tétanisé par la peur ou bien par cette étrange femme, cette mystérieuse inconnue à la silhouette d’ombre, peut-être bien les deux.
J’eu besoin de quelque chose de bien plus fort afin de me ramener dans ce monde si rassurant dans lequel nous vivons tous : un contact physique. Mon père me saisit par l’épaule, me secoua un peu, chassant la brume opaque qui s’était emparé de mon esprit, chassant les dernières traces de peur par ce simple geste. Il me regarda dans les yeux, je lui dis alors que tout allait bien mais en fait j’allais juste mieux. « Bien » n’était pas l’adjectif adéquat à ce moment là…
Rassuré, il me pris sur ses épaules et, ensemble, nous retournâmes en direction de l’arbre où nous avions mangé. Il était temps de rentrer, maman avait déjà tout rangé.
Juste avant d’embarquer à l’arrière de la charrette, j’entendis un bruissement de cape et j’eus la sensation étrange qu’elle était encore là. Je fus parcouru d’un frisson glacé…mais peut-être était-ce le froid de la nuit qui descendait lentement des cieux à présent noirs et illuminés d’étoiles.

Durant le voyage, une étrange fatigue s’abattit sur moi. Mes yeux se fermaient à intervalle régulier, mes pensées s’égaraient, mon corps devenait lourd, ma tête s’inclinait doucement, le monde s’estompa. Un sommeil sans rêve, noir comme l’encre, vide de tout. C’est sans doute ce qui me permit de me réveiller à ce moment là, à moins que ce soit elle qui l’ait voulu…
Je refaisais surface, la quiétude des songes me laissait de nouveau libre de mes mouvements. Les yeux toujours fermés, je sentais le cahotement de la charrette, je sentais les pierres de la route faire rebondir notre véhicule comme d’habitude. Mais quelque chose n’allait pas.
J’ouvris les yeux, sourcils froncés par l’inquiétude quand mon cœur se figea sur place.
Ce moment précis de mon existence sembla passer au ralenti car c’était la première fois que je la voyais vraiment…. Nous étions en train de traverser une forêt, celle de Sarosa je pense, lorsque je la vis, perchée sur une branche, non loin du sol.
Elle était toute de noir vêtue, les cheveux bruns foncés, le teint pâle, les yeux de braise, le menton fier et la tête haute. J’étais très jeune mais je ne pus que succomber à une onde de plaisir qui me traversa comme un éclair qui foudroie sa victime négligente. Elle était si belle…
Pourtant, l’éclat des étoiles se reflétant sur sa lame pendant à ses côtés eut tôt fait de calmer mes ardeurs, me frigorifiant littéralement. Une lame monstrueuse comme je n’en avais jamais vu (en réalité, je n’en avais jamais vu du tout). Comment une femme aussi belle et délicate pouvait porter cette arme sur elle ? Ca me dépassait complètement.
Et voila que ce court instant d’une seconde à peine et pourtant si long arriva à son terme.
Elle baissa ses yeux sur moi, des yeux qui m’avaient scruté durant de si longues années…et maintenant qu’ils plongeaient dans mon propre regard, j’y lisais de la fatalité qui contrastait étrangement avec le sourire doux et satisfait qu’elle arborait...

Je savais ce qui n’allait pas maintenant : nous allions beaucoup trop vite. Mes oreilles furent débouchées – comme si on m’avait empêcher d’entendre jusque là- et je compris toute l’horreur de la situation. J’entendais les cris de détresse de ma mère, la rage impuissante de mon père et ses hurlements de désespoir. Les chevaux ne voulaient plus rien entendre, comme devenu fous. Je me suis retourné pour tenter d’aider mes parents mais la dernière chose que je vis, ce fut le tournant brusque que faisait la route à cet endroit. Je sentis la charrette perdre pied, se retourner…mes pieds flottant dans le vide, des cris, des pleurs, un choc, et puis plus rien.

Quelqu’un me caressait, je le sentais, même dans cet état à demi conscient. J’ouvris une paupière et c’était bien elle, encore cette inconnue. Comme elle était belle, comme j’aimais la sentir proche de moi…Elle fredonnait une chanson, une sorte de requiem étrange.
De si près, je pouvais admirer à loisir la perfection de sa peau, la pâleur délicate de se ses membres. Même dans mon état comateux, la sensualité qu’elle dégageait me laissait pantois, me coupant le souffle. Moi qui prenait ma mère pour la plus belle femme du monde…à cet instant j’ai bien failli l’oublier, ma mère. Mais…

J’étais dans ses bras si doux et si froid à la fois, elle caressait mon visage mais ne parvenait quand même pas à apaiser les élancements douloureux sourdant de tous mes membres et de la douleur lancinante que je ressentais à la tête. Je vis du sang sur la main avec laquelle elle caressait mon front. Je devais être salement touché…puis j’ai tourné la tête et j’ai vu les corps des chevaux et juste en dessous ceux de mes parents, broyés et méconnaissables.

J’avais envie de pleurer mais je n’en avais plus la force, je ne pouvais rien faire.
Au loin, des bruits de pas précipités, des lumières, sûrement des gens venu nous aider.
L’inconnue, cette femme faisant partie de ma vie, me déposa sur le sol, approcha son visage du mien, m’embrassa sur les lèvres (mon premier baiser à l’age de huit ans et qui serait le plus étrange de toute ma vie) et disparut de nouveau. Elle laissa sur mes lèvres un goût étrange, emplit de perversité mais non moins dénué de charme.

Quant à moi, je n’avais plus qu’une chose à faire : me laisser aller et tenter de rejoindre mes parents dans un monde peut-être meilleur avant qu’on ne parvienne à me sauver et que je ne sois tout seul jusqu’à la fin de mes jours encore si nombreux.

Elhid.

Les murs de Trigorn.

Helendar 16/07 à 17:30


Helendar, appuyé sur son baton, le dos vouté et le visage fixe, observait les murs de bois et de pierre, dernier signe que Trigorn eusse un jour à se défendre, et également une des dernières traces des insurgés qui, à présent, n'étais plus qu'une poignée. Helendar ne savait que faire, détruire ces murs ou les utiliser pour la garde de Trigorn. Après avoir hésité un long moment il décida de les utiliser. Il appela quelque milliciens gradés et leur ordonna d'aller avec leurs ocmpagnies sur les murs. Bientot, les murs oubliés et désert étaient couverts de soldats en armure rouge et blanche. Tous ou presque étaient des archers. Helendar fit construire quelque barraquements le long des murs, pour que les soldats puisent se réfugier ou déposer des vivres. Les soldats discutaient joyeusement, certains pestant contre cette nouvelle assiniation qui était, selon les soldats, ennuyeuses à mourrir, d'autres étaient bien content de quitteur leur tour de garde quotidien.

Helendar observa les murs, ils avaient été construit précipitemment par les insurgés, presque entièrement en bois. Un peu d'huile et une torche pourait les faire tomber, il ordonna que l'on plante des pieux de bois dans le mur, de facon à empècher une tour, par exemple de se précipiter dessus. Il donna des consignes clairs aux chefs de régiments: "Si les murs s'enflamment, retournez au sol par l'accès le plus rapide." Helendar observa les travaux avancés lentement, quelques heures plus tard tout lesp ieux de bois avaient été plantés irrégulièrement dans les murailles. Il retourna à son bureau, les gardes qui le suivaient sur chacun de ses mouvements restèrent devant la porte. Helendar s'assit et remplit un formulaire de commande, pour des articles de fêtes et de la nourriture, visibelemnt, quelque chose se préparait à Trigorn, mais aucun citoyen n'avait été mis au courrant, pour l'instant.

Hrp: J'annonce simplement, qu'un évent pour faire connaitre la guilde Trigorn a été décidé par les quelques membres, i ls'agira d'une fête. Pour le moment je peux dificilement vous en dire plus.

La pyramide I

Anarion 17/07 à 10:37


Après quelques jours de repos, Anarion avait décider d'entreprendre unnouveau voyage. Il se décida pour les îles. Moyennat le prix de son transit maritime, il parut tout hcargé de bagages au port, par un beau matin ensoleillé.

- Parfait pour prendre la mer, lui dit le capitaine.

- Pas d'entourloupes hein ? J'ai p'têtre bien l'mal de mer. Jamais pris l'bateau de ma vie. Aller, à flots !

Le capitaine donna l'ordre de partir, tandis que Anarion prenait ses aises sur le pont, respirant l'odeur saline. L'après midi passa tranquillement, jusqu'a la fin du voyage. Il remercia lma capitaine, et partit gaiement sur la plage. Un homme l'hébergea pour une petite somme dans le village.

Les premiers jours sur l'île furent oisifs, des bains de soleil arrosés par de rafraichissants laits de cactus.

- 'Faut absolument que j'en ramène, c'est excellent c'te boisson.

- Ci norrrmal Misieur. Cette boisson est notrrre prrroduit regional, lui confia le marchand.

- Heum, dit-moi l'ami, ou c'est qu'on peut trouver des choses de valeurs dans l'coin ?

- Dans la Pyrrramide Miseur. Beaucoup trrrésorrs, beaucoup danger aussi. Vous faire attention !

- Bof, t'en fait pas, j'prendrais de quoi assurer mes vieux jours. Aller, à plus tard.

Il parcourut l'île en long et en large. Il marchanda une lampe très jolie à un vieux nomade, en échange d'un tonnelet de bière naine, dans le petit village de Karasas. Il acheta aussi un Kangourou domestique, qui le porta durant ses longues randonnées. Sur les conseils d'un jeune nomade, il prit la route vers le Nord.
Un matin, après avoir démonté sa tente et quitté son campement, il fini par arriver aux abords d'Oxoroc. Un bon moyen de se procurer des vivres, et de nouvelles indications. Une petite fille lui indiqua la grande tente du sage.

- Hep l'ami, bien l'bonjour. Eh, t'aurais pas quelques indications à m'donner pour aller dans la pyramide ?

- QUOI ?! Vous êtes à la solde de Pignu ?

- Heum. Nan, j'cherche mon ch'min.

- Comme au bon vieux temps Droddy, je te ferais lieutenant !

- La pyramide vieux fou ! Ou est-elle ?

- La pyramide ? Celle à l'ouest de notre village ? Là ou le sage fait entrer ceux qui répondent à l'énigme ? Je ne te l'dirais pas, traître ! TU ne la trouveras jamais.

- Mais faites le enfermer cet énèrgumène.

Sur ces vaines paroles, Anarion progressa à dos de Kangourou vers l'immense pyramide, pensant à cette curieuse énigme. Il arriva enfin devant les première marches, puis entendit une sorte de gargouilli sinistre. Il sauta à bas de sa monture, et grimpa rapidemment les marches pour apercevoir un immense serpent, et des pieds qui sortaient de sa bouche aux longs crochets.

- Aufeucour !!!

- J'arrive ! Euh nan attend... T'es l'sage de l'énigme ?

- Mouif !

- Beuh j'la connais pas...

- dépéfez fous, vétouffe...

- Ouais mais, si j'le fais sortir, y m'fera pas entrer... Eh l'sage, tu me fais entrer si j't'aide ?

- VOuii !!!

- Ca va ca va, pas la peine de cirer, y'a pas l'feu...

Le Shaamah prit une lourde pierre, puis s'avança vers le serpent que sa prise empêchait de fuir. Sans aucun ménagement, il fracassa le crâne de la bête, et sortit le sage par les pieds. Il ressemblait étrangement à un saucisson à l'air libre...

- Vous en avez mis du temps !

- Fallait qu'je sois sûr... Bon, j'peux passer ?

- Hmm je fais une exception, mais ne répètez pas ça à mon supérieur.

- hé hé, bah donnez moi quelques pièces d'or pour le service.

- Mais ça va pas non ?!

- Beuh j'plaisantais. Aller, bon courage avec les serpents, moi j'vais la d'dans.

Anarion franchit le seuil du monument, tandis que le sage lui criait quelque chose. La porte se referma sur ses dernières paroles :
" C'est dangereux, faites attention, il y a une môm..."

- Une môme ? Bouarf, qu'est-ce qu'une gamine peut faire un à un courageux voyageur ? Sacré vieux sage va !

( La suite très prochainement

Mort de Kurogané, le minotaure.

Haëril 17/07 à 20:41


Haëril arrivait à Trigorn, devant l'auberge de la fée. Il n'y avait personne à part une personne en cape qui atteignait au moin les 4Mètres.
Haëril alla s'adosser tandis que la personne ne le lachait pas des yeux, après quelques minutes la personne se redressa et prit un pavé du sol qui était déjà arraché. Haëril attrapa le pommeau de son sabre alors que la personne lui lançait de toute violence le pavé, Haëril n'eut qu'à faire un pas de côté pour l'esquiver.Haëril fut surpris par la force que la personne dégageait. Lëya, femme d'Haëril, sortit de l'auberge et se positionnait derrière Haëril, le combat allait surement s'engager.
L'encapé retira alors sa cape laissant appercevoir un corps de minotaure, au moin 4Mètres pour 500Kilos, une brute épaisse...
Le combat était engagé, Haëril avait lancé une dague qui alla s'écraser dans la main du minotaure qui ne semblait pas en souffrir, puis le minotaure avait chargé Haëril qui d'un geste agile le balaya tandis que le minotaure alla s'écraser sur un mur. Haëril l'enchaina ensuite de coups de sabre dans les côtes qui allèrent s'écraser contre l'armure du minotaure qui en riait presque. Après plusieurs minutes le minotaure avait lancé des pavés un peu partout et il avait essayé de toucher à Lëya, Haëril ne pu se retenir et dans un geste assez idiot, il ne pensa pas aux conséquences il courrut la tête la première en direction du ventre du minotaure qui arrêta la charge à une mains puis deux, la tête d'Haëril était saisie, Lëya, ellle tentait de faire lacher prise au minotaure en lui assènant des coups ici et là, Haëril plantait la lame de son sabre dans le dos du minotaire qui était protègé par une épaissse armure. Kurogané, le minotaure lacha enfin prise lorsque Lëya envoya un coup de massue sur sa tête.
Après quelques minutes de récupération le minotaure voulut de nouveau s'en prendre à Lëya qui reculait, reculait. Haëril bondit alors sur le dos du minotaure et commença à l'étrangler de toutes ses forces tandis que Lëya tentait de planter la lame de son sabre droit au coeur de celui-ci.
Le minotaure esquivait malgré les difficultés qu'il avait à respirer puis dans un dernier effort il se jetta, une fois, deux fois, trois fois, puis quatre sur le dos, le dos Haëril était mit en pièce, puis il roula en arrière ecrasant également le visage d'Haëril sur les pavés. Haëril ne lachait pas prise, dans un dernier effort le minotaure se releva et galopa en direction d'une clairière où il se jetta avec Haëril, le minotaure n'ayant plus d'air se noya et emporta Haëril avec lui, Lëya qui avait suivit récupèra Haëril et le remonta à la surface en plantant sa lame dans le nez de Kurogané. Une fois à la surface, Haëril était evanouit et presque mort, Lëya savait qu'il ne pouvait pas mourrir de la sorte car la seule chose qui pouvait le tuer il l'avait en sa possession, elle saisit alors la Pierre Bleuâtre qu'il avait dans la main et la tendit en haut de son coeur, la pierre se mit à briller de milles feux et petit à petit Haëril retrouva ses esprits c'est alors qu'ils partirent vers le lieux où résidaient les Paladins.
Haëril avait certes tué Kurogané mais il en avait risqué sa vie et Lëya ne pouvait pas le supporter.

Les recherches continuent

Luras 17/07 à 21:21


Le soleil disparaissait au lointain, caché par une épaisse couche de nuages.
Sur les plaines de Vesperae, un vent glacial se fait sentir omniprésent,
Un groupe d'homme a chevaux galopaient; Ils appartenaient au Temple...
A leurs tête l' inquisiteur Poeri et a ses cotés Luras. Mais que cherchaient-ils ?

Luras: « Poeri, avez vous des nouvelles ?»
Poeri : « Non mon ami, hélas point de nouvelles... »

Luras leva la tête et aperçut l' archange Guillaume survolé le ciel.
Mais de son coté aussi, aucune nouvelles...

Luras très inquiet dit:
« Nous devrions aller aux divers endroits qui nous feraient pensé aux informations de mon ami... »

L'inquisiteur approuva l' idée de luras:
« Très bien allons y, le temps nous manque. »

Tout en galopant sur sont destrié blanc, luras ne pouvait se détaché des pensées pour sa belle.

'' Tiens bon mon amour, nous arrivons !''

(A suivre)

Plaisir retrouvé

Fozzy 18/07 à 02:24


Qu'elle triste destin, impossible de prendre une decision, et je suis resté dans cette grotte, depuis que je suis ici. Je ne sais même pas si je suis heureux d'être de nouveau vivant, enfin, j'ai vue peu de monde depuis mon retour et je me nourris avec des lapins, je ne peut pas retrouvé des forces avec seulement ça. Il faut que je chasse, comme avant et peut être que je retrouverais le goût de vivre et puis je pourrais prendre une decision: rejoindre Mystra, ou combattre Venin. En tout cas, je n'aime pas être ainsi, se plaindre, c'est bon pour les...les humains.

Je sors mon épée avec le sourrire puis regarde la lame avec envie.

Je ne peut pas resté dans cette grotte, dans l'ombre et un peu d'exercice ne me ferra pas de mal.

Je quitte la grotte puis me dirige vers une forêt, comme d'habitude, des combats, des jeunes guerriers qui s'entrainnent, des imprudents qui se promènent. Et la je m'attaque à un jeune homme, certainement pas guerrier mais surtout imprudent d'être dans cette forêt au mauvais moment. Je lui enfonce mon épée dans le corps et je le regarde crié, la souffrance provoque le plaisir chez certaines personnes, je crois que c'est mon cas. Je retire ma lame et regarde le corps s'écroulé à terre.
Malheureusement le jeune homme n'a pas assez de viande, il va falloir continuer.....

La damnation

Guildamesh 18/07 à 10:09


Après la bataille perdue de Proncilia, Drakonia harcela l'Armée Royale partout ou elle le pouvait.
De nombreuses embuscades étaient tendues, foudroyantes comme l'éclair.
Cependant, les humains s'adaptèrent à la situation et bientot les attaques démoniaques n'eurent plus la même efficacité, l'effet de surprise ayant disparut.
La situation stagnait et il devenait de plus en plus nécessaire de trouver le point faible de l'ennemi où frapper afin de le faire souffrir durablement.

Fallait-il attaquer Naep comme plusieurs alliés le lui avaient suggéré ?
Guildamesh refusait de se lancer seul dans cette bataille. Il avait encore dans la bouche le gout amere de la defaite de Proncila , où son armée avait dû combattre quasiment seule trois vagues successives d'humains.
Apres avoir vaincu les Barbarians et l'Armée royale, affronter les Templiers débarquant tout frais c'était avéré être fatal même s'il s'en était fallu de peu...

'Si nous avions été mieux épaulé par Darklord, Proncilia serait aujourd'hui entre nos mains, mais cet allié ne dispose malheureusement pas d'assez de guerriers suffisament entrainés pour combattre l'ennemi et le seul etre de valeur qu'ils avaient dans leurs rangs a rejoint Vanilius.'

Guildamesh n'avait jamais été autant pessimiste.
Fallait-il se résigner à une defaite totale ? Les démons avaient-ils fait leurs temps sur Vesperae ?

- Demonio ! Je mesure à présent à quel point tu m'as duppé lorsque je t'ai donné mon âme ! Je n'ai depuis ce jour connu que la souffrance sans but ! Je ne me suis jamais autant sentit damné ! Que dois-je faire !

Guildamesh attendait une réponse mais il ne perçut qu'un ricanement démoniaque provenant des ténèbres...

Trigorn me voila!!

Theö*Furéy 18/07 à 13:02


Je viens de quitter Harroka, laissant famille et amis enfin.. Surtout amies, pour une terre qui m’est hélas inconnu. En effet, le vieux continent de Vesperae est recouvert de mystère et d’autre fantaisie.

Moi, Theödore Furéy, inventeur de mon état, décide de prendre le large! Peut être que là bas, le peuple prendra conscience de mon métier.

Tout commence cela, un homme banale pour une histoire qui n’est pas… banale.

J’avance vers le port d’Harroka, je m’arrête devant celui qui semble être le capitaine. L’homme devant moi, me regarde d’un air amusé.

Theö: Bonjour… Capitaine

Capitaine: Hola m’gaillard! Qu’est c’que tu viens faire par ici hein?

Theö: Et bien je.. Heum, j’aimerais prendre le large, voyez vous.

Capitaine: Hahaha!! Toi p’tit gars?!

Moi un petit gars? Je suis inventeur pas petit gars.

Theö: Et bien.. Combien coûte le trajet entre Harroka et Vesperae?

Capitaine: Hola, hola hola. Dit il en prenant un air réfléchit, chose qu’il n’avait pas vraiment l’air de faire couramment vu l’expression de son visage.

Capitaine:Ca doit faire heum.. Cents pièces d’or hé hé. *regard arvide*

Theö: Cents pièces?!? Mais heu.. Voyez vous, c’est la somme de ma pauvre bourse hé hé.. *soupire*
Vous ne voulez pas plutôt l’une de mes nombreuses inventions? Par exemple le couteau qui ne coupe pas! Et oui, c’est très pratique! Comme ça, plus moyen de se faire mal avec!

Capitaine: Tu me prend pour un idiot p’tit gars?

Theö: Diantre, voyez vous cela. Non non, je ne vous prend pas pour cela. Bon et bien, je vous donne ma bourse alors..

Je lui tendis ma bourse, celui ci l’attrapa d’un geste vif, sûrement le geste le plus rapide qu’il eu fait depuis un temps vu la grimace qui parcourait son visage quand il toucha son dos.

Me voilà à bord du bateau qui d’ailleurs, je me rappelle plus du nom. Peu importe de toutes façons !

Après de longues heures à être accoudé au bord du bateau, rendant à la mer ce que j’avais manger au déjeuner et à la veille, j’arriva au port de Trigorn.

Capitaine: Arrêt à Trigorn! La ville marchande!

Ho joie! Au plaisir! L’odeur iodé de la mer, les jolies filles au bord des pontons saluant les voyageurs. Me voilà enfin dans le continent de Vesperae, plus précisément à Trigorn.

Theö: Mmh.. L’odeur de la mer, la joie, la liber…

-PLOUF-

Capitaine: héhé p’tit gars. Marche sur pont.. Pas en dehors. Elle est bonne l’eau?

Et misère.. Ca commence bien. A peine arriver, que je tombe déjà dans l’eau et que je me ridiculise d’ailleurs. Je sors de l’eau trempé bien malgré moi et je me dirige vers une auberge la plus proche.
J’avançais donc hors du port recherchant l’auberge, sentant le poisson et tordant ma cape noir dans tout les sens. Quand je fis une halte devant une demoiselle à l’allure fort aguichante et vêtu de peu, voir de très peu.

Theö: Heum.. Mademoiselle? Savez vous où se trouve l’auberge la plus proche..?

Demoiselle: Ho.. Oui, mon chou. Si tu cherches un endroit où dormir, suis moi.. Je connais un endroit excellent, ou nous pourrions passer une nuit formidable et pour quelques pièces seulement.

Theö: ha heu.. Mh. C’est à dire que.. Je n’ai plus vraiment d’argent donc..

Mademoiselle: Ouais, je vois! Encore un radin! Bah tu vois là-bas? C’est l’auberge t’as qu’à y aller, va!. Bon vent!

Dit elle en repartant énervée. Le pub.. Et bien soit, si c’est là que je dois aller. Je m’avançais alors regardant la foule hurlant des choses pas très compréhensible quand tout d’un coup je me heurta à une porte. Ha bah voilà le pub! Me dis je

Le combat.

Haëril 18/07 à 13:39


J'approchais de la Forêt Sud Sarosa à grandes enjambées. j'étais fatigué du voyage et je devais rentrer au plus vite à Trigorn, j'avais à faire...
J'avançais rapîdement en tenant le pommeau de mon sabre qui se trouvait à ma taille, observant les moindres recoins sombres et me mefiant des moindres bruits, même les plus petits. J'étais enfin dans la Forêt et déjà les bruits sortaient de toutes parts de la Forêt et je ne voulais pas être attaqué avant mon rendez-vous. Après quelques minutes un loup surgit devant moi, il avait les crocs ensanglantés et ne me voulait surement pas du bien !

Loup : Ahahaha ! Enfin une proie !

- Hum que me veux-tu ? Laisses moi j'ai à faire, je n'ai pas envi de me battre loup !

Ryld : Je m'appelle Ryld, et non loup !

- Oui bas Ryld, laisses moi passer je te prie !

Il n'était pas decidé à me laisser passer il avait surement faim. Je n'eus pas le temps de dégainer que déjà il se jetait sur moi, il avait l'air d'un jeune loup mais il avait déjà acquis l'expérience et la force d'un loup adulte. Je dégainais mon sabre difficilement à cause du poids que je devais supporter de son corps tendit qu'il me mettait 5coups de griffes au torse qui déchirèrent mon haut. Je roulais alors pour pouvoir être au dessus de lui, et il souriait de ses dents pleines de sang, ecoeuré par l'haleine qu'il degageait du sang humain je lui envoyais trois coups de poing succesifs dans le museau...

Ryld : C'est qu'il a peur le minou !

- Ne te fie pas à mon apparence humaine, je ne suis pas humain !

Je me relevais en grimaçant de la douleur que me donnaient les entailles de ses griffes sur son corps. Il se relevait à son tour en essuyant le sang sur son museau. Il m'envoya un coup de pied dans le creux du genoux gauche, puis le droit, j'avais les deux genoux à terre,c'est là qu'il prépare de nouveau ses griffes et qu'il les abattaient sur moi, je n'eus d'autre choix que de placer le sabre devant moi ce qui lui valu son avant bas qui partit rouler plus loin ! Il cria de douleur en reculant et en me lançant un regard haineux, je me relevais lentement en le fixant d'un regard sombre, très sombre...
Il bondissait alors de nouveau sur moi et je lui faisais dos tout en me deplaçant sur le côté et en reculant pour le croiser, il m'avait raté mais j'avais exprès laissé trainer la lame de mon sabre qui ouvrit tout le long de son cou. Le corps tombait à terre et je partis en courant en lui laissant dire ses dernières paroles.

Ryld : Mon père me vengera.

Retour.

ashofdestiny 19/07 à 12:43


"vite vite vite vite vite...."

le ciel était noir comme le coeur de ses poursuivants.

Quatre pillards,a cheval,en train de poursuivre un elfe noir lui aussi monté.Nuages de poussieres,cris gutturaux,bref,touts les attributs d'une cavalcade pleine de fougue et de haine...seulement,l'elfe noir n'était pas fougueux,et certainement pas haineux;juste énervé par ce quattuor d'imbeciles...Ash n'aimait pas tué,donc il fuyait.

Le curieux manege continua ainsi une bonne demi heure,et une fleche,puis deux,vinrent efleuré le visage de l'elfe noir...qui fit un tour complet sur lui meme,un sabre d'etrange facture a la main.Les pillards se mirent en position de combat,leurs visages couvert de sueur...il venait de se rendre compte de la nature de leurs ennemi;un elfe noir,qui plus est en colere...

Ils se reveillerent dans une auberge,un bol de soupe devant leurs lit,leurs armes a porté de main,et l'elfe noir en face.
"j'ai besoin d'une escorte pour traversé le desert.."
"vas te faire..." il s'arreta quant il apercut les quatre bourses pensues sur la petite table.

La traversée du desert fut plutot tranquille,les quatres pillards furent "congédié" un kilometres avant d'arrivé au campement,l'elfe ne voulait pas attiré ce genre d'energumene dans le havre...

"Enfin...de retour..."

Des armes contre de l'argent.

Xaros 31/08 à 00:00

Durant une profonde nuit noire, quelques réverbères éclairent encore Trigorn.
Dans l'une des ruelles sombre, quatre ombres, quatre encapés... Trois d'entre eux sont adossés contre un mur, parlant entre eux. Le quatrième s'avancent vers eux, les coupant dans leur discution.

Encapé : -J'ai quelques petites choses pour vous...

Un des trois autres encapés, apparemment leur chef : -Ah oui? Montre ça...

L'encapé déposa à terres un sabre et deux katanas qu'il tenait en main puis sortit quelques dagues de sa cape, les déposant à leur tour au sol. Ces armes étaient celles du démon Karn...


Chef encapé : Hm... D'accord...

Il prit deux bourses accrochées à sa ceinture, puis les tendit devant lui.

Encapé : ... Le sabre est... plutôt bizarre... hanté, ensorcelé ou quelque chose dans le genre... Tu devrais pouvoir en tirer un bon prix.

L'homme saisit une troisième bourse à sa ceinture, puis lui tendit.

Encapé : Bien ça devrait aller... Au plaisir de refaire des affaires.

L'encapé prit les trois bourse, se retourna, puis disparu dans une autre ruelle sombre de la ville. Les armes seraient sûrement revendues le lendemain dans l'une des armureries de Trigorn, puis être mise en vente une nouvelle fois, à un meilleur prix encore.