<<Reccueil des textes rp>>

Reveil agité

Herbek 09/02 à 13:50


LE jeune garcon ouvrit brusquement les yeux, il était dans une petite pièce de bois, il sortit du lit et marcha sur un carbe des mers qui lui pinca les doigts de pied.

<> Herbek posa sa main dans son dos pour sasir sa rapière... plus rien. Il jetta un regard à la petite pièce puis se rendit compte du bandage sur son épaule droite. Il observa les multiples bandages qu'il avait sur le corps.

<< Dans quelle infirmerie je suis tombé ?
- Ce n'est pas une infirmerie répondit une voix vieille et fatiguée.
- Alors ou suis-je ?
- Tu es dans ma cabane, sur les plages de l'ile des 5 sages.
-L'ile des 5 sages... >> Herbek se remémorra lentement les événements du quai de trigorn. Il jetta un regard au vieillard, assis sur un tabouret, son manteau vert l'envellopait complétement, sa longue barbe grise et ses deux yeux verts, sa canne de bois tordu et ses sandalettes de cuir lui donnaient un air de sage bienveillant. Il poussa la porte te laissa la douce lumière recouvrir son corps. Il alla marcher le long de la plage avec le vieillard. ils discutèrent de choses et d'autres et décidèrent de construire un bateau pour qu'herbek puisse rentrer à Trigorn. MAis avant cela il devait trouver des armes et apprendre le combat à mains nues, qualité qui lui faisait défaut.

Murmures de l'eau qui s'en va

Kitty 09/02 à 18:42


Assise au bord du caniveau, les genoux repliés contre sa poitrine, une petite fille contemple l’eau trouble qui s’écoule devant elle. La nuit est tombée depuis un long moment, les enfants dorment. Mais à présent, qui a encore le temps d’être un enfant ? La fillette se balance, chantonne la même mélodie, un sourire aux lèvres. Sourire dément, sourire cruel. Dans ses bras repliés, elle tient fermement une boule de poils. Lentement, elle la berce, elle chante, l’enfant ne veut pas dormir. Tout bas, elle entend les murmures de l’eau qui s’en va. Lentement, elle prend son temps. Elle ondule et frôle doucement les pieds de la petite fille. Cette petite fille s’appelle Kitty. Ce soir, elle est la reine, la reine de ce royaume immense. Mais est-ce l’ignorance, ou l’inconscience, qui a volé à cette fillette toute son enfance ? Plus rien ne fait, plus rien ne marche. Mais il faut essayer encore une fois.

Avec le bout de son doigt, Kitty caresse la masse informe qu’elle serre de toutes ses forces contre sa poitrine. Une tâche noire s’imprègne dans le tissu humide de sa robe. Avec un visage de marbre, les yeux écarquillés. Elle ignore le petit couinement de détresse et l’être qui s’agite dans ses bras. D’un geste platonique, machinal, elle comprime l’animal, qui se débat de toute la force de son corps. Elle l’enferme. Elle l’enferme dans une boîte, jusqu’à ce que ses os cèdent, jusqu’à ce que des larmes de sang s’écoule le bout de son museau. Lorsque la névrose affleure, elle détend ses muscles, elle relâche sa prise. Le chaton retombe dans le caniveau, inerte. Délire symptomatique, effet indésirable, conséquence non voulue. Il y a erreur quelque part.

Kitty se penche en prend délicatement la petite bête dans ses mains. La peau du cou cède, les clavicules rompent. La tête du chat tombe sur le pavé. La gamine fixe sans comprendre le corps du petit animal qui ne bouge plus. Elle le pose au creux de ses bras et lui parle tout bas. Le chaton miaule, ou émet une sorte de gargouillis. Il n’en veut pas à Kitty, il lui a dit.

« Raconte moi n’importe quoi, tant que je suis avec toi. Fais ce que tu veux de moi, tant que tu reste là.
Peut importe ce qu’on dit de toi, je veux danser avec toi. Je ferais n’importe quoi pour que tu reste là. »

Le chat sourit à Kitty. Il saut de ses bras et s’étire. Elle a déjà vu cet animal quelque part. Impression de déjà vu, l’histoire d’une histoire qui semblait trop facile. Pourquoi tu fais ça ? Le chat s’assoit et se met à lécher sa patte déchiquetée. Du coin de l’œil, il accuse Kitty de son regard. De son œil noir, noir comme une bille. Impression de déjà vu. Pourquoi l’œil de Lipo est là ? Le chaton ricane.

« Enfin, nous nous retrouvons, Rashmae. J’ai mis si longtemps à te chercher. Comment as-tu pu te réfugier derrière cet enfant ? C’est, si lâche de ta part. Il est vrai que j’étais loin de me douter que tu aies pris possession du corps d’une enfant. Je ne pensais sincèrement pas que tu soit tombée aussi bas. Toi, la Gardienne des Secrets, la Maîtresse des Acolytes. Je me demande où tu as bien pu perdre ton honneur et ta fierté. »

Le chaton s’étirait, se modifiait et se déformait progressivement. Il devint flou, si flou. Une forme vaguement féminine.

« Tu as perdu … »

Kitty remue dans son sommeil, elle aperçoit le soleil au bout du tunnel. Elle l’enferme et elle dort.

Drâme dans les sous-terrains DarkLordien...

Narmac 09/02 à 22:17


Narmac, après de nombreuses recherchent sur la Skull, avait enfin trouvé ce qu'il cherchait depuis quelques temps. La Skull attirait les plus naïfs vers elle, mais il cherchait a chaque fois de trahir Narmac, mais ceux-ci mourrait. Narmac compris ce qui avait fait tomber Savian, et bientôt lui-même serait ce maudit artefact. Il ouvrit lentement la porte, un courant d'air glacial en sortit. la puissance de la Pierre n'avait jamais été aussi grande... Depuis des années, chaque DarkLord pensait que la Skull était leur plus grand avantage, mais en fait, c'est le plus grand fléau que les terres DarkLordiennes n'ait jamais connu. Il s'approcha lentement dans la salle, avec un parchemin en main. Il le déplia et se plaça non loin de la Skull. Il commença à reciter une formule, dans la langue des DarkLord

- Que la puissance offerte par les Dieux à ces terres, s'éteignent à jamais !

Les écritures démoniaques du parchemin prirent une lueur noire qui s'intensifiait de secondes en secondes, puis un jet de lumière noir se dirigea à vive allure vers la Skull. Celle-ci perdait petit à petit sa lueur noire, sa puissance diminuait aussi. Soudain, un vent très puissant se leva dans la pièce, propulsant Narmac contre la porte, il se releva assez faiblement. le sol et les murs tremblaient, les lieux allaient certainement s'écrouler, il sortit courant vers la sortie, il avait très peu de chances de s'en sortir. Il sauta au sol et posa sa main sur une dalle et appuya dessus de toutes ses forces, les dalles s'enfoncèrent sous-terre, puis Narmac rampa vers l'avant, la galerie qui l'attendait était sombre. une lueur noire de sortit de son corps, certainement la partie de la Skull qui le contrôlait, puis elle disparut dans les airs, laissant Narmac inconsient dans le noir, peut être même mort qui sait... Là haut, tous les couloirs s'écroulèrent petit à petit, laissant des centaines de milliers de gardes mourrir sous les assaults des roches... Le phénomène de Narmac avait certainement du toucher les DarkLord contrôlés...

Drôle de victoire

Tragos 10/02 à 12:59


J'entrais en portant Lelly. Elle dormait. C'est ce que Gabriell m'avait assuré et je le croyais.
Une fois déposée sur le lit je lui ôtais ses vêtements, la couchais, puis la bordais.
Je me relâchais alors...
Quelle soirée !
Nous avions été attaqués devant le pub. Et pas par n'importe qui apparemment. Cela faisait bien longtemps que je n'avais du combattre un tel démon.
Tout avait commencé si normalement... Un petit homme du nom d'Eyken m'avait demandé de l'argent à l'entrée du pub alors que je m'y dirigeais pour souper après ma ronde. Je lui avais donné de quoi se payer un repas et nous étions en train de dévorer nos plats quand entra un homme sombre. Son aura ne laissait aucun doute, il était malfaisant. Il s'adossait au mur au fond et nous regardait. Malgré le malaise qu'il nous procurait nous continuâmes et peu de temps après survint Luras. C'est alors que l'homme répondant au nom de Thangar dit "J'ai faim moi aussi mais pas de nourriture. C'est de vos âmes dont je vais me nourrir".
Je dois avouer à notre honte que nous n'étions pas préparés et que nous décidions comme un seul homme de sortir et laisser là ce monstre. Mais il nous suivit et pendant que dehors nous nous demandions comment faire pour alerter l'armée royale et le faire enfermer il nous attaqua.
Des tentacules monstrueux surgirent de son dos et foncèrent vers nous. Leur contact nous prenait notre énergie. Nous lui jetâmes nos fioles d'eau sacrée mais avec son pouvoir de vol d'énergie il eu vite fait de nous mettre hors combat, nous projetant dans les airs et nous laissant chaque fois au bord de l'évanouissement les forces disparues. Et pourtant nous luttions comme de vrais diables, Luras tranchait tous les tentacules qui l'atteignaient, je faisait la même chose et Eyken se relevait encore et toujours bien qu'il eut été envoyé contre un arbre à plusieurs reprises. Le démon nous envoyait des sphères enflammées dont une m'atteint et je dus me rouler dans la neige pour ne pas brûler vif. C'est quand nous étions quasiment assommés et perdus que survint Gabriell. Avec la force du désespoir nous nous relevâmes et Gabriell lança un sort qui nous laissa pantois et la confiance nous revint. Il changea en eau toute la neige autour du monstre. Comprenant ce qu'il allait faire nous foncions sur Thangar et avant que l'ange ai pu bénir l'eau ainsi formée et donc piéger le démon dans une mare d'eau sacrée, celui ci envoya un de ses derniers tentacules contre Gabriell, l'assommant à moitié. Eyken se jeta sur le monstre pendant que Luras essayait de couper le tentacule et que j'essayais de le poignarder. J'y arrivais et Gabriell lança son sort. Dans un hurlement Thangar disparu... Pour réapparaître plus loin. Certes il avait été affaibli, mais il profita d'être dans notre dos pour poignarder notre dos, et Gabriell et moi tombâmes inconscients. Luras n'étais pas en meilleur état et Eyken avait fuit. Le monstre s'approcha alors de Luras au sol et commença à lui voler ses forces le laissant tremblant sur le sol, en train de se vider de son énergie.
Nous étions perdus.
C'est alors qu'arriva Lelly. Ma douce et tendre Lelly, mon souffle, mon printemps, ma vie.
Voyant la situation désespérée elle voulu nous mettre à l'abri en emportant nos corps. Elle ma traîna sous un buisson un peu plus loin et revenais pour s'occuper de Gabriell quand elle vit qu'elle n'aurait pas le temps de sauver Luras ainsi, c'était trop long. Alors elle ferma ses yeux, et posa ses mains sur le sol. Je l'avais déjà vu faire plusieurs fois ces gestes, elle allait invoquer la puissance de la terre en bonne élémentaliste qu'elle est. Le démon du percevoir la réunion des forces magiques autour d'elle car il lâcha Luras et disparu... Pour réapparaître derrière Lelly et d'un geste vif il lui mordit le cou. Je papillotais des yeux quand il fit cela, je me réveillais. Et c'est impuissant que j'assistais à cette ignoble morsure.
Le temps s'arrêta un instant. Cette fois c'était la fin. Plus rien ne pouvait la sauver ni nous sauver. Aariba nous accueillerai auprès d'elle.
Une voix forte sembla résonner autour et en nous. Tremblant, rassemblant mes dernières forces je glissais sur la neige, rampais en direction de Lelly. Elle avait glissé au sol comme une poupée de chiffon quand cette voix avait retenti. Thangar l'avait lâchée et cherchait des yeux qui avait interrompu son repas.
Je reconnus sa démarche alors qu’il passait à coté de moi. Son aura avait augmentée de façon formidable. Son énergie créait des étincelles à chacun de ses pas. Et une colère contenue l’animait. Il s’avançait telle la justice et Thangar recula malgré lui.
Amos était là. Il leva les bras et une décharge de magie s’abattit sur Thangar le prenant dans une toile d’araignée le contraignant à l’immobilité. Alors il lança un sortilège de guérison divine, en appelant à Aariba pour qu’elle nous sauve. Puis, il nous ramena au Temple, emportant avec lui Thangar. Ce qu’il advint de Thangar, je ne le sais car je m’occupais de Lelly en compagnie de Gabriell. Il prit sur lui la morsure, se sacrifiant pour qu’elle soit sauvée.
Une bonne nuit de sommeil nous retapera tous.
Je m’allonge doucement aux cotés de Lelly et sombre immédiatement dans le sommeil.

Tremblez.

Lucy 10/02 à 20:53


Mon heureux coeur tendre n'est plus,
Ma joie est désormais perdue.
Ces loins souvenirs effacés,
Font place à votre mort assurée.

Une faux dand ma cruell' main,
Et vos coeur sanglants de crétins,
Mes airs sombres vous hanteront,
L'enfer sera votre maison.

Lorsque je passerais,
Ne fuez guère, laissez vous faire.
Vous crierez et me suplierez,
Lorsque ce sang aura coulé.

Tremblez, il n'y a plus d'espoir.
Vos veines sont déjà ouvertes !
Tremblez, vos jours sont comptés,
D'un pas rude je vais les tuer !
Tremblez, vous n'êtes plus rien,
Votre tête est tranchée !

Tremblez, Lucy est là...

Un poiroteur dans un monde de brute

Flamme drogon 11/02 à 08:55


(ceci raconte ce qu'es tdevenu Flamme pour ceux qui veulent le savoir)

Les riviéres sont de sang, toutes végétation est mortes, tous batiment délabrés. Un seul moyen pour survivre c'est combattre car ici la nouriture est rare. Des bruits d'épées qui s'entre choque se font entendre, des cris aussi. Les gens se battent parmi eux ont pouvais reconnaitre Flamme malgrés ces blessures, il combatait, il était recouvert de sang, il était recouvert de blessures mais poourtant il comattait toujour. Son arme était transparente laissant un tracé de sang dériére ces coups, les corps Tombés Flamme tenait, il était au bord d'une falaise quand d'un coup il se mit a "poiroter". Les brutes le regardait et ne comprirent pas il s'aprochérent alors lentement de lui quand il se bascula dans le vide, les brutes le regardérent tombé il avbais le sourire au lévre et son sang laissé une tracé dériére sa chute, Flamme tomba dans une riviére de sang.

La Riviére de sang amena Flamme au bord de ce royaume de "Brute" ou pas loin se situé un village d'elfe, un jeune elfe s'aprocha de Flamme et le regarda, le jeune elfe en apela d'autre et il l'emmenairent dans leur infirmerie. Flamme n'était plus dans ce royaume de brute la ou il a survécu pendant sept jour a combattre.

(pour ceux qui ont aprécié ou pas je ferais une suite qui va raconté le long trajet et les épreuves qu'il va enduré pour revenir 'mais pas pour poiroté')

Récuperez une arme

Herbek 11/02 à 12:44


Selon le vieillard le seul moyen de récupérer une arme pour herbek est d'aller dans la caserne de la millice. Et il s 'y rends.

Arrivé devant la porte il est aretté par deux gardes. Herbek met un coup de boule au premier avant de mettre un crochet du droit au second. Il saute en l'air et lui met un coup de pied, faisant tomber le second garde au sol. Le premier, toujours sonné dégaine sa lame et menace herbek. Ce dernier lui sasit la main et la tords, il le plaque ensuite contre le mur et l'étrangle silencieusement.

A l'intérieur il n'y a presque personne. Herbek pénètre dans la salle d'arme, il y prends tout un ratelier. Il traine ce dernier dehors, glisse toutes les armes dans son sac de voyage nain et disparait dans la nuit.

De retour près du vieillard, ce dernier propose de lui apprendre l'art du combat à mains nues et à l'arme ainsi qu'une magie oubliée... La magie de la lumière...

Fuite

Aegis 11/02 à 12:57


La nuit est bien avancée. Pas un bruit dans le campement mais juste ce vent qui souffle faisant onduler les voiles de nos tentes.
Je me lève en sursaut. Dressé sur le lit, tournant ma tête de chaque coté me croyant observé par mes fantômes. Je les entend toujours m’appeler inlassablement. Tout n’est que brouillard dans mes yeux Je n’arrive plus à fermer l’œil de la nuit à cause de ces cauchemard insupportable. Mes yeux me brûlent, ma tête tourne, je transpire. Je regarde ma douce dormir paisiblement dans un sommeil des plus profond que je lui envie. Qu’elle est belle ainsi. Tandis que moi je me sens misérable à coté d’elle. Je ne supporte plus d’infliger cette image d’un Naib Fedaykin en décrépitude et d’un mari qui ne peut plus la rendre heureuse ainsi.
Pendant tous ces jours, j’ai tenté de chercher des solutions mais je n’en vois qu’une seul. Celle de quitter le campement et ces fantômes qui me hantent. Sans doute me suivront-ils mais je préfère les vaincre moi-même que de les faire supporter à mon entourage. Je ne suis plus d’aucune utilité dans cette état là. Je ne veux pas imposer cette vision de faiblesse venant d’un fedaykin.
Je quitte ce lit fébrilement en prenant la précaution de ne pas réveiller Nyamo et Meleth. Je la regarde encore... Pardon mon cœur. Pardon mon fils. Je ne peux plus vous faire subir cette vision. Il faut que je m’en aille….
Je finis de m’habiller et revêt la cape noir que Ratus m’a offert. Dans l’obscurité, je passerais inaperçus. Je me munis d’un Kriss, d’un arc et de flèches. Je prépare un sac de provisions constitué de fruits sec, de viande séchés et d’eau et également d’épices fraîchement récoltés par le biais d’un shaman. Le chausson de Meleth est toujours avec moi. Il y aura toujours ce lien qui nous unira avec celui que nyamo possède.
Me voilà maintenant prêt.
J’allume une bougie sur la table basse. Je prend un papier et commence et rédiger une lettre pour Ratus. Je marque une pause, comme une hésitation à écrire, comme une sensation que j’allais à commettre un acte impardonnable. Peut-être que mon Naïb me bannira du campement, faisant de moi un lâche. Mais je m’exécute. Tant pis pour les conséquences…je n’en puis plus
La lettre fini, je la plis en quatre et l’accrocherait sur un voile de sa tente.
Je prend mon cimeterre de Naib Fedaykin mais je ne serais plus digne de le manier…
Voilà c‘es fini.
Je m’approche une dernière fois de Nyamo et me baisse auprès d’elle. Je sens son souffle chaud. Sa respiration est régulière. Je ne peux m’empêcher de laisser couler des larmes de tristesses pour celle que j’ai aimé plus que tout. Je m’approche et lui dépose un long et dernier baiser. Je ressens ces ailes frétillés légèrement comme si elle ressentait quelque chose à ce moment-là. Je me lève ensuite et m’approche cette fois-çi de Meleth. Il dort lui aussi profondément. Je m’approche et lui glisse une main tendre sur le visage et l’embrasse. Je lui glisse un petit mot dans l’oreille : « sois fort mon fils et veille bien sur ta mère »
J’éteind la bougie et me dirige à l’entrée de notre tente. Je les regarde tous une dernière fois. Je leur envois un baiser à chacun d’eux, leur disant que je les aimerait toujours.
J’écarte le voile de la tente laissant s’engouffrer un peu le vent. Au revoir mes amours.
Et je pars sans me retourner.

Il fait nuit et je me fond dans l’obscurité jusqu’à la tente de Ratus….

Lettre pour Ratus

Aegis 11/02 à 13:24


J’ai quitté ma tente et je me faufile rapidement dans le campement sans l’ombre d’un bruit en prenant soin de ne pas éveiller la vigilance de mes sentinelles. Voilà la tente du Naib

*Accroche une lettre sur un voile de la tente*
*regarde cette tente pour la dernière fois*

‘ pardonne moi ratus’

*s’enfuis en silence dans l’obscurité en direction des dunes*

Ratus,

Depuis ce bref voyage à Trigorn, des visions m’obsèdent constamment. Toutes ces visions de ces hommes morts et puis celle de mon ami Pathibulaire me hantent nuit et jour. Je ne peux plus rester dans cet état. Je ne suis plus en mesure de mener la protection de l’oasis dans ces conditions. Aussi ai-je décider de quitter le campement cette nuit. Au moment où tu liras cette lettre, tu ne me trouveras plus dans cette oasis que j’ai tant aimé et qu’au fond de moi j’aime toujours. Mais comme par fierté et orgueil, je refuse que l’on me voyent ainsi. Je t’en prie Ratus, ne fais rien pour me retrouver et laisse moi le temps nécessaire pour retrouver la paix de l’esprit. Cette nuit, le vent souffle et effacera les traces de pas du chameau que j’aurais pris. Si jamais quiconque essayais malgré tout de me rechercher, sache que je reculerais encore plus et que les techniques de combat Nomades notamment dans l’art du camouflage n’ont aucun secret pour moi. Ce serait peine perdu de me retrouver. Laissez moi. Peut être reviendrais-je…ou peut être jamais.

Ratus, prend soin de ma famille, Nyamo et Meleth. Je ne supporte plus de leur donner cette image d’un homme posséder par ses démons. Je ne suis plus capable non plus de leur donner l’amour qu’ils méritent. Dire leur que je ne les oublierais jamais et que leurs voix et leurs visages m’accompagneront sans cesse dans chacun de mes pas.

Tu trouveras au pied de ta tente mon cimeterre de Naïb Fedaykin, celui qui se transmet de Naïb en Naïb depuis Azimba. Je ne mérite plus de porter cette arme. Tout comme ce titre de Naïb que j’espère avoir honorer du mieux possible. Ce n’est pas à moi de décider, toi seul possède la réponse, mais le Taïb Tsukasa mériterait d’avoir les honneurs de ce titre. Afin que mon nom ne soit pas oublier, je te demande la faveur de le graver sur la lame à la suite des ancêtres Naïb Fedaykins.
Je ne prend qu’avec moi un cimeterre ordinaire, un arc, des sachets d’épices et quelques provisions. Le reste du temps, je subviendrais à mes besoins par la chasse.

Ratus, continu à veiller comme tu as toujours su le faire sur ce merveilleux peuple.
Que l’oasis prospère sans cesse et que le nom de ce peuple résonnent pour toujours sur Vesperae.

Que les Anciens me portent un regard bienveillant sur ma route et vous protègent tous


Aegis, ton fidèle serviteur

*s'enfuit vers les dunes*

Par pitié...

Echo 11/02 à 20:29


Je tombe...
Je m'enfonce doucement, sans peur, dans cette interminable âbime, je ne sens plus rien, du souffle de l'hivers sur ma peau, de la chaleur du soleil, plus aucune sensation...
Pourquoi? Pourquoi ces voix ne me quittent-elles plus? Pourquoi m'empècher de vivre? Je n'ai rien fait...
Laissez-moi, quittez ma vie, s'il vous plait...
Je n'ai pas envie de vous, je ne vous veux pas...
Non, je ne suis pas un monstre, je ne suis pas le tueur fou que vous décrivez! Je vous en prie, quittez ma tête, quittez mes pensées...

Par pitié...

Maléfique

Gwangi 12/02 à 07:47


Gwangi, le destin d’une créature maléfique.
L’histoire d’une ombre

Au commencement…
Chapitre 1

Tien tien… C’est maintenant que tu te réveille? Je dois dire que tu étais dans un piteux état quand je t'est trouver… Quoi? Les liens? Ho… J’ai du prendre quelque précaution, vois-tu, on est jamais assez prudent dans ce royaume de sable… Il y a longtemps que ma modeste caverne n’a eu de visiteur… Est-ce cette tempête de sable qui t'as fais échouer juste devant chez moi? Tien mais quel est ce visage blême que tu me fait? Serais-ce de la peur dans ton regard? Ha oui, tu semble avoir compris… La chaire fraîche est une denrée rare par ici, tu n’as rien à craindre, ta mort seras douce et rapide… Je dois bien me nourrire non? Mais comme tu vas bientôt mourir , je vais te faire un cadeau… Tu sais, je me sent bien seule, exilée en ces terres, j’ai le soudain besoin de discuter… Tu sais, trop d'histoires relatent la vie de héros tueurs de dragon ou d’aventuriers bravant des tempêtes énormes à la recherche de trésor… de princesse ou de château… C’est pathétique… Enfin, je suppose que sa t'intéresse pas, c’est bien, moi non plus… Ce que je t'apprêtes à te raconter, n’est en rien une chose facile à entendre, mais de doute façon tu n'as pas le chois, aussi bien savourer tes derniers instants avec une bonne histoire non? Bien bien… Mon histoire commence comme bien des histoires, au cœur d’un village rustique ou le travail et la famille étaient les principales valeurs morales… Mes parents étaient de simple fermier et s’occupaient de leur terre comme ils le pouvaient. Je n’avais que 5 ans à l’époque, je ne conserve d’eux que de vagues souvenirs, des images floues, trouées… Décrire dans l’exactitude notre terre m’est totalement impossible, car je ne garde d’elle, qu’une odeur de cendre… La vie s’y passait lentement, il en fallais peu pour être heureux, comme si l’air et l’eau étaient leur seul bonheur. Je me demande si aujourd’hui, les survivant de mon village diraient la même chose… Oui, j’ai bien dit survivants…

Un soir d’été alors que je revenais des champs avec mes parents, je nous sentis suivis de loin par une créature sombre, au début nous pensions qu’il en voulait à nos récoltes mais bien vite nous nous rendîmes compte qu’il avait un tout autre but. Durant des jours il nous regardait, sans même bouger ne serait-ce qu’un pas. Le jour quand nous allions au champs, je me souviens, il s’accroupissait sur la branche la plus basse du vieux chêne tordu et il y restait jusqu’au soir, quand nous repartions vers nos chaumières. Puis quand cela fut la 10ème journée, les villageois se rassemblèrent et allèrent au champ dans l’intention de lui demander ce qu’il voulait. Bien entendu, j’étais avec eux, ma mère ne voulait se résoudre à me laisser seule comme si elle avait pressentis ce qui allait arriver. J’allais comprendre pourquoi bien plus tard… C’est alors qu’ils étaient tous réunis devant lui, sa seule présence faisais frémire le chef qui avec ses grands aires tentait d’intimider ce dernier. Le chef s’avança vers lui, en tentant d’avoir l’aire plus costaud qu’il était, et lui demanda ce qu’il voulait. Un silence de mort plana sur le groupe, l’être silencieux ne répondit pas et continuais a nous observer de son regard sombre. Il avait pourtant l’aire d’un humain ordinaire à l’excepter qu’il étais sombrement vêtus et ses yeux brillaient de manière vraiment étranges. Pour les villageois il était claire qu’il devait s’en aller. Le chef perdis patience et haussa le ton contre l’être étrange, et lui ordonna de s’en aller mais rien n’y faisais et il resta silencieux, toujours accroupis sur sa branche à nous regarder. Tout indiquer qui rien n’allais le faire bouger. C’est alors qu’il posa son regard sur moi , il me fixait de sorte qu’il me pétrifia de peur de peur. Je n’osais plus bouger, et je le fixais autant qu’il me fixait. Je me souviens de son sourire alors, un sourire vil, et satisfait qui alerta tout le groupe. C’est alors qu’ils se tournèrent vers moi, malgré l’aire stoïque de ma mère, tous semblaient comprendre… Il était venu pour moi… C’est le lendemain matin que je vu ma vie changer à tout jamais, ma destinée prendre un tournant non pas dans la lumière, mais dans l’ombre et dans le crime. Je n’avait que 5 ans, qu’aurais-je comprise aux menaces de cette homme mystérieux? Quand le soleil se leva sur le village et que la brume du matin remplis le paysage, ils étaient tous réunis près du champs. Ma mère avais fait un petit baluchon remplis de mes vêtements et de diverse chose m’appartenant. Je voyais qu’elle se retenait de pleurer… Comment expliquer a un enfant que pour l’avenir de tout un village, mieux fallais me laisser au main de l’homme? Oui car ce qu’il voulait, n’étais ni fortune, ni voler les récoltes non… Ce qu’il voulait était bien plus précieux que tout autre chose, c’est moi qu’il voulait et il avais poser son ultimatum au chef du village. Pourquoi moi? Bien plus tard, les réponses à mes questions allaient s’illuminer comme on allume une chandelle… Mes pas dans l’herbe humide, le brouillard qui donnais un coter sinistre au paysage et le grand chêne tordu qui se découpait au travers l’épais nuage… Je m’avançais lentement vers mon destin, vers celui qui allais faire de moi, ce que je suis aujourd’hui… Devant moi, il étais là, debout d’une tel droiture et d’une assurance incroyable. Il me fixa longuement, un sourire aux lèvres puis me tendis la main lentement.

-N’est crainte petite… Me dit-il. Là ou nous allons, sera le commencement de ta nouvelle vie…

La vie est un cercle vicieux pour celui voulant égoïstement le meilleur. Il n’existe aucune issue possible d’est le pied enfoncé dans la vase d’idéaux humains. La perfection existe vraiment, et tel l’hameçon, elle attire les plus aventureux poissons de ce monde. La puissance est l’un des pire aphrodisiaque que l’humanité est connue. Tout être doué d’une consciences, un jour ou l’autre finira par la vouloir et inévitablement il finira par tomber dans le gouffre de la folie, avec elle… Cette course entre le bien et le mal ne fait qu’empirer cet idéal, que ce soit pour le compte du paladin, ou pour le compte du nécromant, la puissance restera désirée… Mais qu’est-ce que le bien? Qu’est-ce que le mal? Mon passé est remplis de ces questions toujours sans réponses, il n’en existe pas… et si elles existent, seuls les dieux les connaissent… Mon enfance fut donc comblée par moult incertitudes qui ont toujours et qui encore aujourd’hui mènent ma vie. Une lutte encore constante entre mon bien et mon mal intérieur…

J’étais là, au main de l’étrange destinée qui m’attendait droit devant. L’enfant et l’homme côte à côte, nous marchions sans même s’arrêter ne serait-ce qu’un moment… Je ne saurais parler avec certitude de cet homme bien qu’il m’arrive encore de revoir, quand je me laisse aller à mes souvenirs, son visage, sa cape volant au vent de la nuit et aussi, son regard, rouge ardant pourtant si glacial… Il était mon gardien, le temps d’un voyage. Le pont entre ma vie d’avant et celle qui m’attendait. Il me conduisait d’un pas sur, infatigable et infailliblement vers son point de rencontre et moi dans ses bras étant trop fatiguée pour continuer à marcher. J’ignore combien de temps je pus sommeiller mais à mon éveil, nous étions à des kilomètre de chez moi, dans une ville inconnue et sombre. Entourée de gens tout aussi sombres que le reste. Du peu que je me souvienne, il me conduit vers un temple de pierre noire, un temple érigé en l’honneur d’un dieu sombre qui encore aujourd’hui régit ma vie. C’est d’un silence parfait que je restais, mon regard rivé vers la grande place alors que nous avions passé l’arche du temple. Il m’arrive encore de revoir durant un court moment ce que je vue ce soir là. Je vue autour de moi des choses si étranges et tout aussi étrange que cela puisse paraître, rien des ombres obscures ou des murs aux murailles d’ossements ne semblaient m’importuner. J’étais intouchable par la peur…

Doucement, l’homme me posa au sol et me prit la main pour me guider vers un nouveau couloir. Là où d’autres enfants étaient déjà attroupés en une ligne peu droite et très bruyante. Certains pleuraient, implorant leur parents alors que d’autre embêtaient les plus petits. Je fuse donc placée dans la mêlée, avec les autres petits monstres me semblant déjà insupportables. J’étais pourtant d’un calme et d’un silence plat, rien ne semblait me déranger, mais que pouvais-je faire d’autre? M’enfuir? Non, pas avec les adultes qui nous encerclaient… L’homme ne m’avait rien dit, rien démontré de tout le trajet, mais la force qu’il avait su prendre pour me garder contre lui, m’avait rassuré et plus rien ne m’effrayait, plus rien… pas même ce temple, pas même les ombres ou les murmures de celles-ci. Un long moment passa, le brouhaha des enfants et les murmures autour de moi m’étaient totalement indifférent. J’étais telle une statue de cire, immobile dans les ténèbres si danse. Nous étions pourtant tout du même age, étonnement quelque chose d’importent avait de toute évidence poussé le vol des autres petits. C’est au bout de longues et interminables minutes qu’enfin celui orchestrant le tout daigna se montré à nous. Soudain, une forte lumière nous éclaira ce qui eu pour effet de faire taire de stupeur les gamins et devant nous, une immense silhouette d’un sombre imperçable fini par se découper à la lumière. Il s’avança très lentement, mains à son dos et nous observait, nous fixant comme nous le fixions. La peur dans leur regard devaient lui plaire sûrement. Lentement, il passa devant chacun des enfants, parfois sans même les regarder ou s’il s’attardait, ce n’était que pour un très court moment. Je me souviens, trop bien du regard qu’il eu quand il s’arrêta devant moi et me fixa inlassablement durant plusieurs minutes. Il me sembla à ce moment apercevoir un sourire ou était-ce une illusion? Il continua sa marche, examinant sans trop s’attarder aux autres petits, son idée fut faite et c’est ainsi que tout débuta pour moi…

Quand il eu fini de tous nous examiner, l’un après l’autre il alla d’un pas très lent s’asseoir sur son trône d’or noir avec un sourire d’une satisfaction peu commune. Je me souviens encore de ce qu’il dit à ce moment, précisément. D’une voix terriblement sombre, il ordonna à ses gardes d’emporter les enfants et de les offrires en sacrifice à leur dieu, tous à l’exception de 3… La peur dans les yeux des petits, leur cris implorant la vie, les hurlement de désespoir, le sang fut graver en ma mémoire pour l’éternité… L’être ayant donner l’ordre posa alors son regard sur les 3 survivant, deux frères ainsi qu’une petite fille, toujours d’un silence de mort…

-Que ceux ayant amener ces enfants devant moi s’avancent à leurs coté… Dit-il de sa voix d’outre-tombe.

C’est alors que 2 hommes venèrent à nos coter d’un pas sûr. L’un était d’une stature imposante à l’armure d’un noir total et l’autre fus l’homme qui m’avais trouver. Ils mirent genou à terre, bien soumis à leurs roi comme l’aurais été un chien servant.

-Que l’on amène devant moi la petite… Que je vois de plus près son regard…

Mon gardien se leva alors, et me pris la main pour m’amener devant son roi. C’est a quelque pas de lui qu’il me laissa avant de reculer vers les ténèbres, me laissant seule avec lui. Le roi me fixa très longtemps une fois de plus, son regard d’une brillante malveillance semblait sonder mon âme à la recherche d’une quelconque faille en mon silence. Les abîmes qui composais mon esprit le captivais totalement, nul doute pour lui… j’étais l’une des leur…

-Quel est son nom?

-Sa mère adoptive l’avait nommée Mallia… Elle vient d’un village agricole au sud d’ici…J’avais sentis sa présence…

-Mallia dis-tu… Ridicule… Répliqua-t-il.

-C’est un nom humain…

-Très bien Maxis, je suis content de toi, tu m’a apporter une véritable perle. Mais ce n’est pas avec son âme que je saurai si elle en vaut la peine… Je veux de réels tueurs, des mercenaires sanguinaire et non d’incapables idiots. Amener la au cachot des recrues, qu’elle subisse le teste!

Des murmures fusèrent de toute par, comme s’il avais lancer un débat sur le sujet. Toujours immobile, moi je ne comprenais évidemment rien…Qu’est ce qu’une enfant de 5 ans aurais pus comprendre à tout ce charabia de démons? Seule, j’étais seule, toujours seule… J’aurais été accompagner de 100 personnes et je me sentirais encore seule, toujours et tellement seule… Cette solitude qui est encore présente en moi malgré tout, malgré tout ce temps passé je la ressent encore… Je n’avais rien d’une petite fille ordinaire, mon silence et l’éternel froideur de mon regard me donnais un aire tellement détacher de la réalité, tellement lointain. Rien ne semblais capable de percer la profondeur de mon âme tant il était semblable à un gouffre donnant directement sur les abysses. Cela, Maxis l’avait bien vu des le premier regard, aux champs, je le sais. C’est pourquoi je n’est jamais pleurer de ma vie, même en étant enfant. Le froid de mon existence étais si palpable que je n’est jamais eu de contacte social que ce sois, à l’exception de mes parents adoptif qui eux, malgré cela, n’avais pas honte de moi. Jamais de ma courte vie d’enfant jeu connu l’amitié, car l’hiver de mon âme faisait instinctivement peur ou semais l’incertitude chez les adultes, tien, un peu comme toi en ce moment... Le roi voulu donc m’enfermer pour tester mes capacités et mon sang-froid, m’enfermer dans une cage de fer n’étais rien pour moi, celle de mon âme est bien pire… C’est alors que je fuse enfermer durant trois jours et trois nuit, sans vivre et sans présence humaines que ce sois, parmi les rats et les araignées… j’étais seule… Si seule… C’étais ainsi qu’ils testaient l’endurance des nouvelles recrues, dans le noir d’un cachot ou du sol se dégageait une forte odeur d’humidité et de chaire en décomposition. Il n’y avais qu’à se pencher et à regarder au sol pour y voir des dizaines de cadavres de rats et d’ossement humain, une vision d’horreur qui me hante encore aujourd’hui. Trois jours…. Trois jours…. J’ignore encore comment je réussis à y survivre, ce qui me poussa a continuer la lute mais a la troisièmes nuits, quant ils réouvrirent les portes grinçantes du cachot, c’est debout que j’attendais…

Ha c'est bien, tu n'as même pas dormi durant mon histoire. Pour la peine je t'offre un moment de répit, je te donne 1 heure de sommeille... Alors profite bien de ce moment, il sera ton dernier repos ou tu pourras te réveiller le lendemain... Ne t'inquiète pas, je veille sur toi, je ne dort que d'un oeil...

-A suivre-

Au revoir belle oasis

Aegis 12/02 à 11:13


Me voilà en train de gravir ces dunes vertigineuses alors que ce vent souffle toujours et efface les pas de mon chameau au fur et à mesure. La lune ne brille pas cette nuit comme si elle ressent la tristesse de ceux qui demain s’apercevront de ma disparition.
Ces dunes du Désert des Larmes, théâtre d’évènement depuis des générations, je les gravis pour la dernière fois. Une fois en haut de la crête, je descend de mon chameau et me place face à l’oasis que je surplombe. Je le distingue mal par cette obscurité, seul un feu de camps à l’abri du vent me permet de le deviner. Je m’agenouille posant mes mains sur mes cuisses et prend le temps d’un moment de recueillement dans lesquels je prononce cette phrase dans un ancien dialecte nomade :
« Au revoir belle oasis, peuple courageux, continuez à croître et que vous puissiez vivre en paix à jamais. »
Et je pris un cor nomade qui traînait dans un sac sur le coté de ma monture, et d’un souffle, j’envoyais un son profond se mêlant au vent.
Le vent se met à redoubler de violence. Mon chameau commence à montrer des signes d’impatience et je me lève alors pour repartir vers une route que je ne connais pas encore. Je m’abriterais juste dans une grotte non loin de là, le temps que la tempête se calme.
C’est étrange cette tempête soudainement plus forte. Serait-ce ma fée qui se manifeste ? Je ne sais pas.
Je dirige alors mon chameau vers des contrées lointaines totalement à l’opposé de la cote menant à Trigorn. J’ai une pensée pour Poeri et Lisèn, qui j’en suis sur rempliront leurs rôle de parrain et de marraine aux coté de ma douce Nyamo.
Me voilà partis. Je me retourne une dernière fois devinant dans l’obscurité l’oasis s’éloigner au fur et à mesure. Je donne une frappe à mon chameau pour qu’il accélère le pas et redescend sur l’autre flanc de la dune. Je disparais dans les profondeur du désert.

Au revoir peuple héroïque.

Je ne vous oublierais jamais.

le message

ratus 12/02 à 12:11


Ratus se réveille de bonne heure, il se prépare pour allez a la chasse, soudain il voie le message...
" mince jamais ils pensent que je ne sais pas lire !!! a lalala bon a cette heure la qui va pouvoir me traduire se message hummm bout de métal ! elle dors jamais !"
*sort de la tente*
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Première journée de Royaliste.

omega*boost 12/02 à 12:19


Aujourd'hui , le 12 Arisis , en cette journée de Ganis , je découvris enfin la vie de Eoyaliste. A peine ayant été accepté au sein de l'armée royale , je commença à faire le travail de tout royaliste digne de ce nom , faire ma ronde à Sarosa. La matinée fut assez calme. Alors que j'entrai au pub , un homme , du m oins d'apparance , commença à me provoquer aprés quelques minutes silencieuses. Je le suivis dehors , et celui-ci me fit tomber au sol , puis cracha à mes pieds. Apparament cet homme ne me voulait pas du bien , ça crevait les yeux. D'autres personnes arrièverent et observèrent , un autre se mit à cracher à mes pieds. J'ignora celui-ci qui partit aussitôt , et voulu embarquer Hogrim , l'homme qui m'avait provoqué au pub.
Je sortis rapidement mon épée , il fit alors de même , et aprés un rapide duel , alors qu'il prenait le dessus , Omega(slipkinot) arriva , et me prêta main forte. Quelques minutes plus tard , nous nous étions légerement éloignés du pub , Omega me dit de le laisser régler ce probleme seul. A contre-coeur tout de même , je m'écarta puis commença à observer le duel. Omega avait l'avantage sur Hogrim , mais rien n'était joué. Je n'ai que 19 ans , je fus assez impresionné par la violence
de ce combat , assez sanglant... Je ne m'attendais pas du tout à ça en rentrant dans l'armée royale , j'ai encore de nombreuses choses à apprendre. Je pensais tout cela en parlant à voix haute sans m'en rendre compte , un elfe noir qui observait aussi le combat , commença alors à me parler sur mes remarques. Tout d'abord il fut assez surpris de savoir que quelqu'un comme moi , qui ne connaissait rien à la violence , soit dans l'armée.
Il avait sans doute raison , il commença à me parler de la différence entre les hommes et les démons. Alors que le combat se poursuivait , Omega s'était transformé en démon. Impressioné , je me demandais alors quelle chose il était. Elfe de l'ombre , continua son discours , fit remarquer que Omega avait besoin de se transfoemer pour avoir une chance de battre un démon faible , il trouvait cela pathétique. Moi , je ne suis pas d'accord.
Cet homme risque sa vie pour défendre le peuple , je trouve cela vraiment noble.
Pour cet elfe noir , être un bon guerrier , c'est être né dans la souffrance , et au milieu des cadavres. Je lui fis remarquer qu'il y avait une part de vérité dans ce qu'il disait , mais que de nombreux humains , pourtant nés dans la tranquillité , étaient de valeureux guerriers actuellement. Et puis , je ne suis peut être pas né dans la souffrance , mais mes vrais parents m'ont abandonnés , c'est assez choquant tout de même , et ma mère adoptive est morte alors que notre village était attaqué par les démons. Moi et mon père défenderent le village , j'avais une vision de la guerre assez horrible , mais pourquoi être choqué par des combats sanglants à Sarosa alors ? Parce que ce ne sont pas les même circonstances ? Peut être... Moi aussi j'ai souffert , si ce que dit cet elfe est vrai , alors moi aussi je peux devenir un bon guerrier , je dois m'entrainer dur , et continuer à servir la cause que je sers. L'armée royale est là pour le peuple , souvenez vous en !


Boost , jeune soldat royaliste.

Aide à Sokar

Anubis2 12/02 à 15:01


« Je vais pouvoir commencer… »

Le corps du chasseur gisait là, la louve le regardant avec envie ; mais elle résistait.

« Tu peux t’en aller maintenant, ton service vu grand je t’en remercie »

Petit rire malsain

« Tu as réussi ton œuvre mais je t’aurais et la tu ne pourras rien y faire ! »

Sur ces mots la louve Itsumi parti dans la forêt avec une envie de vengeance.

Anubis saisi son épée et ouvrit l’homme de la gorge au bassin, son sang se déversa autour de lui, un sourire apparu sur ses lèvres… Il se mit à côté du cadavre, à genoux et leva ses bras au-dessus de sa victime. Des paroles d’une ancienne langue fut prononcer avant qu’une masse noire ne sorte du corps, elle se déploya et se posa prés du cadavre ; Anubis tomba. Pour contrôler cette âme il devait y transférer son esprit et ainsi laisser son corps exposer à tous les dangers. L’ombre se saisi du couteau à la ceinture du chasseur, celui ci disparu dans la masse sombre ; cette dernière partie, en dehors de la forêt en direction de la prison de Lodoss.

Arrivé sur place, de nombreux gardes étaient encore éveillés. Il réussit à ce faufiler dans le bâtiment en empruntant les chemins les plus obscurs. Il arriva devant la cellule de Sokar. L’ombre, constitué d’une matière non solide, traversa les barreaux ; passant derrière le seigneur démoniaque, elle laissa tomber le couteau. Se fut son dernier acte, sa mission était accomplie, l’âme tourmentée pouvait gagner son au-delà ; de l’ombre il ne resta plus qu’un tas de poussière dispersé par le mouvement des pas au fil du temps. L’esprit d’Anubis regagna son corps alors que les loups commençaient à dévorer le cadavre du chasseur, il du s’en défaire pour regagner un de ses logis à l’abri du reste du monde et soigner ses blessures.

Crucifie mon amour [Text Poetique]

Luras 12/02 à 16:48


S'il est aveugle
Crucifie mon amour
Si cela peut te rendre heureuse
Jamais su jamais cru...
Que l'amour pouvait voir une couleur
Celui de ton regard...
Crucifie mon amour
Si ça doit être ainsi

Efface les blessures de ton coeur
Rejette les profondement en moi
Quand le vent pleurera
Je te dirai adieu...
J'essaye comprendre, de trouver
De rechercher l'éternité
Où est la réponse ?
Est-ce éternel ?

Comme une rivière se déversant vers la mer
Tu seras très loin, et je saurai que tout est terminé
Je sais que je ne peux négocier avec la douleur
Pourtant, pas de raison de pleurer
Crucifie mon amour
Pour te rendre la libertée

Jusqu'a ce que la solitude aie assombri le ciel
Je sombrerai et je saurai que tout est terminé
Je sais que je ne peux effacer les nuages
Oh ! Est-ce un crime d'aimer...

Passé d'un sorcier [Partie 1]

Kabaal 13/02 à 13:41


Il y a plus de 1000 ans, dans des contrées éloignés de Vesperae se situait l'une des plus dangeureuse forêt, Nagatnör. Aucun humain ni-même demon n'osait y entrer. Les chiens des enfers, serpents géants, géants et bien d'autres créatures avaient élu domicile. Aucune lumière ne pénètrait entre les immenses arbres, aussi sombres les lieux étaient-ils. Nagatnör habritait de nombreuses légendes. Des dizaines de Temples... Des monstres mythiques, la légendaire "Skull", renfermant des pouvoirs dont nul ne peut imaginer, crée un bon nombres de Dieux Maléfiques... Ou encore le Globe de Narmacia, soit disant déposé il y a très longtemps au fin fond de ces lieux hostiles. Personne ne connaîssait les pouvoirs qu'il pouvait bien renfermer... De nombreux aventuriers avaient tenté de s'emparer des secrets que renfermaient Nagatnör, mais personne n'avait encore réussi. Quoi que... personne ne sait si quelqu'un se serait emparer de l'un de ces trésors...

Un jour de Lanjis, un homme âgé d'environ 20 ans pénètra dans la forêt, Il était portait une longue cape noir, une capuche recouvrait son visage, laissant appercevoir ses yeux rouges et une ou deux mèches noirs qui se rabattait vers le nez. Il possèdait un sceptre, l'extrémité semblait être une tête de mort d'un couleur violette, c'était certainement un sorcier... La neige deja tombé, mais elle ne pénétrait pas dans la forêt, la densité des feuilles étaient trop élevées, les rares floncons de neiges qui y parvenait, fondait sur le sol à cause de l'humidité qui regnait dans cette forêt. L'homme s'enfonçait dans la forêt, il n'avait rencontré encore aucune créature, mais par quoi était-il interessé ? Personne ne serait assez fou pour s'y aventurer seul... Plusieurs jours avaient passé, il n'avait encore eu aucun problème, il s'aventura dans une clairière sombre, les environs étaient recouverts de ronces, il y avait des os un peu dans chaque coin, certainement quelques aventuriers ayant laissé leur vie, la plupart se trouvaient devant un bloc de roche où reposait un globe, serais-ce le Globe de Narmacia ? Un sourire s'afficha sur le visage de la personne lorsque soudain une voix ténébreuse et glacial se fit entendre

- Comment oses-tu pénétrer en ce lieu ?

L'homme se tourna en direction de la voix, la personne qu'il avait en face de lui semblait être une créature démoniaque, d'assez grande taille, ses longs cheveux noirs qui pendait tous le long de sa cape de la même couleur, de longues ailes noirs à un aspect tranchant, ses yeux rouge-vif... Le visiteur baissa sa capuche, dévoilant son visage, celui d'un démon...

- Je suis un sorcier du nom de Kabaal. Je suis venu m'emparer du Globe de Narmacia.

- Je crains que ton chemin ne s'arrête là, sorcier. Je suis le Gardien du Globe de Narmacia.

Il déploya ses ailes et les fit battres d'une vitesse impressionnante, laissant une rafale de vent se diriger vers Kabaal, les os et les quelques petites roches se soulevèrent et s'enfoncèrent dans la forêt sous la puissance du battement des ailes. Narmac lui afficha un sourire sur son visage et murmura un seul mot

- Protection.

La tête de mort de son sceptre brilla d'une lueur violette, une sphère se forma autour de Kabaal, malgré cela, la sphère reculait très lentement, le sorcier avait de plus en plus de mal à maintenir son sort. Le Gardien s'arrêta et regarda Kabaal, la sphère de protection se dissipa, le sorcier regarda autour de lui; plusieurs arbres s'étaient abattus sur le sol. Allait-il survivre ?

- Il va falloir trouver autre chose, Gardien.

Le Gardien ne se contenta que d'un léger sourire, puis il ouvrit ses poignets, une poussière d'étoile d'une couleur noiratre commença a se rassembler entre ses mains, laissant place à une petite sphère, il écarta les bras et la sphère qu'il avait concentré augmenta instantanement de volume, il fixa alors Kabaal, celui-ci semblait, la sueur coulait sur son front, qu'allait-il lui arriver ? Il remarqua alors que le Globe de Narmacia brillait d'une lueur noîratre, s'en servait-il ? C'est alors qu'il tendit les main d'un geste rapide, la sphère suivit le même geste et la même rapidité. Kabaal n'avait pas eu le temps de prononcer un mot qu'il ne voyait presque plus rien, il regardai autour de lui, voyant qu'il était emprisonné...

- Humpf... Je m'incline devant votre puissance Gardien. Liberez-moi !!!

Le Gardien d'un geste fit revenir la boule vers lui et d'un autre la plaça devant la Globe de Narmacia.

- Vous allez rester dans cette situation pendant 1000 ans, Sorcier. Vous réfléchirez et comprendrez que le Globe de Narmacia doit rester où il a été déposé. Adieu.

Un tourbillon noir se forma sous le Gardien, ce dernier s'enfonça dedans, laissant Kabaal à son sort 1000 ans peuvent être très long à attendre...

Chamboulement du quotidien...

exorciste*de*sarosa 13/02 à 16:35


'' Beaucup de choses se sont passées ces temps... Cette cinglée de jazz veut absolument me faire causer, tomoyo est partie, tout ces gens qui m'agressent au pub, la prison, leo qui va encore me passer un savon... et le plus étrange... sasha...''

Exorciste quitta ses pensées, jazz vint s'asseoir devant lui. Après qu'elle lui ait posé plusieurs questions aux quelles il répondit de manière incomplète elle repartit. Décidemment exo avait de qoi être plaint: Lui qui haissait les gens, tous le monde allait a sa table. Il en avait marre, marre des gens, marre de devoir controler les capes tout le temps, marre de devoir envoyer se faire voir les clients du pub... Il allait être beaucoup plus direct. Tout en évitant d'en venir aux extrèmes... Sinon il risquerait de devoir quitter sarosa.

Le début

Luras 13/02 à 20:15


Le début:
Notre histoire se déroules, loin de vesparae dans un royaume appelé Altaban.
je vais vous comté l' histoire d' un jeune homme, et dire que cela remonte déjà a dix ans ...

Ce jeune homme est luras, fier et apprentis guerrier rebelle de 14 ans, du camp Jirra.
Il y vit avec ses parents adoptifs, mais personne ne connaît ses véritables origines.
Il vaque à ses occupations, quand retentit l’alarme : une armée impériale arrive. C’est une troupe de choc venant de la forteresse Minork.
Luras, dans son immense courage (témérité ?), se jette dans la mêlée. Il terrasse de nombreux adversaires, puis il se retrouve face à face avec le chef des ennemis. Le jeune homme mit longtemps à venir a bout de ce terrible adversaire. Peu après, on sonne la victoire : les impériaux sont en déroute.
Tandis qu’on récupère les blessés, Corbulo, le chef du village, va voir Luras. Il a remarqué son courage et sa force. Il lui propose donc de quitter le village afin qu’ils se constituent une armée rebelle dont les forces auront été recrutées dans toutes les villes et camps rebelles du royaume. Ainsi, avec une armée d’une taille importante, ils pourraient vaincre ces satanés impériaux, et pourquoi pas, tuer l’Empereur Morlange. Luras accepte sans hésiter. Les armuriers du village lui confient de puissants armements, et il reçoit également une monture. Il décide de passer la nuit au village pour se reposer avant de partir. Durant la nuit, il fait un rêve étrange : il voit une femme habillée très étrangement lui parler, mais elle a une capuche qui tombe devant ses yeux, ce qui cache son visage. Elle lui dit :
« Enfin, tu décides de suivre ton destin… Il ne pouvait en être autrement… J’attendrais avec impatience le moment de ta rencontre avec l’autre ‘fils du destin’… » Au moment de ses derniers mots, on peut voir l’image d’un homme tatoué et ailé. Le lendemain, luras ne parle à personne de cette vision, mais paraît sur de lui dans sa réussite. Il fait ses adieux a ses parents et au village du haut d’un colline, et jure de revenir victorieux.

Le mariage :

A force de voyager dans les plaines et les villages, une petite armée c' était déjà constituée...
luras arrive à Unguis au beau milieu d’une fête nationale. Lui et Corbulo vont donc seuls dans cette ville en laissant leur armée campée dehors. Mais une jeune femme trouble le jeune homme. Ils sont assis ensemble au banquet, et un lien inconnu les attirent. Cette femme, Ipsyla décide de tout abandonner dans son village et de suivre luras. Elle ne donne aucune explication mais notre jeune ami ne peut refuser, sans savoir pourquoi. Il y a toutefois une explication a tout cela, car Ipsyla était promise en mariage à un homme, Laloque Durandil, le fils d’un personnage très riche. Ipsyla ne veut pas épouser cet homme et préfère partir avec luras. Laloque, donc, défie notre hero. Avant la fin du combat (Laloque est très faible), il s’enfuie et kidnappe Ipsyla. Luras part donc dans la tour de Durandil pour la rechercher, ce qui renforcera leurs liens part la suite. Au moment d’achever Laloque, au plus haut étage de sa tour, un garde surgit et peu etre pour faire peur a notre ami, hurle qu’un gigantesque dragon, le plus gros qu’il n'ait jamais vu, attaque la tour. Par manque de temps, Luras jette Durandil par une écoutille, qui ira s’écraser sur les récifs, et va voir dehors ce fameux dragon... qu'il na pas trouvé d'ailleur... ^^'

Le massacre:

Assit dans un pub, Corbulo et luras avec quelques hommes se reposaient.(c'est a cette époque Luras découvert une bien étrange boison, le Café ^^)
Ipsyla, était venue tout droit du village de notre héro pour une raisons : Cette raison, une lettre....
Ce sont les parents luras qui ont demandé à Ipsyla d’apporter ce message à notre ami.
Notre jeune aventurier li le méssage. Il y a un sérieux problème dans sa ville natale : des groupes de monstres attaquent le village de plus en plus fréquemment. Les villageois demandent donc à la petite armée de luras de venir les aider, car les monstres sont bien trop nombreux.
le jeune homme décide d’aller directement aider ses parents. Il n’y a pas de temps à perdre. Lorsqu’il arrive, vision d’horreur : le village a été dévasté, et tous les habitants tués. Lorsqu'il voit ses parents morts, il explose de rage et décide d’annihiler tous les monstres qui sont la cause de ce massacre. Il remarque une grande trace de sang qui mène à la maison du chef de la ville. En fouillant cette ruine, il découvre le corps du chef décapité. Sur le bureau, il découvre des plans indiquant clairement que ce chef était un allié des monstres et qu’il organisait lui-même les attaques...

Tychos:

Anéantis d' avoir perdus ses seuls racines.
Nontre jeune ami se mit a cherché dans les registres du village jirra.
De nombreux livres raconté les exploits d' un homme; Tychos.
Il voit que cet homme a déjà réussi à rendre la vie au morts.Il appris aussi que pour se perfectionné dans cet art, l'homme était partis loin du monde civilisé, pour ce rendre sur une île mystérieuse en traversant la mer Tabes.
Tout en regardant Corbulo le jeune luras dit plein d'espoire :
< Cet homme aurait'il accompli de nombreux miracles et posséderait une science et des pouvoirs considérables? >>
Néanmoins, personne ne l’a revu depuis son départ de son boug natal; Fulgens.

Ils se rendent alors a Fulgens. Ils apprennent ici que Tycho est parti sur l’île mystérieuse, mais n’est jamais revenu. Les gens savent qu’il est arrivé car il avait emmené avec lui une fusée éclairante, symbole de sa réussite.
L'une des personne dit alors:
<< Son bateau a peut-être sombré après qu’il aie accosté.>>.
Luras demande comment lui et ses amis pourraient aller sur l’île. Les habitants disent qu’il n’y a qu'un moyen...une barque.

Grâce à ce moyen de transport, Nos amis vont pouvoir aller sur l’île.
Ils rencontre enfin ce Tychos. Cet homme est un sorcier et un savant. Il paraît un peu étrange au premier abord, et n’ose pas parler de sa vie. Tout ce qu’il dira sera chargé de mystères, comme si rien n’était tout à fait vrai. Il a découvert sur l’île des choses très importantes. Il a appris l’existence des Spectremas,une race très ancienne. Il sait aussi que cette île était le lieu de réunion de peuple. Mais plus important encore, il a trouvé le seul bâtiment intact de cette civilisation : leur grande bibliothèque, où ils entreposaient tout leur savoir. Mais il n’a jamais réussi à l’ouvrir, les runes sur la porte étant bien trop complexes...
Mais, nos amis était pas venus pour parlé archéologie,mais pour tenté de sauvé le village de notre héro.
Tychos accepte donc immédiatement lorsque Luras lui damande l'aide.<< je suis ici depuis cinq longues années ...
Ses ruines ne se sauverons pas !>>.

(A suivre)

Luras.
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[hrp]

(Voila, cette histoire je voulais la posté depuis longtemps.j' ai préfférais attendre qu'elle soit un plus dévelopé.
La suite viendras très bientôt. ^^)

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Oui, mon maître !

~Puppet's*Master~ 14/02 à 02:10


J'étais allé à Sarosa. Comme beaucoup, j'avais vu le sang coulait dans la neige aujourd'hui disparu. J'avais pris les armes attendant les ordres de mon maître et la révélations du plan de Demonio. Avais-je raison de croire que l'on me cachait des choses ? Je l'ignore. Mais quand l'ordre fut donné, je ne pus désobeïr. Ma lame transperça la chair du garçon qui s'effondra à mes pieds. Une fillette passa par là, puis une autre, puis un garçon et encore un...Combien de mort avais-je déjà fait lorsque la lune quitta le ciel et que mon maître m'ordonna de rentrer dans ma tannière. J'avais remplis mon rôle après tout...J'étais le ~Puppet's*Masters~ et rien que cela, oui rien que ce nom, devait suffir à me consoler

Fozzy, le loup des enfers est mort.

Lotthorn 14/02 à 08:31


Cela faisait longtemps que je n'avais pas vue Sarosa, cette ville ou j'ai passé une partie de mon enfance, pourtant je m'étais éloigné laissant Nalfein gardé cette ville avec les autres "nouveaux" miliciens. Tant de souvenir... J'en ai vécu des choses dans cette ville, J'étais pressé d'y être pour revoir mes anciens amis.
Pourtant sur la route quelque chose me fît arrêter. Un corps allongé par terre le long du chemin, un corps de loup que je semblais connaître. Je m'approche lentement puis m'abaisse, je retourne le corps...
Fozzy, le loup des enfers est mort.
Alors qu'il y a quelques jours j'avais eu de ses nouvelles, j'étais au courrant que les royalistes l'avaient capturer. D'un coté je trouvais cela bien..
Tout ses bons souvenirs de Sarosa s'efface.. J'aurais du resté ou j'étais..
Je porte le vieu corps sur mes épaule et continue ma route.


(Plus tard)



Me voici enfin devant le palais, je suis épuisé d'avoir porté ce corps tout le long du voyage. J'ouvre les portes du palais, il y a toujours du monde à l'interrieur mais un garde m'empeche de passé dès que je veut emprunté les esclaliers.



Lotthorn: Si vous ne me laissez pas passé, monsieur le garde, veuillez au moins apporter ce corps à Madame Elmina de la part de Lotthorn. Sil vous plaît


Je dépose le corps aux pieds du garde


Lotthorn: Je vous fait confiance..



Pourquoi avais je fait cela, sûrement pour voir si Elmina était toujours "gentille" et si elle vas au moins l'enterrer...



Puis je repars..

hrp: voila depuis le temps que je devais posté ça...
pour plus d'explication :
http://royalvengeance.forumactif.com/ftopic955.depart.htm

Plus de neige...

Tenzin 14/02 à 11:41


Plus de neige...Elle a fondu,laissant apparaître choses enfouies sous ce manteau blanc...

Dans la forêt...Au sud de Sarosa...Une lame...Elle brille au sol.

Un pas titubant,un regard vide,une peau pâle,quelqu'un s'en empare,et continue à chercher...chercher,toujours chercher...Il ne s'est pas aperçu qu'il a déjà trouvé...Il cherche...

changement de cellule... et la venu de Ratus

sokar23 14/02 à 15:45


Le démon était au milieu de sa cellule, a genoux en train d’écouter les cris d’un prisonnier en train de se faire torturer, le seigneur démoniaque souriait en l’entendant presque pleurer.

Il avait les yeux fermé, la ronde du garde va bientôt se faire, il boit une dernière gorgé de sa boisson puis se lève. Un bref moment plus tard, une ombre apparaît dans la pièce, juste devant la cellule, Sokar ouvre les yeux, il ne parle pas, il observe calment. L’ombre approche des barreaux, passe entre, se met devant lui et dépose un poignard puis disparaît. Le démon se demande de qui ça peut bien venir, mais pour le moment il faut le cacher, il le prend et le met dans sa botte. La relève est faite, le garde est la, en train de le regarder avec un sourire.
Une journée passe sans que rien d’extraordinaire ne se produisi. Puis un homme encapuchonné fait sortir le garde, Sokar se lève doucement, essaie de savoir qui est l’homme, si il le connaît

-Te voilà ! Si j’avais su que tu deviendrais Sokar la terreur…
-Qui es-tu ?
-tu ne te souviens pas de moi ? Je t’ai vu lors de tes débuts pourtant. Je suis Ratus !
-Ratus le vieux ? Tu n’es pas mort ?
-je ne suis plus vieux, la preuve !

Sokar était très surpris de le voir sur le continent, en plus dans la prison qui plus est.

Ratus lui présenta un miroir, il demanda au Démon de regarder dedans, ce qu’il fit. Sokar vit son propre démon en lui, et il tomba en effroi. Le nomade lui dit que maintenant il tenait une partie de son âme et qu’il devait éviter de faire une bêtise puis ils partirent de la prison.

Anubis aurait du être la pour l’aider, mais Sokar pense qu’il a du avoir un empêchement, une chasse inattendu, mais pour le démon ce n’est pas grave, il l’aidera plus tard. Ils prirent tous deux le bateau pour l’île, le Démon fut malade lors du voyage, la navigation n’est pas vraiment pour lui, il fut content de retrouver la terre ferme. La chaleur lui redonnait de la force et il marchèrent longtemps avant d’arriver à l’oasis. Un endroit ou Sokar aimerait revenir un jour et faire brûler, étriper la population, mais pour le moment il est leur prisonnier. Ils passèrent sous une cascade.

-Voici ta cellule Sokar !
-quoi ça ? Je préférais l’autre au moins je pouvais entendre les autres crier, ici on entend que le bruit de l’eau !
-elle est aussi particulier, si tu penses à faire du mal ou autre chose que faire le bien tu souffriras.
-quoi ? Je ne ressens rien la !
-patiente, tu verras au fur et à mesure.

Le démon pensait déjà a prend son poignard et à étriper Ratus, mais un mal de tête lui vient, il pensait que son crane allait exploser tellement la douleur était insupportable, il pris sa tête entre ses mains puis tomba à genoux.
Pense à quelque chose de bien pour éviter de souffrir lui dit le Nomade.
Puis Sokar pensa à celle qu’il aime toujours, qu’il n’a pas vu depuis la dernière fois qu’elle est venue lui donner à manger dans sa cellule. La douleur disparue assez vite, et il se releva.
Tu voies ce n’est pas si difficile lui dit-il.
Sokar avait le regard plein de haine mais aucune pensé pour éviter d’avoir mal. Ratus partie ensuite de la grotte.

Sokar se demande comment il allait réussir à s’en sortir cette fois et il repense à la dernière phrase de l’homme.

« Tu sortiras d’ici sous la bannière du bien ou mort, à toi de choisir ! »

Quel choix…

Encore en sang....

exorciste*de*sarosa 14/02 à 17:30


Exo avait montré a ce petit qu'il ne fallait aps etre insolent avec les plus grands que soi... a sa manière bien sur. Jusque a ce que cet étranger vétu d'une cape le menace. Il réussi de peu à échapper a l'égorgement, avec une coupure a la gorge tout de même. Il se prit ensuite la lance du gamin dans le bras. Il réussit finalement a trouver u ninstant pour sortir. Mais au moment ou il refermait la porte une dague s'enfonca dans son dos.


Bien plus tard, il regagnit sa cabane, cachée dans la forêt. Il se soigna la blessure à sa gorge. Puis sur son bras, et enfin dans son dos, a l'aide d'une magie elfe dont on lui avait révélé le secret. Il se sentait tout de même faible. Ce foutu boulot de millicien l'empéchait de tuer ses agresseurs, du moins tant qu'ils sont mineurs...

Exo se réveilla, il ne se souvenait pas s'être assoupi, il était étalé par terre. I lavait sans doute perdu connaissance après s'être soigné. Il avait du rester a terre environ 1 ou 2 heures pas plus.

Il se releva, sortit de sa cabane et reprit la route vers le pub, se jurant de ne pas avoir a en venir en main pour le retse de la soirée.

Une barque...

Tenzin 15/02 à 10:32


"-Non,je t'assure,on me l'a volé!
-Tu ne l'avais peut être pas bien attaché,non?Et elle se...
-Non!Je l'avais bien ficelé,je te le dis,on me l'a volé!"

Le pêcheur regarda la mer.Pourquoi une personne aurait pris le risque de voler une barque alors que Naep et l'île des 5 sages sont accessibles via des navires beaucoups plus grands,plus confortables,et plus rapides?C'était à n'y rien comprendre.

"-Fiston,si quelqu'un t'as volé ta barque,espérons au moins qu'il sache la manier,si on veut la retrouver en état...