Arrivée de plusieurs personnes.

Les chevaux avaient été conduits aux écuries, c'est soutenue par la sentinelle que l'inconnu fut emmené au temple, dans les quartiers où se trouvaient infirmières et autres personnes aptent à donner des soins. Amele fut installée sur le lit alors que des personnes commençaient déjà à l'osculter et à chercher si elle n'avait pas de blessures plus grave qu'une simple fatigue.
Pendant ce temps, arbalète en main (ce qui ne plut pas à quelques prêtres...), Alliage patienta avec la sentinelle que le sous-lieutenant arrive.

C'est l'osculta que les sentinelles ont put voir qui était l'inconnue !
Une femme , non pas une femme , une elfe ! Peau blanche , cheveux long et chatains . Elle était maigre trop maigre certains rigolaient d'avoir eu peur de cette " créature " ce qui ne plus a certains ! Elle était d'une laide beauté !

Après avoir retiré ce manteau noir , on pouvoir voir une tenue de guerriere abimé , presque déchirée a certains endroits. Elle portait un bien et beau pendentif le long de son coup :

Des écritures elfiques apparement ( s'exclama l'un des chercheurs )

Qu'est ce que cela signifie ??? ( interompa l'autre )

Je ne sais point , pour l'instant occupont nous de la patiente en question , il lui faut du repos c'est evident . ( puis ce tournant vers le General ) Ne vous inquiètez point mon General , nous ne risquons rien vous pouvez retirer vos sentinelles , avec sa faiblesse elle n'ira pas loin , il faut juste priez nos Dieu pour qu'elle survive !!! A moin que vous pensez qu'elle est du mal ???

Amele a écrit:: C'est en l'oscultant que les sentinelles ont put voir qui était l'inconnue !
Une femme , non pas une femme , une elfe ! Peau blanche , cheveux long et chatains . Elle était maigre trop maigre certains rigolaient d'avoir eu peur de cette " créature " ce qui ne plus a certains ! Elle était d'une laide beauté !

Après avoir retiré ce manteau noir , on pouvoir voir une tenue de guerriere abimé , presque déchirée a certains endroits. Elle n'avait de blessures mais quelques égratinures donc une infection qui n'était point grave mais qu'il fallait vite soigner .Elle portait un bien et beau pendentif le long de son coup :

Des écritures elfiques apparement ( s'exclama l'un des chercheurs )

Qu'est ce que cela signifie ??? ( interompa l'autre )

Je ne sais point , pour l'instant occupont nous de la patiente en question , il lui faut du repos c'est evident . ( puis ce tournant vers le General ) Ne vous inquiètez point mon General , nous ne risquons rien vous pouvez retirer vos sentinelles , avec sa faiblesse elle n'ira pas loin , il faut juste priez nos Dieu pour qu'elle survive !!! A moin que vous pensez qu'elle est du mal ???

Le Général soupira puis fit signe à l'homme à coté de lui de prendre congé et de rapporter l'arbalète à son propriétaire.

- Je ne sais absolument pas ce qu'elle peut avoir, c'est exactement pour cela que je suis venu ici. Continuez de vous occuper d'elle, j'aimerais qu'on puisse régler tout cela au plus vite, le sous-lieutenant Sliterin ne devrait pas tarder et pourrait nous offrir quelques éclaircissements...

Alliage s'adosse non loin du lit de l'elfe, croisant les bras et patientant.

Le garde qui avait été charger d'aller chercher le sous-lieutenent entra suivit de ce dernier. Dès son entrée, Sliterin vit son général et se dirigea vers lui sans vraiment prèter attention à l'elfe étendue sur le sol. L'entrainnement avait été arrèté, et bien que le sous-lieutenent était bien prit là-dedan, il y a de moments où il faut pouvoir s'arrèter, quand le devoir nous appel.

Vous m'avez fait demander?

Contre toute attente, le temple fut bientôt la solde d'étranges bruits venant dont-ne-sait-où. Ils étaient principalement composés de petits rires étouffés, de cris plaintifs et de gémissements réguliers. Il eut d'un coup, un bruit déchirant d'une claque donnée suivit d'un éclat de rire viril puis d'une nouvelle claque donnée et d'un "Ouille!'"
Avec un peu plus d'attention, on pouvait remarquer les voix d'un homme et d'une femme et qu'elles provenaient, probablement, d'un recoin sombre du Temple.

Il lui tendit le pendentif où était marqué "Irina", puis expliqua la situation.

- Nous avons trouvé cette jeune elfe aux portes de la ville, épuisée. Si vous vous demandez en quoi cela vous concerne, c'est très simple.
Elle n'a prononcé qu'un seul mot.
Votre nom.

Après un instant de silence, il haussa un sourcil. Avant que le sous-lieutenant ne lui explique la raison de l'apparition de son nom, le Général s'écarta et s'avança vers les lieux d'où semblait venir ces bruits plutot explicites. Son regard glacial se posa sur un étrange recoin sombre agité du temple.

- Dîtes moi,
Nous ne vous dérangeons pas, au moins?

"- C'est qui, lui?
- A... Attends, bouge pas ma belle."

La tête ébouriffée d'O'Wolf sortit de recoin de l'ombre et croisa le froid d'Alliage. Il lui fit un large sourire enthousiaste.

"Ah! Bonjour m'sieur Alliage! Quel bon vent vous..."

Sa phrase fut interrompue par la blonde qui lui refermait sa chemise.

"Ais donc un peu de dignité, mon joli., lui dit-elle avec une caresse sur les épaules
- Merci, lui sourit-il doucement."

Puis se retournant vers Alliage:

"Donc... Euh... Quel bon vent vous emméne dans ses recoins sombres du Temple, m'sieur Alliage?"^^'

Il le regarda sourire, sans lui rendre immédiatement. Son regard se dirigea un instant sur la femme, à qui il sourit, avec une froideur glaciale toujours présente.

- Bonjour demoiselle.
Navré de vous déranger dans vos activités plaisantes. Je me rappelais juste d'une vieille anecdote... Une époque où lorsque les femmes passaient pour des catins ou commettait des sacrilèges, on les envoyait sur l'échafaud se faire prendre par des animaux avant de les executer sommairement. Si mes souvenirs sont exacts, l'homme perdait sa virilité avant de devenir gardien d'un arbre, au bout d'une corde.

Tout en parlant, il s'était suffisement approché pour leur faire face. Sa voix était tellement dénudé d'une véritable émotion qu'il était difficile de savoir si ses paroles n'étaient qu'une plaisanterie de mauvais goût, ou une prévision d'un avenir proche.

O'Wolf s'indigna:

"Une catin! Ma femme! (Il donna un petit coup de pied à la blonde) J'ignore quelle femme vous avez pu rencontrer ou que vous avez cotoyé, mais cette femme est ma femme! Et pour se qui est de ma virilité, sachez qu'elle est très bien où elle est et qu'elle sert selon son bon usage!"

S'il y avait une chose à ne pas lui répliquer, c'était sur ses propres histoires de coeur. Cette petite insinuation, aussi légère soit elle, fit tomber l'épée de Damoclès qui était suspendu sur la tête d'O'Wolf depuis qu'il avait croisé le regard d'Alliage.

- Oh, vous voullez la faire servir à bonne usage?..
J'y consent. Je vais même vous y aider.

Malgrès tout les sous entendu multiples que l'on aurait pu penser, le Général resta tout aussi impassible. Il interpella un prêtre d'aller quérir les soldats à l'entrée. Bien que concrêtement sous l'influence du Grand Prêtre mais non du Général, l'homme était scandalisé de voir O'Wolf dans cet état et comprit rapidement la chose.
Après un silence mortel d'attente, des bruits de pas retentirent, 4 soldats imperiaux étaient là.

- Vous 2, raccompagnez cette demoiselle chez elle.
Vous autres, accompagnez ce messire avec moi.

Les hommes commencèrent à s'avancer.
O'Wolf aurait pu tenter de résister, certes. En vérité, Alliage n'attendait que ça... Qu'il lui ouvre de nouvelles portes qu'il se consentait à garder fermées par respect pour le temple, et par une once de galanterie aussi. Il est mal vu de montrer des actes de haute violence devant une femme.

Pendant le temps où Alliage s'entretenait avec O'Wolf, Sliterin regardait ce pendentif qu'il n'avait pas vu depuis quelques temps.

Irina...

Il était pensif et son visage semblait presque apeuré, apeuré de ce qui se passait en lui, de ce qu'il tennait dans la main. Puis son visage se tourna vers le jeune elfe étendue sur le sol. Il la regardait, là, à bout de force, il regardait son visage, puis quelque chose se passa en lui. Il pensait qu'il allait s'évanouïr, ce ne fut pas le cas, mais c'était comme si il n'était plus la, il n'entendait plus les discution entre Alliage et O'Wolf, entre les grade, il regardait cette elfe, tremblant, et, enfin, un mot sortit de sa bouche.

Amele...

Sa voix n'était pas comme d'habitude, c'est a peine si on pouvait l'entendre. Il se laissa tomber à genou et releva la tête de celle qu'il ne pensait plus jamais revoir, et il la regardait, encore et toujours, en espèrant qu'elle se réveille, il attendait...

Quoique un peu embarassé par la situation, O'Wolf, en gentil-homme se laissa faire mais se ne fut pas le cas de la demoiselle...

"Mais! Hey! Lâchez-moi!, protesta t-elle ave virulance."

Elle donna un coup de pied à un des gardes, et frappa d'un coup de coude l'autre. Et collant son nez devant Alliage, lui cracha à la figure sans détourner le regard.

"Quelle femme!, sourit O'Wolf d'un air de grande hébététude"

Les gardes les emmenèrent et Alliage retourna dans la pièce où se trouvait Sliterin. Il regarda celui ci, qui semblait troublé par la découverture de cette femme et de ce pendentif. Le Général ne dit rien, et garda silence par respect, se réadossant là où il s'était mit.

Mais la blonde ne se laissait pas faire. Elle mordait, se débattait, grognait telle une chienne enragée.

"Ah! Non! Lâchez-moi!"

Elle remordit un des deux gardes qui la tenait et se restoppa d'un air farouche, devant le Général.

"Toi, tu peux être sûr que si jamais je te croise sur mon trottoir, tu auras à faire à toutes les filles du proxénéte!"

Et elle lui recracha à la figure en lui balançant ses griffes au visage pour lui esquinter sa face.

O'Wolf était un peu surpris de voir un telle tigresse mais la trouvait rigolote, elle et son sale caractére de fille de joie. Elle lui plaisait.

( *L'écran tremble et les messages font un vite retour en arrière, Alliage n'ayant pas eut le temps de retourner dans la salle v_v* )

Alors qu'il allait lui répliquer, pour la phrase des trottoirs, "De toute façon ça ne risque pas...", il vit la jeune femme lui porter un coup. Grave erreur de sa part, car celui ci leva simplement son avant bras doté d'une brassière pour se protéger de sa futile attaque. Puis, de toute la galanterie, la finesse, la subtilité dont il était possible, le Général dégaina l'une de ses aiguilles paralysantes et piqua la catin dans un endroit précis du coup, le poison la privant peu à peu de ses mouvements pour une durée n'excédant pas la dizaine de minutes...
Elle pouvait encore parler, mais cela n'avait pas d'importance, le proverbe à beau dire "Si sont les paroles qui sont les plus blessantes", c'était surtout les ongles longs de la trainée qui gênaient Alliage... Les 2 gardes se saisirent vivement d'ells et l'emmenèrent vers ses appartements à Bélériand, d'un pas préssé par peur que le poison ne fasse plus effet trop tôt.

Puis (* l'écran tremble et machin machin, fin du flash back, Alliage dans la salle =_=* )

Les mains de Sliterin , toujours tenant la tete d'Amele , oui elles étaient là , et elle le sentit ! Elle se reveillat après de une longues semaines de " coma " . Les medecns s'attendaient a son reveille , ils pensaient qu'elle n'allait point survivre . Elle ouvrit ces yeux bleu , qui avait tant de fois croisé celui de Sliterin , mais apres ces longues absences , il était : devant elle . Elle le regarda , lui fit un petit sourire et on pouvait sentir dans son regard tellment de passion , de bonheur et de joie , que tout l'entourage pouvait sentir leur amour . Elle avait eu peur et on le sentait bien . Elle ne prononca qu'une phrase dans sa langue d'origine : Sa fait si longtemps !

Sliterin la regarda au fond de ses yeux, ses yeux qu'il n'avait plus vu depuis deux ans. Il ne pu s'empècher de sourir face à sa femme. Il la contempla.

Je désesperais de ne plus jamais te revoir, mais tu es revenue, et c'est une chose à laquelle je ne m'attendais guère.

Il la serra contre lui. C'était comme une rennaissance, Sliterin était plus heureux que jamais, et il se rappela les evenement du passé, comment ils se sont rencontré, leur premier repas, leur mariage, et la naissance de leur fille. Tout ces évenements étaient resté encrée dans la tête de Sliterin. Et a cet instant il se jura, que jamais plus ils ne se sépareraient.

Enfin , elle etait dans ces bras , cet homme qu'elle avait tant chercher . Elle était encore faible mais cela ne l'empechait pas de s'exprimer . On pouvait sentir beaucoup de joie mais enormement de tristesse .

Jure moi de ne plus me quitter , de ne plus me faire se mal qui ma tent demolie , je t'ai retrouver je ne veux plus te perdre ( dit elle pleins de larmes ) .Aide moi a me lever , je veux marcher avec toi !

Je te le jure.

Et sur cette promesse il aida le jeune elfe à se lever. Il la tennait contre lui et se dirigea vers le sortie du Temple, sans sortir pour autant car il se rappela qu'il n'y avait pas qu'eux en ce lieux. Il s'arrèta et se tourna vers le général qui semble-t-il était encore présent.

Général, je vous expliquerais totu cela plus tard si vous le voulez bien. Pour le moment il me faut rattraper le temps perdu.

Et c'est sur ces paroles qu'il sortit avec sa bien-aimée.

- Prenez votre temps.

Il se redressa et partit du temple, se dirigeant vers le Palais Imperial... Comme quoi, parfois, le destin faisait bien les choses...

Elle le regardait , ne sachant que dire .
Elle marchait avec lui , attendait que Sliterin parle , lui dise quelques choses et surtout qui lui explique la raison de son depart , car avant toute chose , la cause de leur separation était de sa faute ainsi que de la guilde ,dont il faisait partie .

Sliterin aussi espèrait que Amele dise quelque chose, mais un silence trop long s'était déjà installé et il parla donc le premier.

Je suis si content de te revoir. Après ces deux années... Mais dis moi... Irina? Comment va-t-elle?

Car non-seulement de ne pas avoir cu Amele durant deux années, il n'avait pas vu non plus sa fille, qu'il n'a vu que très peu de temps d'ailleur.

Rien qu'a ce nom , Amele ce mis a fondre en larmes contre le corps de son bien aimer qui l'avait tant de fois proteger des menaces et d'autres ...

Elle est morte ( balbutia t'elle ) Elle est morte ...
Elle le serra fort contre elle , si fort qu'elle se griffait elle meme elle serrant ces poings , puis elle repeta :

Elle est morte , elle est morte ...

Sliterin ne voulu pas croir ce qu'il entendait. Il reste sans rien dire pendant un moment... mais il du se rendre à l'évidence. Sa fille unique, sa seule enfant, disparu a tout jamais... Il n'avait même pas pu profiter de vivre avec sa fille, la véritée sortait malhereusement de la bouche de sa femme. Et il la serrait aussi contre lui, sans rien dire, mais fort atrissté par cette perte, il ne pleurait pas, mais cela se voyait, une perte irremplacable.

» Rencontre de trois personnes.
» Deux personnes de magie devant la Capitale